La connexion, la relation, ou le lien...Ce qu'il y a entre Benjamin Williams et moi est indicible. Je ne m'y attendais pas. C'est un mentor, un étalon, mon alter égo. Il est clair que mon plan initial n'est plus d'actualité. Je retourne bientôt à la capitale. Ma relation avec Eric qui me convenait jusqu' à présent me paraît tellement désuète.. Que faire? Au départ, le père ne devrait être un moyen de garder le fils. Puis, Il y a encore quelques jours je peinais à choisir entre le père et le fils. Mais à présent je ne peux plus me passer de père. Que pensait Benjamin de tous cela? Je sais que j'ai été plus qu'une distraction pour lui. Mais Benjamin aime son fils. Qu'est-ce ce qu'il adviendrait de nous. Pourra t on continuer de nous voir ainsi, à l'insu d'Eric. C'était dangereux. Et je n'avais plus du tout envie de continuer ce jeu. Je voulais n'être qu'à lui. Il me fallait crever l'abcès. Enlacer dans ses bras, blottie contre son torse, il me caressait les cheveux,et moi sa barbe. -
C'est ma première nuit en tant que Dominatrice. Ce soir je suis Maîtresse Edith. Je suis tout excitée. J'ai fait des recherches et je compte me laisser guider par mes désirs. J'espère être à la hauteur de la confiance de Ben. Je suis déjà dans notre chambre. Prête grâce aux accessoires de Jackie. J'ai mes des bas résilles et des cuissardes, et corset bien cintré à ma taille. Un masque en velours sur le visage et un fouet à la main. Je n'attends plus que lui. L'adrénaline est à son comble. Quand il fait son entrée, je souris malicieusement, son regard est intense. Perché sur mes cuissardes, je fais le fouet dans l'air. - Agenouille toi, rampe vers moi, Il m'obéit. Un fois à mon niveau je pose un pied sur son dos en enfonçant le talon légèrement dans sa chair. Il grogne de plaisir. - Tu es à mes pieds, Qui suis je pour toi? - Tu es ma reine, ma maîtresse Edith - Bien, lèche moi chaque orteil.dis je en m'asseyant dans ce fauteuil qui habituellement était sa chasse gardée. Il s'ex
Je suis à genoux, je sens mon coeur tambouriné dans ma poitrine, le regard baissé. Benjamin ne dit rien. Il referme le tiroir dans un claquement sec, la cravache dans l'autre main. Il tourne lentement autour de moi comme un prédateur. — Je vais t'apprendre à obéir. Sa voix est coupante. Un ton que je ne lui ai jamais entendu. Tu as osé insulté ma Jackie. — Ce n’était pas une insulte, je… — Tais-toi. Sa mâchoire se contracte. Je vais t'apprendre à rester docile et à me respecter. — Quelle est la règle, Édith ? Je déglutis. — Sécurité, respect… " Vos désirs sont des ordres maître" et “je vous implore maître” si je veux arrêter. Puis il saisit mes cheveux et tire brutalement ma tête en arrière. Mon cri est étouffé. — Tu voulais jouer à la dominatrice ? Tu n’en es pas digne. Pas encore. Tu es une fille arrogante, vaniteuse, sans limites. Tu ne comprends qu’une chose : le langage de la chair. Il me fait ramper. Littéralement. Jusqu’au grand miroir. — Regar
Je suis à genoux, je sens mon coeur tambouriné dans ma poitrine, le regard baissé.Benjamin ne dit rien. Il referme le tiroir dans un claquement sec, la cravache dans l'autre main. Il tourne lentement autour de moi comme un prédateur.— Je vais t'apprendre à obéir. Sa voix est coupante. Un ton que je ne lui ai jamais entendu. Tu as osé insulté ma Jackie.— Ce n’était pas une insulte, je…— Tais-toi. Sa mâchoire se contracte. Je vais t'apprendre à rester docile et à me respecter.— Quelle est la règle, Édith ?Je déglutis.— Sécurité, respect… " Vos désirs sont des ordres maître" et “je vous implore maître” si je veux arrêter.Puis il saisit mes cheveux et tire brutalement ma tête en arrière. Mon cri est étouffé.— Tu voulais jouer à la dominatrice ? Tu n’en es pas digne. Pas encore.Tu es une fille arrogante, vaniteuse, sans limites.Tu ne comprends qu’une chose : le langage de la chair.Il me fait ramper. Littéralement. Jusqu’au grand miroir.— Regarde-toi.Ce corps qui se prend po
Eric qui m'embrasse goulûment et caresse ma poitrine généreuse qui s'offre à lui. Tandis que son père s'enfonce en moi énergiquement, la cravache en main. Moi qui me perd dans les méandres d'un plaisir interdit mais pourtant si jouissif, si délicieux. Et Je me réveille en sueur... Je fais ce rêve ( ou plutôt ce cauchemard) plusieurs fois. Il traduit mon vice, ce désir inassouvi que j'ai, d'avoir ces deux hommes rien que pour moi. Ce fantasme obscène d'avoir pour moi et en moi, à la fois le père et le fils... Depuis la dernière fois, je n'ai plus eu de contact privé avec Benjamin. J'aime à penser qu'il est aussi tourmenté par mon absence. Eric est retourné à la capitale à sa demande, pour leurs affaires. Il en a pour quelques jours. D'ailleurs les vacances se terminent bientôt. J'ai abattu pratiquement toutes mes cartes. Peut être trop vite. Si je perd cette bataille, je ne m'en remettrai pas. J'ai peut être surestimé mes forces. Benjamin Williams ne succombera pas si facilem
Je ne l'avais pas entendu entrer. Quand j'ouvris les yeux il était là,en peignoir, adossé à la porte un verre de smoothie à la main. - À quel jeu tu joues Edith? Me demanda t-il contrarié. - Je ne joue pas, je ne joue plus c'est tout. Je m'assis, nue sur le rebord de la baignoire. Les gouttes d'eau ruisselaient encore sur ma peau.j'ecartai les jambes, et je me mis à me toucher comme il aurait voulu le faire lui même. Il avança. - Non, n'avances pas. Observe ce corps que tu désires tant et que tu n'auras plus. Il était comme hypnotisé par ce qu'il voyait. Il me désirait c'était certain. Son regard était noir de désir mal contenu. - Tu connais les règles Jeune fille. Quand je convoques, tu viens! Martela t'il en refermant son poing. Je ne répondis pas, je me contentais de me caresser, de mordiller ma lèvre , tout jouant avec mon intimité. - Arrête sinon je ne répond plus de moi. Je continuais de plus belle enfonçant un doigt en moi, je portai ce même doigt à la bouche, le reg