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Julia c'était de bonheur, aujourd'hui elle avait une séance à la salle de sport avec les femmes. Elle enfilait rapidement sa tenue de yoga avant de sortir de l'appartement. Ce fut un autre détour lorsque madame Griselda l'interpellait pour l'aider à monter ses paquets. Cette vieille ne pouvait plus se passer de Julia et maintenant elle ne jurait que par son nom. Elle lui confiait même sa paye de la retraite. Julia voyait en elle la grand mère qu'elle n'avait jamais pu avoir. 

-- bonne journée madame Griselda. 

-- je suis une demoiselle. Répond la vieille. 

Comme à son habitude, elle avait horreur qu'on l'a traitre de vieille femme. Julia se mit à sourire avant de lui plaquer un baiser sur la joue. 

-- à ce soir miss Griselda. Rectifia t-elle. 

Puis elle filait à la salle de sport. Comme à son habitude elle était pile à l'heure. Depuis qu'elle faisait ce travail, elle n'avais jamais eut de plainte venant de qui que ce soit, elle était respectueuse, éveillé et surtout restait toujours dans le domaine professionnel , elle ne se liait d'amitié avec aucun des clients. 

-- allez, gardez cette position. Un petit effort. 

La séance terminée, Julia rentrait chez elle. Sa journée était loin d'être terminée, elle devait à présent se rendre chez ANDERSON ENTAINTEMENT pour rendre le porte feuille de cet homme. Elle avait tenter de le joindre la veille mais il n'avait décocher à aucun de ses appels. 

Und fois chez elle, elle se dépêchait de prendre une douche , puis enfilait un Jean et un vulgaire t-shirt. Elle prit ses clés et sortit de nouveau de son appartement. Cette fois elle ne croisait pas madame GRISELDA. 

Le taxi garait devant le gigantesque bâtiment, elle le contemplait de haut , fasciné par sa grandeur. Julia se rendait au hall où les réceptionniste l'a devisageait , elle n'était pourtant pas si mal accoutumé. Elle avait beau leur dit qu'elle etait la pour rendre un objet retrouver mais ses dernière refusait carrément de l'écouter. 

-- hey écoutez moi. Monsieur Anderson par mal adresse... 

-- mademoiselle , nous ne pouvons pas vous recevoir, il faut...

-- mais enfin, j'ai son porte feuille. 

Elle sortit le porte feuille de son sac et le montrait, avec toutes les cartes. Toujours pas convaincu, la réceptionniste passait un coup de fil à l'un des agents de la sécurité qui l'obligeait a remettre le porte feuille et du se résigner à rentrer chez elle pour ne pas créer de scandale. 

Peu de temps après son départ, l'agent de sécurité montait jusqu'à l'étage de monsieur Anderson. La secrétaire annonçait la venue du chef de sécurité. 

-- Bonjour monsieur , j'espère...

-- dépêchez vous de parler. Ma femme à encore fait un scandale. Coupa t-il énervé 

-- monsieur, ce matin nous avons reçu la visite quelque peu étrange d'une jeune femme. 

Il se raidit dans son fauteuil et se faisait ses propre scénario, il était convaincu que c'était une manœuvre de sa femme. 

-- une Certaine Julia MCFORD. Elle disait avoir retrouver votre portefeuille. 

Il se redressait aussitôt en se rappelant qu'il ne le retrouvait nul part. Il avait même ordonner de bloquer ses comptes de peur Adriana ne puisse retirer aucune somme. 

-- nous l'avons fait envoyer au laboratoire pour le faire examiner. 

Il se rappelait encore de la stratégie qu'avait user le tueur de Stone , l'un des plus fortuné de ce pays. 

-- très bien. 

L'homme en costume se retournait aussitôt. Oliver se demandait de où avait t-il perdu son portefeuille. Il bafouait les quelques idées tordues qu'il avait en tête à propos de cette jeune qui serait peut être l'espionne de sa femme. Avec leur séparation, tout les coup était bon pour l'accuser d'adultère. Adriana était une femme très ruser et savait parfaitement manier ses armes. 

Il se concentrait sur son travail et ne vit pas le temps passer. Le soir avant sa sortie. L'agent de sécurité, venait lui remettre le portefeuille avec tout les billets et cartes au grand complet. Rien n'y manquait, même pas les quelques centimes. Oliver du demander à sa secrétaire de faire appel à son veille ami. Josh Walker . Elle lui passait la ligne une fois qu'il était joignable. 

-- OLIVER que me vaut donc l'honneur de ton appel... 

-- je voudrai que tu retrouve quelqu'un pour moi. 

-- un criminel ?

-- nous n'allons pas tarder à le savoir. C'est une femme, une dénommé JULIA MCFORD. 

-- demain à la première heure tu auras toutes les informations sur cette femme. Déclara l'homme avec conviction.

-- merci mon ami. 

Et il raccrochait l'appel. Ses idées étaient à présent confus. Il observait toujours le porte feuille poser sur la table. Enfin de compte il prit ses clés et sortit du bureau. Il rentrait un peu ce tôt ce soir , sa journée était épuisante. 

Sa maison comme chaque soir était dans le noir total, il rêvait par moment au jour où elle sera éclairer à son retour du travail avec une petite fumée odorante des plats que lui cuisinera sa petite femme. Mais hélas , elle était vide et froide. Il garait sa voiture dans la cour et entrait directement dans sa chambre sans prendre la peine d'allumer les lumière, il maitrisait parfaitement les recoins de cette maison.

Il servait un verre de whisky pour passer le temps et ouvrait son ordinateur , son travail ne le quittait, il était devenu son journal intime , seul son travail connaissait ses états d'âme. Ne voyant pas le temps passer, il se concentrait jusqu'au petit matin avant de s'écrouler dans son canapé. 

Aujourd'hui, Oliver n'était pas matinal, il c'était réveiller à 8h en sursaut. Il rentrait directement dans sa salle de bain pour prendre une bien froide. L'eau qui ruisselait sur sa peau lui faisait énormément de bien, elle avait le pouvoir de réveiller tout ses sens. 

Prêt, il ne prit même pas de petit déjeuner et filait à l'entreprise. 

Sa secrétaire était surprise de le voir venir à cette heure, Oliver avait toujours été matinal on croirait presqu'il était le vigile de l'entreprise. 

-- une nuit difficile Monsieur ?

-- un peu. 

-- votre ami Walker vous attend dans le bureau. Annonça t-elle. 

-- merci. Pouvez vous m'apportez un café s'il vous plaît ?

-- tout de suite monsieur. 

Il rentrait dans le bureau et trouvait Walker dans le canapé. 

-- tu fais la grâce mâtiné Walker ?

Il sursauta en attendant la voix de Oliver. 

-- j'ai passer la nuit à récolter des informations sur la fameuse Julia. 

-- et...?

-- j'ai toutes les informations qu'il te faut. 

Oliver s'installait dans son fauteuil et tirait un crayon de sa boîte pour prendre ses propre note. 

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