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Chapitre 6 Madame a dit qu'il était pour les chiens.

Ayant eu une expérience désagréable la nuit dernière, Carine ne voulait pas l'ignorer.

L'homme est sorti de l'ascenseur et s’est arrêté à côté d'elle, il a dit avec arrogance : « Tu n’as pas trouvé mon bureau pour déposer ce repas ? »

Carine : ???

Elle a jeté un coup d'œil aux restes qu'elle tenait dans sa main. Elle s’est sentie ironique en ce moment.

Comment a-t-il pu croire qu'elle était là pour lui apporter de la nourriture ?

« Je devine que tu as demandé à la secrétaire où je suis. » L'homme a doucement grogné.

Carine s’est apprêtée à réfuter.

Pascal Dubois, avait déjà tendu la main de manière gênée : « Madame, donnez-moi cette boîte. »

Ils étaient vraiment confiants d’eux-mêmes.

Elle a jeté un coup d'œil vers quelqu'un qui s'approchait d'elle, se sentant trop honteuse pour discuter avec lui ici.

En pensant à la boîte dans sa main, il y avait des restes de riz. Et cet homme avait mal à l’estomac, il ne pouvait pas endurer la nourriture épicée. Ce qu’elle avait mangé à midi était très épicé. Même s'il ne mangeait pas, ouvrir la boîte pourrait le choquer !

Elle a donc souri et a tendu la boîte à Pascal.

En voyant cela, Alain était sûr que c’était sa façon de s’excuser, comme auparavant.

« Il ne sert à rien de faire ses ruses devant moi, je te le rappelle. »

Carine a hoché la tête, elle a dit : « Oui, je le comprends aussi, M. Boucher, prenez soin de vous. »

L'expression d’Alain s'est légèrement détendue alors qu'il a entendu cela, il a ajouté : « Je ne te pardonnerai pas à chaque fois que tu fais des bêtises, alors tiens-toi bien. »

Oh là là, mon Dieu.

Voyant l'homme partir avec arrogance, Carine restait au même endroit, les mains saisissant son sac, se disant de ne pas s'énerver, de ne pas s'énerver.

Cet homme ne le méritait pas.

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Dans la Société de la famille Boucher

Alain est retourné à son bureau et a simplement fait une pause, a dit à Pascal qui portait encore son déjeuner. « Mettez-le sur la table. »

« D'accord. »

Pascal n'osait pas partir et attendait que le patron ouvre son « repas d'amour. »

Il se tenait à l'écart tandis que son téléphone portable a sonné.

Alain s’est assis devant la table, jetant un regard sur la boîte et se souvenant de Carine.

Elle est quand même venue le supplier.

Satisfait, il a tendu la main, voulant voir ce qui était dedans.

Carine avait préparé de la viande d'ananas pour Alain, c’était vraiment peu apprécié.

Alain a ouvert la boîte.

« M. Boucher ! » Pascal était stupéfait, mais il était trop tard pour arrêter les mouvements de son patron.

Alain a froncé les sourcils, il a baissé ses yeux en voyant une tâche d'huile apparaître sur sa chemise.

La boîte à lunch était en désordre, ce qui était vraiment dégoûtant.

Carine, elle était vraiment sincère pour s’excuser !

Pascal a vérifié les textos de son téléphone et a dit : « M. Boucher, votre femme a dit que ce repas est... »

« Qu'est-ce que c'est ? »

« C’est, c'est ce qu'elle a emballé pour le chien de son ami. »

Une fois que Pascal avait fini de parler, il se sentait un peu effrayé.

Alain a pris un mouchoir en papier, a nettoyé l'huile sur ses doigts et lui a tendu la main : « Donne-moi le téléphone. »

Pascal était étourdi pendant un instant, et il n'a pas osé désobéir, remettant son téléphone portable.

Alain a regardé ces mots « pour le chien de son ami », il devenait vraiment furieux. En même temps, il dégageait un sentiment de tristesse qu'on ne pouvait ignorer.

Soudain, il a remarqué le dialogue qui s’est déroulé entre sa femme et son assistant.

« Elle vous a parlé du divorce ? »

Pascal a maladroitement souri et a répondu : « Oui. »

Alain regardait le dialogue, son visage devenant de plus en plus sombre.

Le premier texto était envoyé au premier jour de son voyage d'affaires, l'attitude de Carine était assez bonne. « M. Dubois, veuillez dire à M. Boucher que je veux deux milliards de dollars. Ce n'est pas beaucoup, n'est-ce pas ? »

Pascal a répondu : « Je vais faire part de votre demande au M. Boucher. »

Le lendemain, Carine a continué à dire : « De cette façon, un milliard, un milliard est bien, d’accord ? »

Pascal lui a répondu : « Ce n'est pas une question d'argent, M. Boucher a été très occupé ces derniers jours ! »

Le troisième jour, l'attitude de Carine s'était déjà un peu dégradée : « Cinq cents millions ! Cinq cents millions, c'est déjà ma limite minimum ! Alain, est-il d’accord de cela ? »

Pascal : « Madame, vous n'avez pas à faire ça. »

Carine était visiblement furieuse. Elle a envoyé le dernier message.

« Cent millions ! Il faut s’adapter à l'identité de M. Boucher ! Il ne veut pas que l'on apprenne demain que la famille Boucher est sur le point de faire faillite et qu'il n'a même pas pu se permettre de verser une indemnité de divorce à son ex-femme ! »

Pascal : « ... »

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