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Chapitre 32 : J'aime les femmes 5

작가: Déesse
last update 최신 업데이트: 2025-04-14 04:25:00

Ben

elle commence à trembler de tout son corps...... J'aspire bien profondément sa vulve et elle pousse un cri en jouissant dans ma bouche , j'avale tout ce qui atterri dans ma bouche . J'ai laissé un peu sur sa chatte pour m'aider à mieux glisser en elle . Je prends un préservatif

je finis de me l'enrouler sur mon sexe bien tendu , je la regarde une dernière fois pour être sûr de ce qu'elle veut , elle me fait un signe de la tête , je peux y aller

Ses yeux sont remplis de plaisir et encore de désirs inassouvis . Je plonge lentement entre ses plis , tout doucement j'avance , j'arrive au blocage je m'arrête un instant , je me penche vers elle pour sceller nos lèvres dans un baisé fou , enivrant . Elle répond à mon baisé avec empressement , s'en suit deux minutes de pur bonheur sa bouche est sucrée , elle a le goût de fraises bien mûr . Je bois à ses lèvres avec délectation . Et je franchis la barrière , doucement mais sûrement , elle était tellement concentrée sur le baisé qu'elle n'a
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  • Baise-moi    Chapitre 309 : Épilogue 

    ÉLÉNAIl n’y a pas eu de promesse, pas de serment échangé dans le noir, pas de regard appuyé avant de partir, il n’y a eu que le bruit du matin qui entre sans prévenir, la lumière blafarde sur mes reins nus, le drap encore moite de nous, le vide là où son corps aurait dû être, là où, pendant quelques heures, j’ai cru pouvoir m’abandonner sans tomber, j’ai cru qu’il resterait, qu’il ne fuirait pas, pas encore.Mais il l’a fait.Sans un mot, sans une note griffonnée, sans même une cigarette laissée sur le rebord du lavabo, il s’est volatilisé, comme une ombre qu’on ne peut jamais vraiment saisir, comme une fièvre qui vous quitte au petit matin mais qui vous laisse lessivée, étrangère à vous-même.Et moi, je suis restée là, allongée dans le lit défait, les jambes écartées, tremblantes encore de son empreinte, de ses gestes, de ses ordres, de ses silences, de sa violence douce et cruelle à la fois, je suis restée là à respirer son absence, à goûter le sel de sa disparition sur ma langue,

  • Baise-moi    Chapitre 308 — Premier frisson 2

    ÉLÉNAC’était censé être une fois.Un écart de trajectoire, un vertige éphémère, une déraison rapide et fauve qu’on enferme dans une boîte noire, qu’on refoule, qu’on nie au petit matin.Mais Neyl n’est pas un souvenir qu’on range.Il est une empreinte.Un poison à libération lente.Il reste dans les os. Il s’insinue dans les silences. Il remonte à la surface à chaque battement de cœur un peu trop fort.Et moi… moi, je reviens.Toujours.Je reviens même quand je me hais de le faire, même quand mes jambes tremblent d’avoir trop cédé, même quand ma conscience me hurle de fuir je reviens comme une marée noire qui revient s’échouer sur les mêmes falaises, encore, encore, sans pouvoir faire autrement.Parce qu’il ne baise pas.Il conquiert.Il réduit.Il transforme.Et ce qu’il fait de moi, je ne l’avais jamais connu avant.Ce qu’il éveille, ce qu’il dévore, ce qu’il laisse après… c’est plus qu’un manque. C’est une plaie. Et j’y retourne, parce que j’ai besoin qu’il la rouvre.Ce soir enco

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    ÉLÉNAC’est d’abord une voix.Grave. Lente. Le genre de timbre qui vous attrape par la colonne vertébrale pour vous forcer à écouter. Je ne distingue pas les mots, pas encore. Juste cette vibration chaude qui se glisse sous ma peau, comme un murmure soufflé contre ma nuque nue.Je ne devrais pas être là.Déposer un dossier, signer un formulaire, repartir. C’est tout. Rien de plus. Mais mes doigts tremblent autour de la chemise cartonnée, et mes talons hésitent sur le sol ciré du hall d’entrée.Puis je le vois.Neyl.Il ne regarde pas les autres. Il ne regarde rien, en vérité. Il avance dans l’espace comme s’il le possédait déjà. Un tailleur anthracite parfaitement ajusté, une chemise sombre ouverte sur la gorge, et ce regard… noir, fendu d’acier, impassible, jusqu’à ce qu’il se tourne vers moi.Et là, tout s’arrête.Il me voit.Pas comme on remarque quelqu’un. Non. Il me voit comme on cible. Comme on choisit.Son regard me balaye sans honte, sans détour, sans pudeur. Il ne s’attarde p

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    Mon beau-fils 42 finÉlise---Je croyais qu’en partant, en fuyant cette maison, ce lit, ce passé… je me sentirais mieux. Je pensais que la culpabilité finirait par se taire, que le vide s’effacerait avec le temps. Mais non. Trois mois ont passé. Trois mois à vivre seule. Et chaque matin, chaque foutu matin, je me réveille avec ce goût amer dans la bouche, cette boule au ventre qui refuse de disparaître.Julien n’est plus là. Il n’y a plus rien. Plus de cris, plus de mensonges. Plus d’étreintes volées dans l’obscurité. Plus de corps qui se cherchent, se trouvent, s’abîment. Et pourtant, je suis incapable de respirer. C’est comme si l’air s’était figé dans mes poumons le jour où je l’ai laissé derrière moi.Je vis dans ce petit appartement impersonnel, loin de tout, loin d’eux. Loin de cette maison trop grande, trop pleine de souvenirs qui me déchiraient. Ici, il n’y a que le silence. Les murs blancs, les meubles froids. Et moi, au milieu de tout ça, plus vide encore que ce décor sans

  • Baise-moi    Chapitre 305 : Fruit défendu — Mon beau-fils 41

    CamilleJe croyais que le matin d’après serait plus difficile. Que la culpabilité viendrait, comme un fantôme collé à ma peau, prête à m’étouffer. Mais non. Ce matin, je me réveille dans ses bras et pour la première fois depuis des mois… non, depuis des années, je me sens simplement vivante. Pas brisée. Pas sale. Pas honteuse. Juste… là.Je reste quelques secondes à l’observer. Son visage apaisé, ses cils qui tremblent légèrement. Sa main toujours posée sur ma hanche, comme s’il voulait me garder là, prisonnière de ce moment suspendu. Je souris, un vrai sourire, sincère, rare.Je me glisse hors du lit à contrecœur et file dans la cuisine préparer le petit-déjeuner. Je veux lui laisser cette image de moi, douce, légère. Pas la femme abîmée par les regrets. Quand il me rejoint, les cheveux en bataille, vêtu seulement d’un pantalon de pyjama, il me serre dans ses bras, sans un mot. Et tout semble simple, naturel.Après avoir mangé, je suis rentrée chez moi. Mon cœur battait fort en passa

  • Baise-moi    Chapitre 304 : Fruit défendu Mon beau-fils 40

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