Sans perdre une seconde de plus, elle se lève d’un bond et monte à l’étage. Direction sa chambre, où elle compte bien se changer avant de sortir prendre l’air…
Pendant ce temps, à l’autre bout de la ville, Lucie et son patron, Michael, se trouvent dans l’un de ses somptueux et luxueux hôtels. Installés dans un salon privé, ils savourent du champagne tout en échangeant quelques mots. Le téléphone de Lucie repose dans son sac, en mode silencieux. Elle ignore totalement que son mari tente de la joindre.
Michael, quant à lui, ne cesse de la fixer avec insistance, son regard brûlant de désir. Il la contemple, la détaille, comme s’il avait envie de la dévorer. Lucie commence à se sentir mal à l’aise sous cette attention soutenue. Il commence à faire nuit et elle décide alors de prendre congé.
— Monsieur, je vais devoir partir. Il se fait tard, et je ne veux pas que mon mari…
Elle n’a même pas le temps de finir sa phrase que Michael l’interrompt brusquement :
— Je suis amoureux de toi, Lucie. Je veux que tu nous donnes une chance.
Lucie, prise de court, écarquille les yeux, complètement stupéfaite.
— Quoi ? Monsieur, qu’est-ce que vous venez de dire ?
— Je te veux, Lucie. Depuis le premier jour où tu as mis les pieds dans mon entreprise, je n’ai cessé de penser à toi.
Le cœur de Lucie bat plus vite. Elle le fixe, cherchant à comprendre si ses paroles sont le fruit de l’alcool ou d’une vérité trop longtemps contenue.
— Je crois que vous avez un peu trop bu, Monsieur. Vous devriez vous reposer, c’est votre appartement après tout. Prenez le temps de retrouver vos esprits, moi je vais rentrer chez moi.
Michael secoue la tête, un sourire en coin.
— Tu crois vraiment que je te parle sous l’effet de l’alcool ? Je ne suis pas saoul, Lucie. Et je suis très sérieux.
Lucie inspire profondément avant de répondre, tentant de garder son calme.
— Monsieur, comment pouvez-vous dire cela alors que vous savez très bien que je suis une femme mariée ? Et vous aussi, vous avez une épouse. S’il vous plaît, ne laissez pas cette attirance compliquer notre relation professionnelle.
Michael se rapproche légèrement, son regard toujours ancré dans le sien.
— Lucie, ce n’est pas aussi simple que tu le crois. Je n’arrive plus à me sortir de la tête. Une journée loin de toi est un véritable enfer. Je veux vraiment qu’on essaie.
— Et mon mari, dans tout ça ?
— Tu peux divorcer. Ce ne sera pas si compliqué, surtout que vous n’avez pas encore d’enfant. Lucie, je suis prêt à tout pour toi. Je veux te rendre heureuse, t’élever dans le monde des affaires. Avec moi, tu auras tout ce dont tu rêves.
Lucie secoue la tête, troublée mais ferme.
— Et votre femme ? Je comprends maintenant pourquoi elle ne m’apprécie pas du tout… Monsieur, c’est impossible. Je ne peux pas.
Elle marque une pause, cherchant ses mots.
— Si nous étions tous les deux célibataires, peut-être que j’aurais envisagé les choses différemment. Mais là, c’est trop compliqué, et je ne veux pas trahir mon mari. Il se fait déjà trop de mauvaises idées sur moi, je ne vais pas lui donner raison.
Michael pose doucement sa main sur la table, son regard suppliant.
— S’il te plaît, Lucie… J’ai tellement envie de sentir ta chaleur… Tes lèvres si captivantes..
Le ton de Michael devient de plus en plus grave, son regard chargé de désir et de détermination. Lucie, prise de panique, attrape son sac et tente de quitter la pièce, mais avant qu’elle ne puisse atteindre la porte, Michael la retient par le poignet. Son cœur s’emballe, battant à tout rompre sous l’effet de la peur et de l’incompréhension. Elle tente de se dégager, mais il la tire brusquement contre lui. Avant même qu’elle ne puisse protester, il capture ses lèvres dans un baiser intense, brûlant d’une passion qu’il ne cherche plus à dissimuler.
Sous le choc, Lucie laisse échapper son sac, qui tombe lourdement au sol. Pourtant, malgré elle, elle ne recule pas immédiatement… et pendant un court instant, leurs lèvres restent scellées.
Pendant ce temps, à la résidence de Michael, Émilie, après s’être préparée avec soin, descend les escaliers d’un pas ferme. Son regard est froid, saturé de frustration. Arrivée en bas, elle appelle Sofia, l’une des domestiques, et lui donne des instructions précises :
— Veille à ce que les enfants prennent leur dîner et qu’ils soient couchés à l’heure.
— Oui, madame, répond Sofia avec respect.
