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Chapitre 4

Zut, mes vêtements ont été lavés hier, pourquoi ont-ils été salis de nouveau ? Sur le point d’ouvrir sa bouche, Laurent a été emmené par son voisin, Michel Robert.

Pendant la vie scolaire, ils étaient les meilleurs amis. Ils avaient bagarré avec les autres, ils avaient séché les cours. Maintenant, seulement Michel ne voulait pas l’éloigner.

Il a amené Laurent dans un coin en secouant la tête : « Mon ami, Jacqueline nous méprise normalement. Tu veux t’assoir près d’elle ? C’est simplement un rêve naïf. »

Laurent a souri sans rien dire. Quelques minutes après, Jacqueline était légèrement ivre. Elle a pris le microphone et a chanté dans l’effervescence. Tout en chantant, son corps a vacillé avec la musique, c’était complètement ravissant. Beaucoup de garçons ont été attirés par sa beauté, elle était une Muse !

Jusqu’au soir, les camarades ont quitté cette réunion. Aujourd’hui, le professeur, dépouillé de temps, était absent. On a promis de se rencontrer lundi prochain.

Les garçons se sont précipités de partir avec Jacqueline. Cependant, à la sortie de karaoké, Jacqueline est montée sur une Porsche et a quitté dans les regards stupéfaits des autres.

« Elle est très belle. » Michel a murmuré, « Laurent, maintenant je sais pourquoi tu veux t’asseoir près de Jacqueline. Si je pouvais passer une nuit fantastique avec elle ... je pourrais raccourcir ma vie de dix ans. »

Laurent a ricané. Le lendemain, elle allait travailler dans Saphir. Très bien, il serait le directeur de cette compagnie. Soudain, une sonnerie de téléphone a interrompu ses réfléchissements.

En entendant cette sonnerie, tout le monde a ri. Laurent utilisait Nokia maintenant ?

Laurent a accroché le portable à la vue de ce numéro. La voix de sa belle-mère a transmis par téléphone : « Laurent, aujourd’hui c’est la session annuelle ! Tout le monde t’attend ! Vite ! Rentre le plus vite possible ! »

Laurent a sauté de cri, il a tout oublié !

Il est monté sur son scooter sous les yeux de la foule pour rentrer. Il a entendu que plusieurs filles se sont moquées de lui.

À l’entrée d’un bloc luxueux de la Cité Mer du Nord était garée une Land Rover, une femme adorable se tenait devant cette voiture, en regardant son portable avec impatience.

« Je suis venu, je suis venu. » Laurent a fortement haleté, il est descendu du scooter et a couru vers elle. Il a clairement vu que Charlotte portait l’Amour de Cristal, elle aimait bien son cadeau, alors, elle a hâtivement porté ces chaussures.

Charlotte l’a regardé vers mépris : « Aujourd’hui, c’est la session annuelle des Averie. Tais-toi, ne me fais pas perdre la face. »

« D’accord. »

À peine Laurent est-il monté dans la voiture qu’il a entendu une insulte.

« Laurent, tu n’as pas de costume ? Tu me fais perdre la face en portant ces vêtements médiocres ! » Annie, sa belle-mère, a dit avec indifférence.

Laurent a haussé les épaules sans rien dire.

À la vue de ses gestes, Annie s’est mise tout à fait en colère : « Tu es sourd ou muet ? Tu es un bon à rien, tu sais ? Ma fille a peine de se marier avec toi. »

« Maman, ne sois pas fâchée. » Charlotte a dit en conduisant.

« Moi ? Je ne suis pas en colère ? Pourquoi ? » Annie a pointé vers lui, « Laurent, après la session annuelle, va divorcer avec ma fille. Ne reste pas chez nous. Tu comprends ? »

Laurent était assis sans dire un mot.

Devant la villa des Averie, une centaine de voitures étaient garées. Elles étaient toutes les voitures de luxe.

La salle était remplie. Beaucoup de gens ont salué à Charlotte.

Laurent était complètement négligeable, personne ne voulait parler avec lui. Mais Laurent n’était pas déçu, il était simplement une personne peu importante ici. Il pourrait manger davantage.

Cependant, il y avait toujours des gens tels que Charles Averie qui aimait provoquer les autres.

