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Beranda / Romance / Patron Irrésistible : Prisonnière de Ton Charme / Chapitre 107

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Chapitre 107

Penulis: Maria Anita
Ma première journée de retour chez le Groupe Miller était incroyablement mouvementée, avec la bagarre entre Sandrine et Céleste, l'arrivée d'Henry fou de rage car Sandie avait été agressée, et les rumeurs qui circulaient dans l'entreprise selon lesquelles je bénéficiais d'un traitement de faveur en couchant avec le patron.

Bien sûr, le renvoi de Céleste était un soulagement pour moi. Je n'aurais pas pu travailler avec elle, sachant qu'elle me causerait sûrement d'autres ennuis tôt ou tard. L'ambiance à l'étage de la direction était excellente : la tension s'était dissipée depuis le départ de Céleste, et il y avait tellement de travail qu'Alexandre et moi n'avions même pas le temps pour nos taquineries habituelles.

C'était vendredi où je suis revenue du déjeuner avec Sandie, Johnson est entré dans l'ascenseur avec nous. J'ai senti mon corps se crisper immédiatement. Les portes se sont fermées et l'ascenseur a commencé à monter. Soudain, Johnson s'est tourné vers moi en s'approchant pl
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  • Patron Irrésistible : Prisonnière de Ton Charme   Chapitre 120

    Lorsque je suis arrivée à l'étage de la direction, Sandrine a bondi de son bureau et m'a entraînée aux toilettes.« Oh, raconte-moi tout ! Comment ça s'est passé ? »« C'était vraiment bien, Sandie, vraiment bien. Mais je vous raconterai tout à la soirée entre filles, comme ça je n'aurai à le dire qu'une fois. »« Tu vas nous faire mourir d'impatience jusqu'à ce soir ! » Sandrine a fait la moue. « Mais je dois te prévenir, Alexandre sait que tu as déjeuné avec Lévy. »« Comment le sait-il ? »« Denis le lui a dit. »« Et alors ?... »« Je l'ai entendu dire à Pascal qu'il vaut mieux que tu passes à autre chose, il ne veut pas que tu souffres et Lévy est quelqu'un de bien. Mais Cat, il est anéanti. »« Je sais, Sandie, mais je ne peux pas me laisser sombrer. J'ai un fils qui a besoin de moi. Lévy est une personne formidable et nous avons convenu d'être amis, il connaît ma situation et mes sentiments. Bientôt Alexandre sera marié et je ne serai plus la maîtresse. »« Tu as raison

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    Lévy portait un pantalon habillé gris anthracite avec un gilet assorti. Il n'avait pas de blouson, seulement le gilet par-dessus une chemise blanche aux manches retroussées et les trois premiers boutons défaits, sans cravate. Ses vêtements ont été manifestement sur mesure et ont épousé parfaitement sa silhouette, laissant deviner ses muscles sous le tissu. Il portait des lunettes de soleil, et ses cheveux courts cuivrés étaient coiffés de manière impeccable. Sa barbe était soigneusement taillée mais très courte, comme s'il ne s'était pas rasé depuis deux ou trois jours. Contrairement à sa sœur, il n'a pas eu de taches de rousseur. C'était vraiment un bel homme.« Mon dieu ! Tu m'as coupé le souffle ! », s'est exclamé Lévy en s'arrêtant devant moi. « Comment est-ce possible que tu sois encore plus ravissante que la dernière fois que je t'ai vue, Catherine ? »« Oh, Lévy, tu es trop gentil. »Il m'a fait la bise et m'a ouvert la portière de la voiture, m'offrant sa main pour m'aider à

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    Le lendemain, malgré une nuit agitée, je ne me sentais pas aussi épuisée qu'auparavant. Quand je suis arrivée au bureau, Sandrine m'a accueillie avec un immense sourire et m'a serrée dans ses bras.« Ma belle, je t'attendais pour prendre un café. Je suis passée à la boulangerie près de chez moi, et j'ai acheté des muffins aux pépites de chocolat. »« J'adore les muffins aux pépites de chocolat. », ai-je dit en lui rendant son sourire. « Laisse-moi déposer mon sac. »Je suis allée dans mon bureau, j'ai rangé mon sac et j'ai allumé l'ordinateur. Pascal est entré, m'a pris la main et m'a demandé :« Comment va la plus belle assistante du monde ? »« Je vais bien, Pascal. Merci ! Et je suis désolée d'avoir accaparé ton canapé pendant toute la journée. », lui ai-je dit en souriant.« Oh, ne t'excuse pas ! C'était fort agréable de travailler toute la journée en admirant une si belle femme endormie sur mon canapé. », a-t-il dit avec un clin d'œil. « N'hésite pas à recommencer quand tu v

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    Je me suis réveillée dans la pénombre. Une faible lueur émanait d'une lampe à l'autre bout de la pièce. En regardant autour de moi, j'ai reconnu le bureau de Pascal. Par la fenêtre, je pouvais voir qu'il faisait déjà nuit, mais je ne comprenais pas ce qui s'était passé. La dernière chose dont je me souvenais était d'être assise devant mon ordinateur de travail, ressentant une somnolence presque irrépressible, mais c'était encore le matin.J'ai bougé et j'ai senti une main chaude sur ma cheville qui m'a fait frissonner. J'ai reconnu ce toucher avant même de le voir. Je me suis rendu compte que mes pieds reposaient sur sa jambe. Je me suis frotté les yeux, essayant de m'habituer à la faible luminosité, et je l'ai regardé pendant qu'il caressait doucement mes pieds.« Tu es réveillée, mon ange. Comment te sens-tu ? », a demandé Alexandre d'une voix rauque.« Un peu bizarre. Quelle heure est-il ? Je ne me souviens pas d'être venue m'allonger ici. », ai-je dit, tout à fait désorientée.

