Ce roman relate les aventures sexuelles, amoureuses , peu importe que tu sois un homme ou une femme , tu as du te trouver un jour dans cette position, ou quelqu'un que tu connais.
view moreAnna
Je m'appelle, Anna, j'ai 19 ans, pour le moment, je suis bonne, dans une famille riche. ils sont composés de la mère, du père et de leur fils. Quand j'ai commencé à travailler chez eux, mes yeux se sont agrandis par toutes cette richesse, cette grande maison, je me suis dis que j'aurai pour moi dans tout ça, et pour y parvenir il faut déduire le boss de la maison, c'est à dire mon patron, il est tellement beau !
Il doit avoir la quarantaine mais on ne dirait pas, il fait si jeune. Sa femme est une grande dame, très belle et très méchante avec nous les serviteurs, ça m'a encouragé dans la suite de mon plan
J'ai décidé de déduire mon patron pour avoir plus d'argent et surtout des cadeaux luxueux. Je ne suis plus vierge.
Et même si je l'étais, j'aurais fait tout pour qu'il me regarde. J'ai commencé à
faire attention aux habitudes de mon patron et de sa femme, pour savoir à quel moment attaquer .
J'ai remarqué que la femme partait très tôt au travail avec leurs fils qu'elle dépose au passage à l'école. Monsieur reste plus longtemps à la maison, il sort aux alentours de 9 h . il passe d'abord dans la cuisine pour prendre un café, qu'il prend au salon avant d'aller prendre sa douche pour ensuite se rendre à son travail . Cela fait 6 mois que je suis chez eux et j'ai décidé de passer à l'acte ce weekend, car madame doit voyager avec
leur fils, je ne pourrai pas rêver mieux.
C'est l'occasion parfaite pour moi .
J'ai déjà commencé la mise en place de la séduction, un matin, quand il était seul dans la cuisine, je suis passée près de lui
avec un haut bien sexy mettant à nue Les seins si jeunes , si bien arrêtés.
J'ai bien vu le regard qu'il a eu, un regard lugubre, pervers.
Une autre fois, je suis allée nettoyer dans sa chambre sachant bien qu'il se lavait
ce jour là j'ai porté une petite culotte avec un soutien gorge, bien révélateur.
quand j'ai su qu'il avait fini de se laver j'ai mis mon écouteur et j'ai tourné dos à la douche puis, j'ai commencé à me déhancher, sous une bonne musique.
Il est sorti de la douche depuis au moins cinq minutes, mais il est resté là , pour me regarder , j'ai dansé à reculons jusqu'à me coller à lui, j'ai fait semblant de sursauter et je me retourne brutalement pour tomber dans ses bras
il m'a attrapé, nos poitrines se sont serrées l'une contre l'autre ! sa main à caressée mon postérieur un peu trop longtemps avant de me lâcher.
- Pardon monsieur, je ne savais pas que vous étiez encore là.
Je dis cela en me frottant contre son sexe bien dressé que je sens à travers sa serviette, ma main est posée sur sa poitrine pour ne pas tomber caresse délicatement cette poitrine bien dur.
- Ce n'est rien, je vais me charger rapidement pour te laisser travailler.
- D'accord monsieur
- Tu sais quand on est tous les deux tu peux m'appeler par mon nom !
- d'accord, Oumar.
Il me relâche enfin, et je sors de sa chambre.
Aujourd'hui, dans la sauce qu'il va manger j'y ai mis beaucoup de piment et d'aile . Après le repas il est monté dans sa chambre, l'autre servante est rentrée
chez elle, il ne reste plus que lui et moi.
À minuit, je porte seulement une nuisette très transparente et ne mets rien en dessous. Je monte dans ses appartements et ouvre la porte,
- Monsieur, monsieur, s'il vous plaît aidez-moi !
- Que se passe-t-il ?
Il se lève en sursaut, enlève le drap et sort de son lit.
- Je viens de faire un couchemar , pardon, je peux rester près de vous ? S'Il vous plaît monsieur.
- D'accord, mais que ça reste entre nous.
- merci beaucoup monsieur.
Je me dirige vers lui et pousse le drap , pour me coucher , et sans mettre le drap sur moi , me collant à lui, il me fait face donc, je lui donne dos en pressant mes fesses contre lui, ma petite nuisette se relève montrant mes fesses nues et par la même occasion mon sexe , mes fesses touchent ses parties intimes qui commencent à grossir..
