Angélique, 29 ans, institutrice mariée depuis cinq ans à Richard, croit vivre un mariage solide fondé sur l’amour, la foi et la fidélité. Vierge jusqu’au mariage, elle s’est donnée corps et âme à un seul homme : son mari. Malgré leur complicité apparente, un drame silencieux les ronge — leur incapacité à avoir un enfant. Si Richard se montre patient et réconfortant, la belle-famille d’Angélique ne cache pas son hostilité. Dans cette épreuve, elle s’appuie sur sa meilleure amie Edith, femme vive, séduisante et indépendante. Mais un détail inattendu — une voix, un rire au téléphone — sème le doute dans l’esprit d’Angélique. Peu à peu, elle collecte des indices : un ticket de restaurant pour deux à Yamoussoukro, un comportement étrange, une voiture rouge familière… jusqu’à l’irréfutable vision de Richard dans les bras d’Edith. Effondrée, elle trouve refuge chez sa sœur aînée Béatrice. Mais cette visite prend un tournant inattendu : Béatrice lui révèle que son propre couple repose sur un équilibre tacite de "liberté surveillée", chacun ayant une liaison discrète hors du foyer. Entre trahison, désillusion et tentation, Angélique perd ses repères. Et décide de répliquer. Froide, méthodique, elle envisage une vengeance douce-amère : séduire Eric, le fiancé d’Edith, également trompé. La douce institutrice n’a pas changé… elle s’est révélée.
View MoreJe me nomme Angélique O ( souffrez que je maintienne une certaine anonymat). Je suis institutrice et mariée depuis 5 ans maintenant. Et je peux me targuer d’être arrivée vierge au mariage. Je n'ai connu qu’un seul homme : mon Richard. Richard et moi nous nous sommes rencontrées par l’entremise de nos parents respectifs. Ils étaient dans la même association de retraités, s’appréciaient et ont pensé qu’on pourrait former un beau couple. Ce ne fut pas le coup de foudre pour moi, à notre rencontre. Mais je voulais me marier. Et Richard cochait toutes les cases. Tous mes critères :
JCD( jeune cadre dynamique), Chrétien engagé, sportif, grand, avec des traits plaisants( ni laid, ni trop beau). Nous nous sommes fréquentés et les choses sont allés très vite. Après six mois, il venait « frapper à la porte » de mes parents comme on dit chez nous: il venait se présenter officiellement. Puis suivirent les mariages traditionnel, civil et religieux ( en grandes pompes comme je l’avais toujours rêvé). J’étais donc devenue son épouse.
Depuis notre mariage mon Richard n’a eu de cesse de me combler( sexuellement, financièrement et moralement). Il a toujours été à mes petits soins. Oh comme je l’aime mon Richard. Seulement voilà, il y a une ombre à ce tableau : je n’arrive pas à tomber enceinte. Pas un seul retard depuis 5 ans. Chaque mois, la même douleur. La même honte. La même prière sans réponse. Richard, en bon chrétien, me réconforte, et garde confiance en Dieu. Il ne manque pas de me répéter « les voies de l’Eternel sont insondables, garde la foi ma chérie, Dieu nous exaucera au temps favorable.
Humm ! Si seulement ma belle famille, que dis je ma belle mère et mes deux belles sœurs étaient tout aussi compréhensives…
Ces dernières, ne manquent pas de me rejeter la faute...Je vis très mal cette situation.
Heureusement, il y a Edith. Edith, c’est ma meilleure amie.
Une authentique épicurienne. Avec elle, on rit, on vit, on oublie. Ce qu’Edith veut, elle l’obtient. Toujours.
Belle à faire tourner les têtes, aucune de ses « cibles » (c’est ainsi qu’elle les appelle) ne lui résiste.
C’est elle qui m’a traînée chez les tradipraticiens les plus réputés.
C’est elle qui m’a tenue la main durant les piqûres de la FIV.
Et c’est elle encore qui m’a dit, un jour :
« Tu sais quoi, Angie ? Stop. Profite de ta vie. Laisse Dieu gérer ça. Toi, vis. »
J’ai finalement décidé d’écouter les conseils d’Edith et de mon époux, j’ai décidé de laisser la nature suivre son cours. Cette année plus de pression. J’aurai bientôt 30 ans. Je compte profiter de la vie.