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    PDV d'Alexandre« Sandie, comment va Catherine ? », ai-je demandé, m'arrêtant devant le bureau de ma secrétaire.« Affreuse ! Épouvantable ! Catastrophique ! Mais Madame Margot lui a préparé une tisane qui l'a apaisée. Je croule sous le travail, mais comme je lui ai laissé de quoi s'occuper et que je n'entends plus de sanglots, je ne suis pas retournée la voir. », a répondu Sandrine.« Il faut que je lui parle. Elle doit comprendre pourquoi je fais tout ça. », ai-je dit en me dirigeant vers le bureau de Catherine.« Alexandre, ne bouleverse pas mon amie à nouveau. Je ne suis pas convaincue que ce chaos soit justifiable. », m'a prévenu Sandrine.« Désolé, mais je dois lui parler. » Je me suis retourné avant d'entrer dans son bureau.En regardant à l'intérieur, Catherine avait la tête posée sur son bureau avec les yeux fermés. Je me suis approché et j'ai murmuré son prénom, mais elle n'a pas réagi. J'ai réessayé, sans succès. Je l'ai soulevée dans mes bras : elle était profondément

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    Les jours se traînaient, je m'étais plongée dans le travail et tout mon temps libre était consacré à mon fils et à mes amis. Je dormais à peine. Des cernes presque noirs s'étaient creusés sous mes yeux.Quand je suis arrivée à mon bureau pour travailler, il y avait un nouveau bouquet de tulipes sur la petite table et une carte portant l'écriture d'Alexandre qui disait :« Je donnerais ma vie pour toi et je deviens fou sans toi. Je ferais n'importe quoi pour t'épargner la souffrance. »J'ai regardé sur le côté et sur l'autre petite table se trouvait un autre arrangement floral également accompagné d'une carte. Mais c'était une composition étrange, presque macabre, avec des fleurs que je voyais habituellement aux enterrements. Je l'ai trouvé bizarre et j'ai ressenti un frisson, cela ne semblait pas être l'œuvre d'Alexandre. J'ai pris la carte et l'ai ouverte, à l'intérieur il y avait un message dactylographié :« Tu ferais mieux de retourner dans le caniveau d'où tu viens. Alexandre

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    PDV d'AlexandreJe n'arrivais pas à croire ce que j'ai fait jusqu'à maintenant. Que m'est-il arrivé lors de cette maudite soirée d'adieu pour Maria ? Pourquoi ai-je autant bu ? Je ne me souvenais même plus de ce qui s'est passé. Et maintenant me voilà, plongé en enfer en compagnie de Cerbère sans voir d'issue à cette galère.J'ai passé une semaine entière à essayer de résoudre cette histoire avec Caroline qui est enceinte, mais ils m'ont poussé à bout et les choses ne peuvent pas être pires.« Alexandre ? » J'entends Pascal qui m'appelle.« Je suis en haut ! », lui ai-je répondu.Je me trouvais sur le toit de mon appartement, contemplant la ville à mes pieds, suppliant Dieu d'accomplir un miracle, pour que tout cela prenne fin. Je réfléchissais à tout ce pétrin dans lequel je suis plongé jusqu'au cou.« Mon vieux ! Comment vas-tu ? Qu'est-ce qui était si urgent ? » Pascal était inquiet. Quand je l'ai appelé, je pleurais comme un enfant et je lui ai demandé de venir au plus vite a

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    « Catherine, je dois te parler. »« Tu as du culot, espèce de salope, de venir ici importuner mon amie. », a aussitôt lancé Sandrine à Caroline.« Catherine, si ce n'était pas crucial, je ne serais pas venue te chercher, mais s'il te plaît, écoute-moi. », a dit Caroline comme si elle pleurait, en s'efforçant visiblement d'être au moins aimable.« Pas question. Dégage d'ici et laisse Cat tranquille. » Sandrine était furieuse, et elle risquait de sauter à la gorge de Caroline.« Sandie, laisse tomber, je vais écouter ce qu'elle a à dire. Je ne veux pas qu'elle me suive partout. Il vaut mieux l'écouter tout de suite et se débarrasser de cette plaie. », ai-je dit à Sandrine.Caroline n'a pas perdu de temps, a tiré la chaise à côté de moi et s'est assise.« Écoute, Catherine, je vais te parler de mère à mère. », a-t-elle commencé en posant sa main sur sa poitrine. « Tu sais comme c'est dur d'élever un enfant seule, et je sais que tu élèves le tien parce que tu ne connais même pas son

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    Le week-end est passé comme un éclair pour moi. Mes amis ont tout tenté pour me remonter le moral et même pour me convaincre que je ne devrais pas quitter Alexandre, mais je ne pouvais pas m'immiscer entre lui et son fils, et je savais que cette femme me rendrait la vie infernale. Je ne pourrais pas le supporter.Le lundi, à mon arrivée au travail, Johnson m'a abordée à l'entrée de l'immeuble.« Qu'est-ce que tu fiches encore ici, espèce de traînée ? », a-t-il hurlé en se plantant devant moi. J'ai essayé de le contourner pour passer, mais il m'en a empêchée et m'a agrippé le bras. « Je t'ai posé une question, petite garce. »« Lâche-moi. » J'ai arraché mon bras de ses griffes. « Je travaille ici ! »« Non ! Je vais exiger qu'Alexandre te renvoie. », a-t-il lancé avec les yeux brillants de rage.« Fais-le donc. », ai-je répliqué en lui tournant le dos.Quand Johnson s'est avancé pour m'empêcher d'entrer dans l'immeuble, l'agent de sécurité Daniel s'est interposé entre nous.« Ne

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