Sans ajouter un mot, Émilie attrape son sac à main et sort de la maison. Elle se dirige vers l’une de ses voitures et s’installe au volant. À peine le gardien ouvre le portail qu’elle démarre, quittant la résidence sans un regard en arrière.
De son côté, Florent est toujours assis dans son salon, le téléphone à la main, tentant désespérément de joindre Lucie. Mais encore une fois, aucun signal, aucune réponse. L’agacement grandit en lui. Tout ce que Rock lui a dit plus tôt dans la journée revient en boucle dans sa tête, nourrissant ses doutes et ses soupçons.
Las, il décide d’aller prendre une douche, sentant une chaleur étrange l’envahir. Mais alors qu’il se lève, il tombe nez à nez avec Andréa, venue lui annoncer que le dîner est servi.
— Monsieur, le repas est prêt. Souhaitez-vous que je vous fasse quelque chose avant de rentrer chez moi ?
Florent reste figé un instant, ses yeux parcourant le corps envoûtant d’Andréa, sublimé par la robe moulante qu’elle porte. Chaque courbe, chaque détail semble l’hypnotiser. Il déglutit difficilement avant de répondre d’une voix légèrement rauque :
— Fais-moi un verre de jus de citron et apporte-le-moi dans ma chambre. Je me sens un peu étourdi.
— D’accord, monsieur. Tout de suite.
Andréa acquiesce avant de se diriger vers la cuisine. Florent la suit du regard, captivé, jusqu’à ce qu’elle disparaisse derrière la porte. Un soupir s’échappe de ses lèvres alors qu’il tourne les talons et se dirige vers sa chambre.
Une fois seul, il s’assoit sur le bord du lit, pensif. Les mots de Rock résonnent encore dans son esprit. « Ta femme est absente, et Andréa est là… Profite. » Il secoue la tête, mais l’image d’Andréa, sa silhouette, sa présence, son parfum léger… tout le trouble bien plus qu’il ne veut l’admettre. « Pourquoi se priver de ce qui est juste sous ses yeux ? »
Un léger coup à la porte interrompt ses pensées.
— Entre » dit-il d’une voix basse.
Andréa entre timidement, tenant le verre de jus de citron sur un petit plateau. Elle avance et le pose délicatement sur la table de nuit.
— Monsieur, avez-vous besoin d’autre chose avant que je parte ?
Florent lève les yeux vers elle. Pendant une fraction de seconde, un combat intérieur se joue en lui. Puis, brusquement, il tend la main, attrape celle d’Andréa et la tire contre lui.
Dans un mouvement rapide et imprévu, il la fait basculer sur le lit et capture ses lèvres avec une douceur mêlée de force.
Surprise et paniquée, Andréa se débat immédiatement. Son souffle s’accélère, son cœur tambourine dans sa poitrine. Avec force, elle parvient à se dégager et recule précipitamment, les yeux écarquillés.
— Monsieur, qu’est-ce que ça veut dire ? Qu’est-ce qui vous prend ? » s’exclame-t-elle, la voix tremblante.
Florent, le regard fiévreux, souffle lentement avant de murmurer :
— Andréa… j’ai vraiment envie de toi. Je veux te sentir.
Michael laisse tomber la lettre. Il n’arrive tout simplement pas à y croire… Lucie est enfin arrivée à la maison. Elle descend du taxi, règle le chauffeur, puis regarde la voiture s’éloigner. Le gardien, qui l’a déjà remarquée, sort aussitôt pour lui ouvrir le portail. Elle le salue poliment avant de se diriger vers l’intérieur. En apercevant la voiture de son mari garée dans l’allée, elle s’étonne. « Pourquoi n’est-il pas au bureau ?» se demande-t-elle. Une fois dans le grand salon, elle constate que la maison est étrangement vide. Elle hésite à appeler Andréa, mais s’en abstient. Alors qu’elle s’apprête à emprunter le couloir menant à sa chambre, un bruit inhabituel attire son attention. Des gémissements. D’abord faibles, ils deviennent de plus en plus intenses à mesure qu’elle avance. Son cœur s’emballe. Un mauvais pressentiment la gagne, mais elle continue. Les sons la guident jusqu’à la seconde chambre, dont la porte est entrouverte. Lucie sent une boule se former dan
Il fait glisser ses mains le long des courbes d’Émilie, appréciant chaque contour, chaque texture. Ils s’embrassent à nouveau, cette fois avec une intensité qui révèle toute la passion et l’amour qu’ils ressentent l’un pour l’autre. Émilie se laisse doucement tomber sur Marcus, leurs corps se pressant l’un contre l’autre. Leurs mains continuent d’explorer chaque centimètre de peau offerte, redécouvrant chaque sensation. Leurs baisers deviennent plus profonds, plus urgents, chaque souffle se mêlant dans une danse sensuelle. — Je t’aime » souffle Marcus entre deux baisers, ses mains posées sur les hanches d’Émilie pour la rapprocher encore plus de lui. — Je t’aime aussi, et je veux maintenant passer le reste de ma vie à tes côtés, c’est pour ça que je suis prête à divorcer de Michael.» répond Émilie, sa voix tremblante d’émotion et de désir. — J’ai hâte que tu deviennes ma femme. — Et moi hâte que tu deviens mon homme. Elle se redresse légèrement, plongeant son regard dans cel
