Home / Romance / À moi ou à personne / Au delà de tout soupçon

Share

Au delà de tout soupçon

last update Huling Na-update: 2021-10-27 07:08:58

Franck m'avait finalement laissé devant ma porte. Je l'avoue cette sortie m'a plu et ça faisait longtemps que je ne m'étais pas senti ci bien. Avec Charles nous avons sautés beaucoup d'étapes. Notre rencontre c'est fait via le réseau social W******p dans un groupe de lecture. Il était mon type d'homme, j'ai toujours aimé les hommes avec un soupçon de piquant. Un instinct rebelle, du style d'un Bad boy qui croque la vie à pleine dents. Il est temps que je me connecte Charles m'a probablement laisser des messages. En parlant voilà un message. J'appréhendais ce que j'allais découvrir dans ce message, ça faisait deux semaines qu'il était parti et c'était le froid absolue entre nous, deux semaines sans se parler, c'était très dure de rester silencieuse mon amour, mon chéri me manquait mais je boudais c'était à lui qui devait faire le premier pas.

— Bonjour ma chérie, j'espère que tu vas bien ainsi que mon petit bout de chou qui grandit en toi. Vous me manquez tant. Nous nous sommes quittés en de mauvais termes à cause de certaines révélations sur mon passé mais ne t'inquiètes pas je rendre bientôt nous allons en parler. Prend soin de vous je vous aime fort.

Ce message me faisait chaud au cœur. Je me rendais compte que Charles m'aimait beaucoup je devais lui faire confiance, et croire également en notre couple. J'avais trouver cette stabilité dont je voulais, et j'ai la ferme conviction notre couple ira plus loin au delà des limites parce oui c'est lui que je veux pour le reste de ma vie et uniquement pour le meilleur car je ne laisserai jamais le pire s'installer entre nous. Et pour cela il fallait que je découvre ce pour quoi Franck est revenu. Je ne peux quand même pas prétendre être la raison pour laquelle il est revenu. Mais avant d'arriver à cette étape, je sors marcher un peu. Ça fait plusieurs années déjà que je vis dans ce quartier mais je ne connais pas vraiment le coin. Je sors le matin pour le travail et je rentre le soir et en plus il n'est que 14h et je m'ennuie.

C'est ainsi que je me lance à la découverte de mon quartier. Muni de ma robe en pagne, une paire de scandale aux pieds et quelques jetons dans la poche au cas où le bébé voudrait quelques choses, je m'apprêtais à faire la découverte de mon quartier.

Après quelques pas de marche j'étais déjà fatiguée, essoufflée à n'en plus finir heureusement qu'il y avait un banc public tout juste là devant moi. Finalement je crois que je vais faire cette visite assise sur ce banc à regarder les passants. C'était un beau quartier, un quartier tout tracé et goudronné. Un endroit silencieux où chacun s'occupait de ses affaires. Pas de relation de voisinage, chacun dans son chez soi. Le prototype parfait d'un quartier résidentiel toujours dans l'optique de découverte, mais qu'est ce que je vois là mais c'est la voiture de Franck, mais il habite dans ce quartier? Est ce une coïncidence ? Le fait aussi de connaître mon adresse après tout ce temps passer ailleurs est également une coïncidence ? Je décide de m'approcher de cette voiture histoire de savoir si c'est réellement lui mais si il me voit que va t-il penser ? Mais pourquoi ne m'a t-il pas dis qu'il est notre voisin ? Il tout fait pour contourner cette question l'autre fois.

Mais trêve de bavardage, je vais m'approcher histoire de vérifier mes soupçons. Je m'avançais lentement et sûrement jusqu'au niveau de la voiture et c'était bel et bien celle de ce Franck. Celle dans laquelle il m'a ramenée.

— Madame qu'est ce que vous cherchez là ?

— Qu'est ce que vous regardiez comme ça ?

— Non non rien en fait cette voiture m'a semblée familière, j'ai cru que c'était celle de mon ami Franck.

— Vous parlez de Mr Franck ?

— Oui il est grand de taille, teint clair, corps imposant , avec un humour assez vulgaire et mal placé des fois. Il parle généralement avec ironie, la plupart du temps même d'ailleurs.

— Comment se fait-il que vous le connaissez si bien. C'est la description parfaite de Mr Franck. Moi c'est Adeline sa femme de ménage.