- J'ai très chaud, je le dis en enlevant ma nuisette, je me retrouve nue devant lui.
et je ne perds pas de temps, ma main se pose sur son sexe, qui à bien pris du volume, je le presse doucement et le regarde : il a les yeux fermés, il gémi doucement, je mets ma main dans sa culotte pour faire sortir son sexe bien dressé, il se jette sur moi pour l'embrasser, enfin, on s'embrasse passionnément pendant longtemps,
avant qu'il se se penche pour me sucer les seins, Il les appu, les pinces, les mords, je suis aux anges, il finit par descendre vers mon sexe bien mouillée rien que pour lui, il s'applique à me lécher
je crie de surprises et de désirs. Il maîtrise l'art de faire plaisir à une femme
sa langue se fourre dans mon sexe pour en retirer tout le jus qui s'y trouve, je tremble dans ses bras, je plane, je pleure
de plaisir et de joie, il joue avec mon corps comme un violoniste avec son violon . Quand il remonte sur moi, je suis déjà au paradis, il prend son sexe dans ses mains et me demande :
- Prends tu des pilules ?
- Non, j'ai plutôt des implants qui me protègent pour cinq ans.
- Très bien, car j'ai envie de te manger sans barrière.
- Je le veux aussi.
Il joue avec mon entrée , avant de s'enfoncer brusquement dans mes profondeurs. je suis en extase, je crie mon plaisir et lui gémi sans sesse .
Il me baise comme un adolescent, avec la maîtrise d'un homme mur, ses coups de reins sont sauvages, brutaux, nous finissons par atteindre les sommets du plaisir ensemble.
Pendant toute la nuit nous avons pris nos pieds, nous avons baisés au moins cinq fois. J'ai l'impression qu'il était en manque. Depuis ce jour, je suis devenue sa maîtresse, il me donne plein de cadeaux, et de l'argent. Au bout de deux mois, il a pris une maison qu'il loue pour moi. Il a ouvert un grand magasin à mon nom. Je ne travail
le plus pour lui. j'ai bien fait de le séduire.
ÉLÉNAIl n’y a pas eu de promesse, pas de serment échangé dans le noir, pas de regard appuyé avant de partir, il n’y a eu que le bruit du matin qui entre sans prévenir, la lumière blafarde sur mes reins nus, le drap encore moite de nous, le vide là où son corps aurait dû être, là où, pendant quelques heures, j’ai cru pouvoir m’abandonner sans tomber, j’ai cru qu’il resterait, qu’il ne fuirait pas, pas encore.Mais il l’a fait.Sans un mot, sans une note griffonnée, sans même une cigarette laissée sur le rebord du lavabo, il s’est volatilisé, comme une ombre qu’on ne peut jamais vraiment saisir, comme une fièvre qui vous quitte au petit matin mais qui vous laisse lessivée, étrangère à vous-même.Et moi, je suis restée là, allongée dans le lit défait, les jambes écartées, tremblantes encore de son empreinte, de ses gestes, de ses ordres, de ses silences, de sa violence douce et cruelle à la fois, je suis restée là à respirer son absence, à goûter le sel de sa disparition sur ma langue,
ÉLÉNAC’était censé être une fois.Un écart de trajectoire, un vertige éphémère, une déraison rapide et fauve qu’on enferme dans une boîte noire, qu’on refoule, qu’on nie au petit matin.Mais Neyl n’est pas un souvenir qu’on range.Il est une empreinte.Un poison à libération lente.Il reste dans les os. Il s’insinue dans les silences. Il remonte à la surface à chaque battement de cœur un peu trop fort.Et moi… moi, je reviens.Toujours.Je reviens même quand je me hais de le faire, même quand mes jambes tremblent d’avoir trop cédé, même quand ma conscience me hurle de fuir je reviens comme une marée noire qui revient s’échouer sur les mêmes falaises, encore, encore, sans pouvoir faire autrement.Parce qu’il ne baise pas.Il conquiert.Il réduit.Il transforme.Et ce qu’il fait de moi, je ne l’avais jamais connu avant.Ce qu’il éveille, ce qu’il dévore, ce qu’il laisse après… c’est plus qu’un manque. C’est une plaie. Et j’y retourne, parce que j’ai besoin qu’il la rouvre.Ce soir enco
