Chapitre 17

Charley avait un sentiment indescriptible envers Julia.

Bien qu’elle soit très belle et ait un excellent tempérament.

C’est juste qu’elle déteste la pauvreté et aimait la richesse, cela l’a rendu un peu malheureux.

On ne connaissait pas pour quelle raison, Natalie voulait laisser les deux tomber amoureux.

Donc, afin d’éviter l’embarras, il ne voulait vraiment pas y aller.

Cependant, il ne pouvait pas supporter la persuasion de Louis.

Il ne voulait pas gâter leur plaisir, enfin il a accepté d’y aller.

Le lieu de la rencontre était dans un restaurant appelé L’Étoile.

Louis ne pouvait naturellement pas aller dans un hôtel étoilé comme les garçons riches, tel que Didier et Adrien.

Charley et ses colocataires, Natalie, Julia, Annie et leurs colocataires étaient présents à la fête.

Il n’est pas parti avec Louis, parce qu’il était retourné au dortoir,

« En fait, à mon avis, Natalie, Louis et ses cinq colocataires, il suffit de sortir et de s’amuser avec douze personnes ! »

Julia était assise sur le siège, balançant ses mollets et buvant du jus.

Le sens des mots était évident.

Elle avait une bonne impression de Louis, il était relativement fiable quand il faisait les choses.

C’était juste que les parents de Louis n’étaient que des enseignants de collège ordinaires, et elle pensait que sa famille n’était pas assez riche.

« Oui, c’est ça, ne laisse pas Charley venir ! Dès que je l’ai vu, je me suis souvenu des choses qu’il avait faites ! J’étais morte de rire ! »

Annie a également ajouté comme si elle plaisantait.

« D’accord, Julia, Annie, ne le détestez pas comme ça, il est très gentil, vous ne le connaissez que depuis peu vous n’êtes pas avec lui depuis longtemps ! »

A dit Natalie avec un sourire.

« Oui, il est très bon ... »

Les garçons ont également dit l’un après l’autre.

« Si il est vraiment gentil, il ne nous laissera pas nous asseoir ici et l’attendre, Annie, qu’en penses-tu ? » Julia a ricané.

« Hein ! Il est là ! »

À ce moment, elle s’est levée et lui a fait signe à la porte de venir.

« Je suis désolé, je suis retourné au dortoir pour passer un coup de fil et faire quelque chose, je suis en retard ! » Il a souri.

Elle était assise en face de Julia.

À ce moment-là, elle a regardé autour d’elle, et s’est levée et l’a tiré vers son siège : « Charley, tu t’assois ici ! »

Il a compris ce qu’elle voulait dire.

Il n’a pas hésité et s’est assis.

« Isabelle Warnier, changeons de place ! »

De manière inattendue, dès qu’il s’est assis, Isabelle a dit avec un visage froid à l’une de ses petites amies à côté de lui.

« Julia, je ne veux pas changer de siège, je ne veux pas être à côté de ce pauvre ! Les gens qui ne le savent pas penseront qu’il est mon petit ami ! »

« S’il était ton petit ami, tu serais pas contente ? Il a acheté un sac de 50 000 dollars ! Haha ! »

« C’est ça, Isabelle, quand tu rencontreras un garçon comme lui, tu feras juste des compromis, hahaha ! »

Ellz se bichonnait et elle était très douée pour le maquillage.

Et elle portait une robe de créateur.

Naturellement, elle le méprisait beaucoup.

En écoutant les blagues de ses colocataires en ce moment, elle a dit : « Hé, puisque vous pensez qu’il est charmant, laissez-le être votre petit ami ! »

« Ah ! Non ! »

Dès qu’elles ont entendu cela, plusieurs filles n’ont instantanément pas osé plaisanter.

De toute évidence, elles étaient très sensibles à ses paroles, comme s’il était le petit ami d’une fille et qu’elle allait être taquinée.

Louis et Henri les ont écoutés, mais ils étaient en fait un peu en colère, mais ils ne pouvaient que le supporter.

Et il a directement refusé de s’asseoir avec Julia, bien que c’était déraisonnable, c’était également prévu.

« Natalie, je vais juste m’asseoir sur le côté ! Dépêche-toi et assois-toi ! »

Il ne pouvait s’empêcher de sourire amèrement dans son cœur, il était comme une peste aux yeux des filles.

Si d’autres garçons avaient 8 000 dollars, ils pouvaient prendre de grands airs devant de belles filles et gagner la faveur de ces beautés.

Il avait beaucoup de fortune, mais pourquoi n’avait-t-il pas obtenu la faveur de ces belles filles ?

Il pensait également qu’il ne ferait pas ses preuves en gaspillant de l’argent !

Hélas !

En disant cela, il s’est tenu à l’écart.