— Moi c'est Émilienne une ancienne bonne amie à ton patron.

— D'accord mais madame dois je lui dire que vous êtes passé ou pas ?

— Non c'est pas la peine. En fait j'habite juste de l'autre côté de l'allée et ça m'a paru bizarre qu'il ne m'est pas dit où il habite.

— Normal avec le genre de vit qu'il mène il a raison de rester discret.

— Adeline qu'est ce que tu marmonne là tout bas.

— Rien madame ne vous en faites pas je ne lui dirais rien. Bon j'ai fini mon travail et je dois m'en aller maintenant.

— Déjà ? Pourtant tu m'étais de très bonne compagnie.

— Madame j'ai des choses à faire et rester devant cette maison n'est pas la chose la plus adéquate à faire. Il pourrait rentrer à n'importe quel moment et nous trouver là.

— Tu as raison. Bon je te propose donc qu'on marche jusqu'à chez moi comme ça et tu viendras me rendre visite quand tu veux. Vu mon état je suis à la maison du matin au soir.

— D'accord allons y mais je ne vais pas entrer, tout compte fait vous êtes une inconnue et je me méfie un peu. Surtout que vous êtes une amie de Mr Franck.

— Je te comprends parfaitement. Mais comment tu peux te méfier encore plus de moi parce que je suis une amie de Franck?

— Parce que ce Mr ne mène pas une bonne vie, il n'a que de mauvaises compagnies et son cœur est rempli de haine.

— Le connaissant ça ne m'étonne pas. Bon nous sommes arrivés devant ma maison. Passe quand tu veux à n'importe quelle heure je serais là qu'importe le motif.

— D'accord madame.

— Une dernière petite chose moi c'est Émilienne Gaëlle je préfère que tu m'appelles par l'un de mes prénoms d'accord ?

— D'accord Emilienne.

— Voilà c'est mieux. Tiens ça et rentre bien.

— Mais madame c'est de l'argent, vous m'en donnez pourtant je ne vous ai pas demandé je ne peux pas accepter cet argent je ne sais pas pourquoi vous m'en donner.

— J'étais sortie avec cet argent au cas où mon bébé aurait besoin de quelques choses mais il n'a rien voulu pour lui mais il a voulu laisser cet argent pour toi. Prend le et rentre bien. Je ne suis pas une personne avec de mauvaise intention. Si tu veux rentre et demain tu viendra pour qu'on discute. Accorde moi un peu le bénéfice du doute.

— D'accord je viendrai demain dès que je fini avec mes travaux ménagers madame… pardon Emillienne.

— Je t'attendrai.

Ouffff !!! Enfin à la maison j'ai tellement soif direction de cuisine, j'ai envie d'un bon verre d'eau bien frais. Je me sens tellement mieux maintenant, c'est bien vrai que l'eau c'est la vie. Je me sens revivre. Mais mon téléphone ? Où est mon téléphone. Je l'ai sûrement laisser dans la chambre. Mais 10 appels en absence de Franck. Qu'est ce qu'il peut bien vouloir me dire ? Je vais me rappeler c'est mieux, ça sonne, ça sonne.

— Allô Emilienne mais où était passé ton téléphone ?

— Il était en mode silence. Je ne voulais pas être dérangé pendant mon repos. Qu'est ce que tu avais à me dire ?

— Je voulais juste savoir si tu te sens mieux vu la façon dont je t'ai laissé cet après midi. Je m'inquiétais pour toi, et vu ton état tu as besoin d'assistance.

— Je vais bien tout vas bien tu n'as pas besoin de t'inquiéter pour moi je t'assure. Ça fait plusieurs années maintenant après ta disparition j'ai appris à me battre pour survivre. Je sais me débrouiller.

— Pourquoi tu ramènes toujours cette histoire ? C'est du passé maintenant donc oublions.

— Oui certes mais le passé ne s'efface pas et tu n'as qu'à me voir aujourd'hui. J'ai dépassé cette époque et je vais de l'avant. Merci de t'inquiéter pour moi mais tu n'es pas obligé de jouer au protecteur j'ai un mari pour ça.

— Et où est ce mari actuellement ? Est-il là pour te soutenir ? Si les contractions commencent cette nuit où sera t-il ? Tu es seule et si tu ne décide pas de te réveiller de ton conte de fée tu resteras seule comme ça jusqu'au jour de ta mort.

