Ma propriété

POV de Caden

Elle frissonnait comme une feuille humide et il était clair qu'elle n'avait pas vu quelque chose comme ça avant. Je ne la blâme pas, ce n'est pas un mode de vie normal.

La vue d'elle comme ça, impuissante, effrayée, terrifiée, terrifiée et vivant dans la crainte constante de ce que je pourrais faire à côté qu'elle fait frémir avec chaque pas que je prenais fait quelque chose pour moi.

Je l'ai détesté mais en même temps, c'était passionnant, des questions ne cesseraient pas de déborder à l'intérieur de moi alors que mon regard était réparé sur elle.

Était-ce suffisant pour la casser? Écraser la crâne d'une personne suffisait à apprivoiser la crâne?

J'avais besoin de réponses, je voulais des réponses.

J'ai eu mes yeux le numéro huit à partir du moment même que je l'ai vue, elle avait un air à son sujet, quelque chose qui m'a dit qu'elle n'était pas si facile à apprivoiser.

La façon dont elle a dansé autour du pôle à tout moment elle voulait me divertir me dire plus que suffisamment de savoir qu'elle détestait son travail.

Violet Evergarden, aujourd'hui était la première fois que je la verrais dans une tenue normale et non de la lingerie et je mentais si le seul mot que je lui décrivais était "beau".

Elle était à couper le souffle, derrière ce masque qu'elle avait toujours eue était un beau visage pâle. Ses os faciaux ont été délicatement sculptés, sa bouche pleine.

La façon dont ses lèvres éclaircies m'ont conduit des bonkers avec des pensées, que voudraient-t-il avoir ces lèvres parfaitement pleines enroulé autour de ma bite.

Sa gorge ressemblait à ce serait suffisamment chaude pour me conduire au bord de l'orgasme et ce n'était pas la première fois que je n'ai pas fantasmant à propos de la foule de la gorge, car elle ne pouvait plus parler, c'était le premier temps putain que la pensée était assez intense pour obtenir suffisamment de précums Dick.

Je suis pratiquement mouillé pour elle.

Elle me fait des choses, sa présence seule me hypnotise et autant que je déteste laisser une femme avoir un tel pouvoir sur moi, je voulais qu'elle prenne toutes les rênes.

Elle avait un menton de détermination du fer et même si cette détermination semble être vacillante, elle semble déterminée assez pour ne pas laisser cela se produire.

"Êtes-vous -" J'ai essayé de parler alors que je me suis rendu plus près d'elle, mais mes paroles ont été coupées à la gémisseuse souffle, alors qu'elle ramèlait à l'envers, sa tête abaissée alors que ses longues cils ont balayé sur sa pommette.

"Do. Non. Venir. De plus près. " Elle ricana, ses paroles se battant à travers ses dents serrées alors qu'elle leva son regard pour me regarder avec des yeux de sang.

J'ai senti un sourire traînant sur le côté de mes lèvres alors que j'ai eu la réponse à la question que je me suis posée plus tôt.

C'était un non, rien de tout cela ne suffisait pour la casser, elle montrait toujours la force et que elle était passionnante parce que je n'aurais pas pu attendre de voir où il se termine.

La couleur rouge vif sur ses joues pâles s'intensifiait et avec la rapatriement de ses joues, sa respiration devint plus lourde, sa poitrine soulevant, attirer mon attention sur ses seins parfaitement proportionnés.

C'est excitant. Non, passionnant pourrait ne même pas être le mot, c'est exaltant et je n'ai pas besoin d'un prêtre pour me dire que je vais m'amuser de faire tout ce que j'ai l'intention de lui faire.

Je vais avoir la plus amusante la brise la brise. Je tiens à tester sa limite et à voir jusqu'où elle peut aller jusqu'à ce qu'elle soit sur ses genoux, me supplie de la miséricorde.

En se rapprochant d'elle, à chaque étape, j'ai eu l'avancement, elle a rampé à l'envers. La lumière qui était généralement dans ses yeux s'était atténuée et il était clair que sous cette peau dure était une violette qui se séparait.

Elle avait encore peur, sous le choc et préférerait être ailleurs mais ici.

"Séjour!" J'ai commandé, ma voix si forte et tonnerre que cela lui fit sauter et geler dans la peur et ce n'était pas avant que j'ai réalisé que j'avais utilisé le mot «rester».

Qu'est-ce qu'elle est? Un chien?

"Ne te fols pas, ne fais pas ça, je veux que tu restes encore." J'ai dit aussi calmement que je pouvais mais je savais que même ce ton n'était pas assez convaincant de lui faire confiance.

"Je ne vais pas te faire mal, je promets." J'ai menti, incapable de cacher le sourire qui se dirigea vers mes lèvres.

Les yeux de Violet ont rencontré le mien et ils se sont élargis dans la peur, elle devait avoir vu ce que j'avais l'intention de lui faire dans ces yeux parce que je n'ai rien fait pour la masquer.

"Bonne fille." Je félicite quand elle n'avait rien fait de tentative de me fuir, mais je pouvais voir sa main gauche se déplaçait.

"Restez loin de moi." Elle a dit sur un ton qui sonnait un avertissement, mais rester loin d'elle était la dernière chose que je voulais faire, je voulais me rapprocher d'elle.