Natalie voulait également convaincre Julia et Charley, cette fois elle voulait vraiment faciliter la relation entre les deux.

C’étaient tous de bons amis !

« Julia ? »

À ce moment, une voix a retenti à côté de la table de Charley.

Un grand et beau garçon vêtu d’un costume décontracté de créateur se tenait devant tout le monde.

Il a regardé Julia d’un air surpris.

« Daniel Eber ? »

Elle s’est également sentie un peu surprise, elle a lissé ses cheveux et s’est levée avec un sourire.

« Oui, c’est moi, je ne t’ai pas vu depuis deux ans, tu deviens de plus en plus belle, je suis presque incapable de te reconnaître ! » Daniel a souri.

« Du coup, j’ai entendu dire que tu avais été envoyé à l’étranger par ton père ? Quand es-tu rentré ? »

« Je suis revenu avant-hier, je venais de trouver quelqu’un à qui demander tes coordonnées. L’incident que vous avez rencontré dans la boîte de nuit hier a été résolu, non ? Pierre Dirand, notre camarade de classe du lycée, il m’a appelé en ce moment-là et m’a dit que tu avais des ennuis là-bas ! » A dit Daniel avec un sourire.

Et Julia s’est couvert la bouche de surprise.

Même ses colocataires se sont soudainement sentis un peu réalisés.

« Ah! Daniel, tu es Daniel ? Nous as-tu aidées hier ? »

Elle a été agréablement surprise.

Hier, Daniel voulait vraiment les aider, en effet il a demandé à son père d’appeler Mathieu Crasset, le patron de la boîte de nuit, mais il n’a pas répondu.

En ce moment, il l’a entendu dire qu’il les avait aidées, et il n’a pas trop réfléchi.

Il a dit : « Oui, j’ai demandé à mon père de parler au patron ! »

Julia ne pouvait pas être plus excitée dans son cœur, et en même temps elle avait un regard fier.

Les femmes avaient toujours de la vanité !

La vérité avait finalement éclaté. Il s’est avéré que ce n’était pas Jean qui a appelé ce jour-là, ni quelqu’un d’autre, c’était Danier, son ami d’enfance.

Par le passé, le père de Danier et celui de Julia étaient des frères d’armes, donc les deux étaient très proches.

Plus tard, les affaires de la famille Eber évoluaient de mieux en mieux, et donc il est allé étudier à l’étranger.

Naturellement, il y avait un manque de communication entre eux.

De manière inattendue, Danier est revenue et lui a fait une si grande surprise.

De plus, il a pu faire s’incliner Mathieu devant lui, on pouvait imaginer à quel point cette famille était puissante !

« Danier, quoi qu’il arrive, merci beaucoup ! »

Elle était transportée de joie.

Et en la regardant comme ça, Charley était gêné.

Il venait de vaincre Jean, et les fruits de sa victoire avaient été volés par Danier ?

Il voulait vraiment leur dire que c’était lui ! C’était lui qui les avait aidées !

Julia et d’autres filles le mépriseraient encore plus, en dehors de cela, que pouvait-il obtenir d’autre ?

Il ne voulait pas vraiment avoir trop de relations avec Julia.

Maintenant, il s’en fichait !

« Oui, je suis ici pour assister à une fête organisée par nos camarades de classe du lycée, juste à l’étage, Julia, je vais monter et proposer un verre et descendre, tu me présenteras aussi tes amis ! »

En disant cela, Daniel s’est incliné également légèrement devant le groupe de beautés, ressemblant à un gentleman, puis est parti.

Toutes les filles sont devenues folles à la fois.

Wow ! Daniel était si charmant !

« Julia, Julia, parlez-nous de l’origine de ton ami ? »

« Ouais, a-t-il une petite amie ? »

Isabelle était très curieuse.

Julia a dit fièrement : « Daniel, il est puissant, connaissez-vous BEL Group ? C’est l’entreprise de sa famille, un magnat du monde de l’alimentation ! »

« Il s’agit d’un groupe coté, classé dans le top 100 des entreprises de Savoy ! C’est un groupe puissant ! » A dit Isabelle avec révérence.

« Les nouvelles ont dit il y a quelques jours qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas avec la chaîne de capital de BEL Group ? »

Charley avait écouté tranquillement, mais quand il les a tous entendus bavarder, il a également voulu intervenir et parler.

Dès que ces mots sont sortis, l’atmosphère est directement devenue glaciale.

Julia l’a regardé avec colère : « Que veux-tu dire ? N’est-il pas normal que la chaîne du capital ait des problèmes ? Es-tu jaloux de Daniel ? »

« Certaines personnes sont comme ça, elles envient les autres, et ne voient

que leurs défauts, c’est dégoûtant ! »

A également dit Isabelle avec dédain.

Pendant un moment, ce qu’il a dit a presque provoqué une querelle ...