— Je vais devoir raccroché bonne soirée à toi.

Après cet appel je me suis rendu compte que Franck faisait tout son possible pour porter atteinte à l'image de son frère. C'est vrai qu'ils ont eu un passé houleux mais passé à l'âge adulte ils ont certainement forgé des personnalités différentes. Et Charles son passé ne m'intéresse pas en fin de compte. Je veux dire que je l'ai aimé pour ce qu'il est devenu, il a appris de ses erreurs et a changer pour devenir meilleur. Charles est mon présent et mon avenir et je me battrais pour ça. En passant je n'ai pas répondu à son message W******p de la journée je vais le faire maintenant.

— Bonsoir mon cœur, il est 19h chez nous et je dois t'avouer que tu me manques. Tu nous manques ton enfant te réclame, il ne veut surtout pas que tu manques sa naissance. Ma journée a été un peu longue j'ai beaucoup marcher aujourd'hui. Je vais te la raconter. Le matin je suis aller à l'hôpital faire ma dernière échographie, notre bébé va bien je vais t'envoyer une photo de l'échographie. Ensuite après l'hôpital j'ai répondu présente à une invitation de Franck, nous sommes allés manger un morceau dans un restaurant que j'aime bien. Ensuite il m'a racompagner à la maison mais après son départ je me suis tellement ennuyé que j'ai fini par sortir faire une petite balade dans le quartier et j'ai fais la rencontre d'une charmante jeune dame. Et juste après je suis rentrée. La journée de ton côté a été comment?

— La mienne je t'assure n'était pas aussi chargée que la tienne.

— C'est ça moque toi bien de moi.

— Non non c'est pas ça. Dis moi alors tu a parler de quoi avec Franck ?

— Ah de rien de spécial, il m'a juste dit qu'il est là pour moi, au cas où j'aurais besoin d'aide. Et il veut faire une peinture nature de moi dans ma grossesse.

— Peinture nature c'est à dire ?

— Une peinture de moi toute nue et une autre avec mes parties intimes couvertes.

— D'accord c'est une œuvre artistique je ne vois aucun inconvénients à cela.

— D'accord chéri. Suis déjà hyper fatiguée je veux dormir en plus demain je dois recevoir une amie ou presque à la maison.

—D'accord Emilienne mais une dernière chose ne fais pas si vite confiance aux gens tout ce qui brille n'est pas de l'or. Douce nuit à toi et à notre bébé, dit lui que je ne manquerai pas sa naissance je vous aimes.

— Nous t'aimons fort prends soin de toi et reviens nous vite. Bisou.

J'ai eu une nuit tellement paisible. Une petite prière s'impose. "Merci seigneur pour toute les grâces que tu m'accorde dans cette vie. La toute première c'est ta protection car ce matin encore j'ai pu voir le jour. Mes désirs ne sont pas des secrets pour toi mais comme toujours je vais placer sous ta protection toute ma famille et mon entourage. Seigneur comble nos vies de tes bienfaits, sèche toujours nos larmes avec de l'espoir car en toi est notre foi rien ne t'est impossible amen".

Je pouvais enfin débuter ma journée sans craintes, après le respect de quelques règles d'hygiène, me voilà en cuisine pour me faire un petit déjeuner bien copieux. Une omelette bien faites, un verre de jus naturel, du pain complet et c'était parti pour la fête dans mon ventre. La nourriture était mon calmant, lorsque le moment de manger arrivait je me sentais revivre. Mais qui ose gâché mon plaisir comme ça ? Et voilà qu'on toque à la porte.

— Hey!!! Bonjour Franck mais qu'est ce que tu fais là de ci bonne heure? Tu es très matinal.

— Bonjour tu vas me laisser entrer ou pas ?

— Entre je t'en prie. Je t'ai ramené tu pain bien chaud de la boulangerie.

— Ça tombe même bien je m'apprêtais à manger mais j'ai fais un petit déjeuner pour une seule personne hein. En fait pour deux personnes mon bébé et moi uniquement.

— Mince Emilienne, tu me tue de rire depuis ce temps tu n'as pas encore changer ? Toi et la nourriture hein.

— Je vais changer pour devenir quoi? J'aime la nourriture et j'assume. Si tu veux te faire une omelette voilà la route de la cuisine hein tu aimes même d'abord trop les omelettes dure on dirait du béton.