Accroupi juste devant elle, je me suis regardé dans ses yeux terriblement morts et je me suis demandé à quel point il serait mort au moment où j'étais fait avec elle.

"Je ne peux pas faire ça, lapin", répondis-je alors que je t'ai étendu la main pour la coupe de son visage, c'était tellement doux que cela se sentait céleste et un instant, je me sentais indigne de la toucher.

C'était comme si mon contact allait la perturber, mais là encore, c'était ce que je voulais, la perturber, la casser jusqu'à ce qu'elle ne reste plus de combat en elle.

"Tu es à moi maintenant, lapin, je ne peux pas te toucher." J'ai fini, mes yeux regardant profondément dans les siens et les fouillent pour un soupçon de défaite, se rendit mais il n'y en avait pas.

"Tu ne me possédez pas." Elle dit avec sévèrement, cracher sur mon visage sans hésiter ni attiser ce que je pouvais lui faire.

C'était aussi palpitant, personne ne parlerait de femme, n'avait osé me parler avant mais elle était différente.

Je le suis toujours connu, elle était guty et bientôt, je pouvais voir le feu brûlant dans ses yeux, chaque fois que je regardais, ça brûlait encore plus chaud.

La regardant, je me sentais comme si j'avais frappé son jackpot avec elle, l'accord avec son père était la meilleure offre que j'ai jamais faite de toute ma vie.

C'était une victoire pour moi, il a eu de l'argent pour le faire sortir de la dette qu'il était dans et j'ai eu sa fille avec qui je voulais désespérément casser.

"Eh bien, j'ai des raisons de croire que je te possède", lui dis-je alors que je me suis abattue une tendance lâche de ses cheveux à l'arrière de son oreille, "Vous voyez, j'ai payé pour vous, je t'ai acheté de votre-"

Je n'ai pas fini de finir ma phrase quand je l'ai vue bouger. Si je n'avais pas été alerte d'être tué toute ma vie, j'aurais manqué que le mouvement rapide de Swift, ressemblant à un fluide.

Mes yeux l'ont attrapé avant de pouvoir faire des dommages et je l'ai attrapé la main Midair, alors que je l'ai regardée avec de grands yeux. Je n'étais pas seulement choqué, j'étais encore plus excité.

Elle est feisty.

"Que penses-tu que tu fais?" J'ai interrogé, ma prise autour de son poignet se serra jusqu'au fragmentation du verre brisé qu'elle tenait tomber en panne.

"Si vous allez me tuer, vous n'allez pas seulement devoir apprendre à être plus rapide, mais vous allez aussi apprendre à viser le point crucial." Je l'ai informée.

Violet n'a rien dit, ce feu dans ses yeux brûlait plus chaud et ça n'a pas pris longtemps avant que ses lèvres se soient bouclées, même si ses yeux ne sourisaient pas.

"J'ai pu te blesser", dit-elle dans un ton bas, ses yeux tenant le mien: "J'ai pu te faire mal et je jure que je jure que je jure sur ma vie la prochaine fois que j'essaye, je vais te tuer. Je ne vais pas manquer. Je vais m'assurer que tu ne respirais plus. " Elle a ajouté.

Le désespoir de sa voix était clair, la colère et la haine pure dans ses yeux étaient vives et bientôt, je ressentais une légère douleur sur ma joue.

J'ai pâté de ma main droite contre ma joue et je l'ai senti, le sang sortit lentement de la marque qu'elle était laissée sur mon visage et, généralement, je serais en colère mais la colère est la moindre de ce que je ressens en ce moment.

"Vous ne méritez pas de vivre. Une bête comme tu ne devrais pas être chez l'homme et je ne vais pas m'arrêter jusqu'à ce que je t'aurais tué. " Elle a menacé mais tout ce que je pouvais sentir était une lueur chaude à l'intérieur de moi.

"Vous voyez, lapin, c'est exactement pourquoi je te veux," j'ai craqué un sourire avant de tourner sérieux "J'aimerais t'aimerais vous voir essayer de prendre ma vie." J'ai ajouté, ma voix ferme et non liée de toutes sortes d'émotions.

"Voyons que d'entre nous restera rester, allez-vous tomber à genoux et mendier de la miséricorde ou tu me tuerais avant que cela puisse arriver?" J'ai continué avec un sourire souriant.

"J'ai hâte de voir l'issue de cela", j'ai fini que je me tenais à mes pieds ", faites-la traîner si vous devez, et l'emmener dans la pièce." J'ai commandé mes hommes qui ont pris l'action à la fois.

"Laisse-moi aller! Laissez. Moi. Aller! " Elle se tordait, essayant de sortir de leur réserve et de se battre avec chaque once de force qu'elle avait dans elle mais elle était trop faible.

"Désormais, violet, tu vas servir comme mon esclave sexuel. Vous n'existez maintenant que pour me plaire! Rien d'autre que mon plaisir devrait être important pour vous! " J'ai affirmé.

"Lamez-la." J'ai commandé mes hommes et avec ça, je me suis retourné pour partir.

Je suis sur le point d'avoir le meilleur moment putain de ma vie.