Il agissait comme si Laurent l’avait offensé. Il se moquait de lui chaque fois.

« Dis donc ! C’est le gendre de notre famille, Laurent ! » Charles s’est avancé vers lui, « Vois ta chemise ! Il coûte deux euros dans le marché, non ? »

À ces mots, tous les regards se sont concentrés sur Laurent. On a regardé Laurent comme s’il était un bouffon dans les comédies.

« Non. Il coûte trois euros. » Laurent a murmuré.

Les gens se sont éclatés de rire. Certaines filles, voulant rester élégantes, ont aussi ri.

« Tais-toi. »

Charlotte a dit à voix basse. Elle se sentait être humiliée par son mari. Elle ne le laissait jamais venir sans les règles familiales !

« Charlotte, sa chemise coûte seulement trois euros, ça ira. Mais ton costume ne coûte que des milliers d’euros ? » Charles a ri, « Tu n’as pas honte de porter cela ? Viens voir, mon costume est de Giorgio Armani, peux-tu imaginer son prix ? »

À ces mots, il a agité ses doigts devant eux : « Sept cent mille euros. »

Tout le monde a visé des regards admirés vers lui, les yeux des filles ont trahi leur appréciation, les garçons enviaient aussi.

Charlotte s’est mordu les lèvres. En effet, son costume ne coûtait que mille deux cents euros. Un vêtement de sept cent mille euros, elle ne pourrait pas même imaginer.

Sa figure a rougi de honte à la vue des regards des autres.

Mais à ce moment-là, Laurent s’est avancé vers lui et a touché son vêtement.

« Tu es fou ou quoi ! » Charles a gonflé, « Oses-tu toucher mon costume ! »

Laurent a souri : « Ce costume n’est pas convenable à notre réunion. Il a été conçu par le styliste italien, Francisco Martin, il n’y a qu’un dans le monde, dans le Musée du prêt-à-porter, en Italie. Alors, le tien est factice. Et il n’est pas de bonne qualité. Il y a encore des bouts de fil près de ta poche, tu peux les accrocher maintenant. Cela ne vaut que deux cents euros. Le costume de ma femme est meilleur que le tien. »

« D’ailleurs, son inspiration est venue de son père, Pétrarque. Après la faillite, son père a subi la dépression et a senti que le monde était tordu. Donc, les rayures de ce costume sont toutes ondoyantes. »

« Alors, tu portes ce costume aujourd’hui ? Tu veux que notre famille subisse la faillite tout de suite ? »

Laurent a souri. Sa voix n’était pas haute, mais tout le monde a entendu.

Tous étaient silencieux !

Tout le monde a été attrapé par l’étonnement. C’était Laurent qui a dit cela !

« En plus, j’ai une chose à te dire. Même si ses vêtements ne sont pas chers, ma femme aime bien porter des chaussures luxueuses. » a dit Laurent, fermement, « Ses hauts talons s’appelaient l’Amour de Cristal. Si tu n’as pas entendu ce nom, tu pourras vérifier sur Internet. »

« L’Amour de Cristal ? C’est authentique ! C’est très beau ... »

Tous ont été étonnés ! Toutes les invitées étaient des dames privilégiées, elles ont toutes connu ces chaussures. L’Amour de Cristal sous les pieds de Charlottes était authentique, elles pouvaient les vérifier par une simple vue !

Mais cela coûtait trois cents millions ! N’importe quelle femme l’aimait ! À cet instant, tous les regards ont visé sur Charlotte avec des cris enviés.

Charlotte a jeté un coup d’œil à son mari. Elle a pensé pour la première fois que Laurent n’était pas un bon à rien. Mais, pourquoi a-t-il acquis ces connaissances ? Le nom du styliste et son inspiration, peu de gens le savaient.

Elle trouvait avec sûreté qu’il a cherché des informations sur la toile !

« Tais-toi ! » Charles a crié vers lui.

« Pan ! »

Annie a subitement giflé Laurent.

Quelle bonne gifle ! À ce moment-là, tout le monde a été stupéfait, la salle a été dominée par le silence.

« Laurent, tu as fait encore des tiennes. Fais des excuses à Charles rapidement ! » a dit Annie avec indifférence.

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