— Je vois que tu as eu une bonne nuit hein les vannes sortent de ta bouche en profusion ça faisait longtemps que je n'avais pas autant rit.

— C'est bien comme je te fais rire. Tu troubles mon appétit.

— Je vais aller me servir un verre de jus de fruit. J'ai toujours adoré tes mélanges de saveurs.

— Arrête de me flatter si tu veux le jus va dans le frigo et prends même une bouteille entière pour toi seul.

— Laisse comme ça s'il te plaît aïe tu as toujours eu cette façon aisé de faire rire les gens, il fallait être comédienne.

— Si j'ouvre ma bouche pour te répondre hein on change mon nom.

— Juste ton expression faciale met à terre.

— Vas loin c'est quoi ?

Ce matin était vraiment merveilleux, Franck et moi rions comme au bon vieux temps et c'était vraiment bon d'évacuer ma haine et ma frustration pour lui.

— Émilienne tu dis quoi alors par rapport à tes peintures ? Tu vas finalement poser pour moi?

— Oui oui dis moi juste quand tu seras prêt pour cela car moi je suis là je ne vais pas bouger de la maison pendant un bon bout de temps.

— Ce week-end ça te vas?

— Suis prête il faut juste que le bébé ne soit pas capricieux ce jour.

— D'accord espérons le. Dis Charles est au courant de nous ?

— Nous c'est à dire ?

— De nous, de notre relation passée.

— Non pourquoi ?

— Non je demande juste. Et tu comptes lui cacher cela longtemps ?

— Je ne sais pas je n'y pense pas en fait.

— Bon moi je vais te laisser, je voulais simplement savoir pour les tableaux. Hier au téléphone tu étais si désagréable que j'ai oublier de te le demander.

— Ok je vois mais où est ta voiture?

— J'ai pas voulu sortir avec elle aujourd'hui.

— D'accord bon à ce weekend alors.

— Ça marche.

Mais pourquoi il a voulu savoir si Charles est au courant de quelque chose ? Et dans tout cela il a esquissé un sourire mesquin ça ne présage rien de bon. Dès que Charles rentre je vais tout lui dire il ne faut pas qu'il l'apprenne d'une autre personne.

— À peine je me suis assise et voilà qu'on toque à nouveau à la porte sûrement Franck a oublier quelque chose ici.

— Oui tu as oublié quelque chose ? Ah c'est toi Adeline mais entre je t'en prie.

— Bonjour Emilienne.

—Comment tu vas? Je te sers quelque chose? Un jus? Du café ? Du lait?

— Non merci je vais bien et je ne veux rien pour le moment.

— D'accord je vois tu es un peu craintive. Mets toi à l'aise je t'en prie. Tu n'as pas travailler aujourd'hui ?

— Mr Franck m'a dispenser aujourd'hui.

— D'accord. Tu travailles pour lui depuis combien de temps ?

— Près de 3ans.

— Tu veux dire que Franck est dans ce quartier depuis près de 3 ans?

— Oui Emilienne.

— Mais comment se fait-il que je ne l'ai jamais croisé ?

— Je n'ai aucune idée, sûrement parce que vous n'avez pas l'habitude de sortir marcher.

— C'est sûrement ça. Parle moi un peu de toi alors.

— Je m'appelle Adeline flore Mbem. Je suis l'aînée d'une fratrie de 5. J'ai 21 ans mes parents sont encore en vie mais ne sont pas vraiment aptes à subvenir à nos besoins. Donc je me bats comme je veux pour subvenir à mes besoins et à ceux de mes frères et sœurs.

— D'accord je vois. Je t'avais donné mon nom là dernière fois. Moi je suis une orpheline, je n'ai jamais connu mon père. J'ai grandi dans un orphelinat, j'ai eu une enfance assez triste émotionnellement ce qui m'a conduit à bien des choses. J'ai 25 ans.

— D'accord tu es si jeune. Mais j'aimerais savoir ton lien avec Mr Franck.

— Nous y arriverons.

— Tu es bien payé chez Mr Franck ? Et comment gère tu tes économies?

— Oui il me paye bien, et surtout sans retard. J'ai pas vraiment le temps d'économiser puisque je gagne juste de quoi nous nourrir.

— Que dirais tu si je t'offre du travail en plus de celui que tu fais déjà ?