Avec Richard , Edith et son nouveau fiancé Eric nous irons tous les quatre en voyage, pour nos vacances.
J’ai déjà tout organisé avec Edith. Je compte faire la surprise à Richard lorsqu’il rentrera de son séminaire.
Le téléphone vibra. C’était Richard. Mon cœur fit un petit bond.
— Allô mon amour ?
— Mon ange… je voulais juste entendre ta voix avant de dormir. Tu me manques.
— Toi aussi, mon cœur.
On échangea quelques mots doux. Rien d’anormal. Il me souhaite bonne nuit.
Puis un silence.
Et alors qu’il pensait avoir raccroché, je l’entendis rire.
Et une voix, familière, s’éleva à l’arrière.
Claire. Chaleureuse. Trop proche. Trop à l’aise.
« Tu as raccroché ? Elle a rien capté ? »
C’était la voix d’Édith
Que font Edith et Richard ensemble à cette heure...Non ! Edith est à Abidjan et Richard en Séminaire à Yamoussoukro. Je prend le téléphone et j’appelle Edith. Elle répond après quelques secondes. Elle m’informe qu’elle est déjà au lit, exténuée. Je lui propose qu’on se voit demain. Elle décline ma proposition en balbutiant qu’elle a prévu une escapade romantique avec Eric…
Edith n’est donc pas avec Richard… Pourtant cette voix était si similaire à la sienne. Et ce rire… Non Angélique, ! me dis je, arrête ta paranoïa…
Que ferait Edith et Richard ensemble à Yamoussoukro à cette heure ci ? Je chasse cette idée de ma tête.
Je pose le téléphone et tente de reprendre mes activités.
Mais une gêne sourde s’est installée, un poison lent qui s’insinue dans mes pensées.
Je refuse de céder à la paranoïa. Edith est ma sœur de cœur. Richard est mon époux fidèle. Point final.
La connexion, la relation, ou le lien...Ce qu'il y a entre Benjamin Williams et moi est indicible. Je ne m'y attendais pas. C'est un mentor, un étalon, mon alter égo. Il est clair que mon plan initial n'est plus d'actualité. Je retourne bientôt à la capitale. Ma relation avec Eric qui me convenait jusqu' à présent me paraît tellement désuète.. Que faire? Au départ, le père ne devrait être un moyen de garder le fils. Puis, Il y a encore quelques jours je peinais à choisir entre le père et le fils. Mais à présent je ne peux plus me passer de père. Que pensait Benjamin de tous cela? Je sais que j'ai été plus qu'une distraction pour lui. Mais Benjamin aime son fils. Qu'est-ce ce qu'il adviendrait de nous. Pourra t on continuer de nous voir ainsi, à l'insu d'Eric. C'était dangereux. Et je n'avais plus du tout envie de continuer ce jeu. Je voulais n'être qu'à lui. Il me fallait crever l'abcès. Enlacer dans ses bras, blottie contre son torse, il me caressait les cheveux,et moi sa barbe. -
C'est ma première nuit en tant que Dominatrice. Ce soir je suis Maîtresse Edith. Je suis tout excitée. J'ai fait des recherches et je compte me laisser guider par mes désirs. J'espère être à la hauteur de la confiance de Ben. Je suis déjà dans notre chambre. Prête grâce aux accessoires de Jackie. J'ai mes des bas résilles et des cuissardes, et corset bien cintré à ma taille. Un masque en velours sur le visage et un fouet à la main. Je n'attends plus que lui. L'adrénaline est à son comble. Quand il fait son entrée, je souris malicieusement, son regard est intense. Perché sur mes cuissardes, je fais le fouet dans l'air. - Agenouille toi, rampe vers moi, Il m'obéit. Un fois à mon niveau je pose un pied sur son dos en enfonçant le talon légèrement dans sa chair. Il grogne de plaisir. - Tu es à mes pieds, Qui suis je pour toi? - Tu es ma reine, ma maîtresse Edith - Bien, lèche moi chaque orteil.dis je en m'asseyant dans ce fauteuil qui habituellement était sa chasse gardée. Il s'ex