ÉLÉNAC’est d’abord une voix.Grave. Lente. Le genre de timbre qui vous attrape par la colonne vertébrale pour vous forcer à écouter. Je ne distingue pas les mots, pas encore. Juste cette vibration chaude qui se glisse sous ma peau, comme un murmure soufflé contre ma nuque nue.Je ne devrais pas être là.Déposer un dossier, signer un formulaire, repartir. C’est tout. Rien de plus. Mais mes doigts tremblent autour de la chemise cartonnée, et mes talons hésitent sur le sol ciré du hall d’entrée.Puis je le vois.Neyl.Il ne regarde pas les autres. Il ne regarde rien, en vérité. Il avance dans l’espace comme s’il le possédait déjà. Un tailleur anthracite parfaitement ajusté, une chemise sombre ouverte sur la gorge, et ce regard… noir, fendu d’acier, impassible, jusqu’à ce qu’il se tourne vers moi.Et là, tout s’arrête.Il me voit.Pas comme on remarque quelqu’un. Non. Il me voit comme on cible. Comme on choisit.Son regard me balaye sans honte, sans détour, sans pudeur. Il ne s’attarde p
Mon beau-fils 42 finÉlise---Je croyais qu’en partant, en fuyant cette maison, ce lit, ce passé… je me sentirais mieux. Je pensais que la culpabilité finirait par se taire, que le vide s’effacerait avec le temps. Mais non. Trois mois ont passé. Trois mois à vivre seule. Et chaque matin, chaque foutu matin, je me réveille avec ce goût amer dans la bouche, cette boule au ventre qui refuse de disparaître.Julien n’est plus là. Il n’y a plus rien. Plus de cris, plus de mensonges. Plus d’étreintes volées dans l’obscurité. Plus de corps qui se cherchent, se trouvent, s’abîment. Et pourtant, je suis incapable de respirer. C’est comme si l’air s’était figé dans mes poumons le jour où je l’ai laissé derrière moi.Je vis dans ce petit appartement impersonnel, loin de tout, loin d’eux. Loin de cette maison trop grande, trop pleine de souvenirs qui me déchiraient. Ici, il n’y a que le silence. Les murs blancs, les meubles froids. Et moi, au milieu de tout ça, plus vide encore que ce décor sans
CamilleJe croyais que le matin d’après serait plus difficile. Que la culpabilité viendrait, comme un fantôme collé à ma peau, prête à m’étouffer. Mais non. Ce matin, je me réveille dans ses bras et pour la première fois depuis des mois… non, depuis des années, je me sens simplement vivante. Pas brisée. Pas sale. Pas honteuse. Juste… là.Je reste quelques secondes à l’observer. Son visage apaisé, ses cils qui tremblent légèrement. Sa main toujours posée sur ma hanche, comme s’il voulait me garder là, prisonnière de ce moment suspendu. Je souris, un vrai sourire, sincère, rare.Je me glisse hors du lit à contrecœur et file dans la cuisine préparer le petit-déjeuner. Je veux lui laisser cette image de moi, douce, légère. Pas la femme abîmée par les regrets. Quand il me rejoint, les cheveux en bataille, vêtu seulement d’un pantalon de pyjama, il me serre dans ses bras, sans un mot. Et tout semble simple, naturel.Après avoir mangé, je suis rentrée chez moi. Mon cœur battait fort en passa
CamilleJe n’ai pas vu les jours passer. Depuis ce dîner, Édouard est là. Pas envahissant, jamais pressant, mais sa présence s’est glissée dans mon quotidien comme une évidence. Un murmure rassurant.Et ce soir, il est là, sur le pas de ma porte. Pas un mot, juste ce regard. Ce regard qui me brûle, me renverse et me pousse à faire un pas vers lui.Je referme la porte derrière lui. Et tout devient silence.Je ne sais plus qui avance le premier. Peut-être lui. Peut-être moi. Mais soudain, il est là, devant moi, et je lève les yeux vers lui.Ses mains se posent sur mon visage avec une lenteur presque douloureuse. Sa peau contre la mienne. Ma respiration s’accélère.— « Dis-moi de partir, Camille… » Sa voix tremble à peine. « Dis-le et je m’en vais… »Je secoue la tête. Incapable de mentir. Je le veux là. Maintenant.Alors ses lèvres trouvent les miennes. Et je me perds.Ce n’est pas brutal. Ce n’est pas cette passion sale et coupable . C’est lent. C’est tendre. C’est un baiser qui me réa
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