— Tu veux que je vienne t'aider avec les tâches ménagères ici? Si je manage bien mon temps je pourrais cumuler les deux. Comme ça avec deux occupations je pourrais économisé et nourrir ma famille en même temps.

— Non non pas d'aide ménagère, il n'y a pas vraiment grand chose à faire chez moi. Ce que je te propose est d'un tout autre genre.

— J'espère que c'est légal et ma vie ne sera pas mise en danger.

— T'inquiètes pas. J'aimerais que tu sois mes yeux et mes oreilles chez Franck. Je veux que tu l'espionne pour moi.

— Mais pourquoi madame ? Et si ça me met en danger?

— Si les choses prennent une tournure louche je vais t'empêcher de continuer t'en fais pas. Mais je sens au fond de moi que quelques choses se trame et ça m'inquiète.

— Si j'accepte je pourrais au moins savoir ce qui vous lie à lui?

— Oui bien-sûr si tu as le temps pour que je te relate les faits.

— Je suis à ton écoute j'ai toute ma journée.

Un tour dans le passé quelques années plutôt.

— Claudia tu marches trop vite c'est quoi comme ça ? Tu me demandes de t'accompagner quelques part et tu marches vite comment ?

— Ah toi aussi Emilienne tu marches trop lentement. Nous avons 2h de retard et si on ne marche pas une bonne distance notre argent de taxi ne va pas suffire.

— Je sais mais on part où même ?

— Tu ne veux pas manger? On part dans un restaurant mon gars m'a invité et il sera avec son ami. Il m'a demandé de venir avec une de mes copines et j'ai pensée à toi. Mais tu es tellement rabat-joie mon Dieu.

— Ça va alors allons-y nous pouvons déjà prendre le taxi ici .

— Tu as raison. Taxi!!! Taxi !!! Restaurant le délice deux places 300f dans 500f.

— Montez on part.

— Émilienne Gaëlle viens entrer ici je ne veux pas te perdre.

— Toi aussi tu aimes trop me traiter comme une enfant.

— Pousse laba bébé au lait comme ça. Chauffeur on peut partir c'est bon. Mon téléphone sonne même sûrement c'est Maxime qui m'appelle déjà.

— Allô oui Maxime nous sommes déjà en route, t'inquiètes pas bientôt nous serons là.

— Après une dizaines de minutes nous étions devant le restaurant en question.

— Émilienne je sais que la nourriture est comme une drogue pour toi mais il faut te comporter.

— Si tu n'étais pas ma copine hein j'allais te tordre le cou.

— Ma copine sûre si je ne te dérange pas je vais encore déranger qui? Je sais que c'est pas la première fois pour nous de faire ce genre de sortie.

— Ça c'est clair, on mange on boit on fait ce qu'il ya à faire pas d'attache, pas de sentiments.

— J'aime quand tu parles ainsi. Tu es une fille bien éduquer mais loin d'être une sainte voilà pourquoi je t'aime.

— Bon Claudia je suppose que Maxime va bientôt sortir nous prendre. On relève le menton, soigne son vêtement, arrange sa démarche et allons vivre.

— Emillienne chérie j'aime te voir comme ça. Le voilà qui arrive.

— Ah enfin vous êtes là entrons mon ami meurt d'ennui à force d'attendre.

— Hey Franck les voilà. Je te présente Claudia mon rayon de soleil.

— Enchanté tu es très ravissante.

— Merci c'est gentil. Maxime m'a parler de la balance déséquilibrée parce que tu allais certainement te sentir seul j'ai donc ramener pour toi l'une de mes amies, comment te dire ma meilleure amie en faite. Elle c'est émilienne Gaëlle.

— Enchanté de te connaître mademoiselle Emilienne. Très belle jolie sourire. Moi c'est Franck.

— Enchantée et merci pour tout ces compliments.

— Bah!!! Maxime, avec de telles beautés ça valait la peine d'attendre.

— Je ne te le fais pas dire frère.

— Je te l'accorde mon frère. Bon les filles passez vos commandes nous mourrons déjà de faim.

Sans nous faire prier, Claudia et moi avions commander la même chose. La sortie s'était bien passée, suivit d'un échange de contact téléphonique entre Franck et moi. Je dois avouer que c'était un très bel homme et j'étais tombée sous son charme dès le premier regard. Il était grand de taille mon premier critère physique chez un homme, celui que je n'ignorais pas, teint clair, un regard séduisant. Rien qu'à le regarder je pouvais déjà m'imaginer faire des folies avec lui. Après cette soirée bien riches dans le sens propre du terme, Claudia et moi retournâment à l'orphelinat. Et c'était là le début d'une folle histoire.