Je suis à genoux, je sens mon coeur tambouriné dans ma poitrine, le regard baissé. Benjamin ne dit rien. Il referme le tiroir dans un claquement sec, la cravache dans l'autre main. Il tourne lentement autour de moi comme un prédateur. — Je vais t'apprendre à obéir. Sa voix est coupante. Un ton que je ne lui ai jamais entendu. Tu as osé insulté ma Jackie. — Ce n’était pas une insulte, je… — Tais-toi. Sa mâchoire se contracte. Je vais t'apprendre à rester docile et à me respecter. — Quelle est la règle, Édith ? Je déglutis. — Sécurité, respect… " Vos désirs sont des ordres maître" et “je vous implore maître” si je veux arrêter. Puis il saisit mes cheveux et tire brutalement ma tête en arrière. Mon cri est étouffé. — Tu voulais jouer à la dominatrice ? Tu n’en es pas digne. Pas encore. Tu es une fille arrogante, vaniteuse, sans limites. Tu ne comprends qu’une chose : le langage de la chair. Il me fait ramper. Littéralement. Jusqu’au grand miroir. — Regar
Je suis à genoux, je sens mon coeur tambouriné dans ma poitrine, le regard baissé.Benjamin ne dit rien. Il referme le tiroir dans un claquement sec, la cravache dans l'autre main. Il tourne lentement autour de moi comme un prédateur.— Je vais t'apprendre à obéir. Sa voix est coupante. Un ton que je ne lui ai jamais entendu. Tu as osé insulté ma Jackie.— Ce n’était pas une insulte, je…— Tais-toi. Sa mâchoire se contracte. Je vais t'apprendre à rester docile et à me respecter.— Quelle est la règle, Édith ?Je déglutis.— Sécurité, respect… " Vos désirs sont des ordres maître" et “je vous implore maître” si je veux arrêter.Puis il saisit mes cheveux et tire brutalement ma tête en arrière. Mon cri est étouffé.— Tu voulais jouer à la dominatrice ? Tu n’en es pas digne. Pas encore.Tu es une fille arrogante, vaniteuse, sans limites.Tu ne comprends qu’une chose : le langage de la chair.Il me fait ramper. Littéralement. Jusqu’au grand miroir.— Regarde-toi.Ce corps qui se prend po
Eric qui m'embrasse goulûment et caresse ma poitrine généreuse qui s'offre à lui. Tandis que son père s'enfonce en moi énergiquement, la cravache en main. Moi qui me perd dans les méandres d'un plaisir interdit mais pourtant si jouissif, si délicieux. Et Je me réveille en sueur... Je fais ce rêve ( ou plutôt ce cauchemard) plusieurs fois. Il traduit mon vice, ce désir inassouvi que j'ai, d'avoir ces deux hommes rien que pour moi. Ce fantasme obscène d'avoir pour moi et en moi, à la fois le père et le fils... Depuis la dernière fois, je n'ai plus eu de contact privé avec Benjamin. J'aime à penser qu'il est aussi tourmenté par mon absence. Eric est retourné à la capitale à sa demande, pour leurs affaires. Il en a pour quelques jours. D'ailleurs les vacances se terminent bientôt. J'ai abattu pratiquement toutes mes cartes. Peut être trop vite. Si je perd cette bataille, je ne m'en remettrai pas. J'ai peut être surestimé mes forces. Benjamin Williams ne succombera pas si facilem
Je ne l'avais pas entendu entrer. Quand j'ouvris les yeux il était là,en peignoir, adossé à la porte un verre de smoothie à la main. - À quel jeu tu joues Edith? Me demanda t-il contrarié. - Je ne joue pas, je ne joue plus c'est tout. Je m'assis, nue sur le rebord de la baignoire. Les gouttes d'eau ruisselaient encore sur ma peau.j'ecartai les jambes, et je me mis à me toucher comme il aurait voulu le faire lui même. Il avança. - Non, n'avances pas. Observe ce corps que tu désires tant et que tu n'auras plus. Il était comme hypnotisé par ce qu'il voyait. Il me désirait c'était certain. Son regard était noir de désir mal contenu. - Tu connais les règles Jeune fille. Quand je convoques, tu viens! Martela t'il en refermant son poing. Je ne répondis pas, je me contentais de me caresser, de mordiller ma lèvre , tout jouant avec mon intimité. - Arrête sinon je ne répond plus de moi. Je continuais de plus belle enfonçant un doigt en moi, je portai ce même doigt à la bouche, le reg
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