Chap. 59

Les deux dames entrèrent dans le bungalow qui avait l'air vivant à l'extérieur, une chose qui était due au toucher de la main verte de Lydia, et mort à l'intérieur. On croirait presque que personne n'y habite.

Le regard inquiet de Lydia, qu'elle avait porté pendant le voyage silencieux, fixa Louisa, un signe de tête rassurant suivit.

"Maman, je suis à la maison", a-t-elle alerté puis s'est tournée vers Louisa, "mets-toi à l'aise." Lydia était toujours agitée par le fait que Louisa était sa demi-sœur. Elle n'aurait jamais su ou imaginé.

A quel point ce monde était-il mystérieux ?

"Bienvenue," Une femme délicate surgit hors de la cuisine. Louisa pouvait voir que le sourire de bienvenue de la Dame cachait une mélancolie trempée. "Je suis Joan." Elle se précipita pour embrasser Louisa sur la joue.

"Je suis Louisa."

"Je sais très bien qui tu es. Sentez-vous à l'aise, chérie." Joan se tourna vers sa fille : « Ton père n'a pas quitté sa chambre de