Revenons au présent, j'étais face à Adeline le regard interrogateur rempli de questions mais j'étais pas prête à lui donner des réponses. Il fallait qu'elle accepte ce travail de plein gré, il ne fallait pas que mon histoire ou mon lien avec Franck influence sa décision.

— C'est tout pour aujourd'hui. Je suis un peu fatiguée.

— Mais il est encore tôt et tu ne m'as pas vraiment dis grand chose. Je retiens juste de l'histoire que Mr Franck et toi avez eu une relation dans le passé mais à présent qu'est ce qui vous lie?

— Tu es très curieuse toi. Bon reviens dans quelques jours je te raconterai tout jusqu'à la fin.

C'est un rendez-vous. Donne moi un jour, une heure.

— Samedi Franck dois passer faire un portrait de moi disons lundi. Passe lundi et je te dirais tout.

— D'accord mais j'aimerais savoir pourquoi vous penser que le fait que Mr Franck soit revenu est un mauvais présage ?

— Après tout ce temps passer à ses côtés, je peux te dire que Franck ne fait jamais rien pour rien.

— D'accord Emilienne. Je vais réfléchir posément à votre proposition. Et lundi tout sera dit.

— Parfait. À lundi alors.

j'avais réussi à suscité de la curiosité en Adeline. Je ne savais pas vraiment où je voulais aller avec toutes ces informations mais toujours est il que cela était un bon début. Il fallait que je dorme un peu question pour moi de réprendre des forces mais avant cela il fallait que je m'assure que mon amour à l'autre bout du monde va bien.

— Bonjour mon chéri comment tu vas aujourd'hui ?

— Je vais très bien, d'autant plus que tu me surprend avec un appel vidéo. Mais tu rayonne ce matin!!! Je suppose que tu as déjà manger.

— Arrête de me faire rire, vous avez même quel problème avec mon appétit.

— Moi rien mais qui d'autres te fais des remarques à ce sujet ?

— Personne d'autre. Je parlais juste d'un cas général. As-tu bien dormi ?

— Comment pourrais-je bien dormir sans toi à mes côtés ?

— Mon chéri est humeur romantique ce matin.

— Suis sérieux Emillienne, chérie tu me manques énormément.

— À moi de même. D'autant plus que tu es parti aussi brusquement.

— Je te comprends. Tu as des nouvelles de Franck ?

— Oui il va bien, il était là ce matin, il m'a ramener du pain chaud.

— Depuis mon départ il ne m'a plus fait signe de vie. Je vais ainsi à ma troisième semaine d'absence.

— Je ne connais pas la cause de son silence, il est juste passer me demander ce que j'ai finalement décidé à propos des peintures.

— D'accord je vois.

— Mon cœur tu vas bien ça me rassure et tu me rejoindra bientôt.

— T'inquiètes pas je serai là d'ici peu passe une agréable journée je t'aime.

— Je te souhaite la même chose je t'aime.

***** Dans la peau de Charles******

Le temps passait, tout allait bien mais je n'arrivais pas à comprendre le comportement de Franck. On aurait dit qu'il s'efforce par tous les moyens de gagner la sympathie d' Emillienne. Nous avons eu des antécédents dans le passé, et Franck est du genre rancunier. Il faudrait que je me méfie de lui, mon lien de sang avec lui ne doit pas être une excuse pour m'adonner à la négligence. J'ai une famille à protéger. Et s'il m'en veux ce ne serait pour rien d'autre que cette histoire avec Inès. Jusqu'ici ce fut la plus grosse erreur de ma vie. J'ai été accusé à tort, j'ai été sali pour n'avoir rien fait. Ça a toujours été ainsi lorsque l'on a une mauvaise image de nous. C'est pourquoi nous devons nous efforcer de toujours faire du bien autour de nous. Il faut que j'aille au travail, finir les démarches et rentrer auprès de ma bien aimée.

