Chapitre 460

Gisèle s'est assise sur le lit en regardant Pascal boire avant de dire en souriant : «  Hé, nous sommes tous de la même famille. Tu es mon gendre et c’est normal que je sois gentille avec toi. »

Si quelqu'un d'autre avait entendu cela, il aurait probablement pensé que la belle-mère et son gendre étaient de très bons amis.

Cependant, lorsque Pascal a entendu cela, il l’a trouvée un peu dure et ironique.

Gisèle se montrait si serviable et gentille le matin, ce n'était donc qu'une belette qui rendait hommage à un poulet.

« Maman, tu as quelque chose ? » Pascal a demandé.

Lorsque Gisèle a entendu cela, elle a répondu : « Non, rien. Que puis-je faire ? Oh, lève-toi plus vite. Je t'ai préparé le petit déjeuner, descends pour manger. »

Après avoir dit cela, Gisèle s’est levée et est partie.

En regardant le dos de Gisèle, Pascal a reniflé en secouant la tête d'un air impuissant.

Les intentions de Gisèle étaient très faciles à connaître.

Lorsqu'il est descendu et s'est assis dans la salle à man