Tout en suçant, titillant et tétant ses merveilleux seins, il la soulève doucement pour la déposer sur la table, non loin d’eux et capture à nouveau ses lèvres avec passion. Avec fougue, il l’embrasse, puis abandonne ses lèvres pour la fixer droit dans les yeux avant de lui murmurer « Bébé, j’ai faim de toi. » Suite à ces mots, il ne lui laisse pas le temps de répondre et la penche doucement, déposant des baisers sur ses cuisses jusqu’à arriver à sa belle intimité, où il décide d’ôter délicatement le string qu’elle porte.Une fois fait, il écarte doucement ses jambes avant de se diriger vers le frigo pour prendre le pot de miel. Elle sait déjà ce qu’il s’apprête à faire et elle tremble comme une feuille laissée au vent. Il s’approche d’elle et, avec douceur, tout en la fixant droit dans les yeux, il ouvre la bouteille et commence à faire couler le miel sur sa partie intime ( sa chatte ).Elle sent la fraîcheur du miel, encore glacé par le frigo, se déposer sur sa peau. Il capture à no
Lucie est toujours en voyage avec son patron. D’après ce qu’elle a dit à Florent lors de leur récent appel, le voyage va durer plus d’un mois, car elle doit suivre une formation de trois semaines. Mais Florent ne se soucie plus vraiment d’elle. Il a désormais Andréa, qui le satisfait pleinement, même si cette dernière commence à être dépassée par son appétit sexuel insatiable. Il aime la savourer chaque jour et partout dans la maison. Même Chakirou, le gardien, les a déjà surpris dans la cuisine. Florent l’a aussitôt menacé : s’il osait raconter quoi que ce soit à qui que ce soit, il le virerait et lui rendrait la vie impossible. Pour être sûr de son silence, il lui a interdit de quitter son poste pour venir fouiner dans la maison. Difficilement, Florent tente de se consacrer à ses affaires, mais son obsession pour Andréa ne cesse de grandir. Il veut toujours être auprès d’elle, toujours l’avoir. Et ce n’est pas tout. Il a déjà commencé à lui installer un atelier, et en seulement qu
Marcus s’est déjà préparé pour partir au travail quand il entend quelqu’un sonner. Il regarde l’écran de la caméra qu’il a installée et réalise qu’il s’agit de Raïssa. Cette dernière n’ayant plus de nouvelles de lui et sachant qu’il n’aime pas qu’on le dérange au travail, a décidé de venir le voir tôt le matin, avant qu’il ne quitte la maison. Marcus sort de la maison avec son sac, le dépose dans la voiture, se dirige vers le portail et l’ouvre tout en demandant à Raïssa de l’entendre, afin qu’il puisse faire sortir sa voiture.— Mais je suis venue te voir. — Je n’ai pas dit le contraire. Et comme tu peux le voir, je suis sur le point d’aller au travail. Nous allons donc discuter de la raison de ta présence sur la route et dans la voiture. J’espère que tu me comprends. — Ok, comme tu veux. Sans ajouter un mot de plus, Marcus commence à dégager l’espace pour faire sortir sa voiture, ce qu’il fait avant de refermer le portail. Ils montent dans la voiture et prennent la route. Raïs
Andréa s’est déjà levée pour vaquer à ses tâches de femme de ménage. Pendant ce temps, Florent est encore allongé dans le lit, s’éveillant doucement. Il se redresse et s’assoit, ses pensées immédiatement happées par la nuit torride qu’il vient de passer avec Andréa. Il peine à décrire le plaisir intense qu’elle lui a procuré. Cette sensation est si forte qu’il sent une envie irrésistible monter en lui. Son désir est palpable, sa virilité tendue, et sans trop réfléchir, il se lève pour se rendre sous la douche, tentant de se préparer pour le travail. Mais une fois dans la salle de bain, après s’être brossé les dents et juste avant d’ouvrir l’eau, l’envie devient insoutenable. Il n’a qu’un seul besoin, retrouver Andréa pour apaiser cette ardeur matinale. De retour dans la chambre, il remarque que son téléphone s’est allumé. Intrigué, il le prend et voit plusieurs appels en absence de Lucie, accompagnés de messages. Il les parcourt rapidement et constate qu’elle voulait simplement pr