***** Dans la peau de Adeline*****

Moi c'est Adeline kenfack ainnée d'une fratrie de 5 enfants. J'ai eu l'opportunité avec beaucoup de difficultés d'obtenir mon diplôme de technicien supérieur en marketing et communication. Mes parents étant des débrouillards, la vie ne nous fait pas de cadeau. Avant mon travail comme ménagère à plein temps chez Mr Franck, j'ai accumulée beaucoup d'autres métiers que j'abandonnais soit parce que les tâches étaient trop pénibles, soit parce que le salaire n'était pas suffisant, ou me venait toujours en retard et à moitié. Mais chez Mr Franck mon salaire n'avait aucun problème mais il n'arrivait pas toujours à couvrir mes dépenses. Et ce que me propose Emilienne pourrait m'être très bénéfique et peut être que cela me permettra d'économiser un peu pour ouvrir un commerce ou autre chose. Il est bien vrai que Mr Franck est une personne assez froide et réserver. À bien y penser je ne le connais pas vraiment bien et je peux peut être en danger. Et si en dehors de vouloir me protéger moi, si je parviens à aider Emilienne Gaëlle à trouver des réponses à ses préoccupations, au moins j'aurai faite une bonne action. Je pense que je vais accepter son offre comme on le dit si bien qui ne risque rien n'a rien.

****Dans la peau de Franck*****

Ne dit-on pas très souvent que pour vaincre son pire ennemis il faut être son ami? Charles est mon ennemis et Emilienne est sa faiblesse. Peu à peu je sens qu'elle me fait confiance, elle a toujours été ainsi, facilement influençable et manipulable. Elle a commis une erreur, une très grosse erreur qui est un avantage pour moi. Un avantage que je me ferais l'honneur de savourer. Mais pour y parvenir il faudrait que je sonde un peu Charles.

— Bonjour mon frère comment tu vas ? Ça fait un bail c'est Franck.

— Ah !! Mon frère je vais bien. Je me disais justement que tu m'avais déjà oublié.

— Mais comment le pourrais-je ? J'ai juste eu un petit problème avec mon téléphone j'ai dû tout changer jusqu'à mes numéros de téléphone.

— Je vois. Mais sinon de ton côté tout vas bien?

— Oui tout vas pour le mieux.

— Émilienne m'a parler de vous deux de votre projet.

—D'un air curieux je me demande si elle ne lui a pas finalement raconter notre aventure. Mais quoi donc mon frère, tu parles de quoi ?

— Des peintures, elle m'a parlé des peintures que tu veux lui faire et je trouve que c'est super.

— Tu n'as rien contre ? Parce qu'avant d'accepter elle m'a fait une scène comme quoi c'est sa nudité qui est mise en jeu.

— Là tu m'amuse, je la reconnaît dans celà elle est trop craintive. Crois moi tout le temps que j'ai passé à l'étranger j'ai eu le temps de tout voir que rien ne peut plus me surprendre.

— Ah ça c'est vrai. Je venais simplement prendre des nouvelles. J'ai un rendez-vous assez important dans quelques minutes mon frère on se dit à bientôt. Toi même tu sais que ces histoires de textos sont faits pour les adolescents et les femmes, nous avons déjà passer l'âge.

— Tu as tout à fait raison. À bientôt au pays cousin.

Après cet échange j'étais de plus en plus déterminé à lui pourrir la vie. Il a toujours été celui à qui tout réussissait. Les filles se disputaient toujours à cause de lui et la seule qui s'est intéressé à moi il me l'a prise. Il fallait qu'il paye le prix fort, il fallait que je le touche là où il aura le plus de mal possible, il fallait qu'il ressente le goût de la trahison. En attendant il faut que j'aille me divertir un peu aujourd'hui dans une boîte de nuit. J'ai envie de me saouler la gueule, jusqu'à l'aube. Mais je ne dois pas y aller seul je vais appeler l'une de ces arrivistes pour ce soir laquelle vais-je même inviter? Sonia? non elle est trop molle, Stéphanie? je passe elle est hyper capricieuse, fallone un bébé au lait en dehors de la journée on ne peut plus la voir. Je zappe...je zappe...je zappe et voilà la bonne Vanessa un mélange de tout et de n'importe quoi. Net ce qu'il me faut pour faire la fête sans me prendre la tête.

— Bonsoir Vanessa.

— Bonsoir mon chou ça va?

— Oui j'aimerais te voir.

— Donne moi juste le lieu et l'heure et j'accours à ton service.

— On se retrouve au Deluxe à 22h précise je ne tolère pas le retard et c'est jusqu'à l'aube.

—Attend moi je ne serais pas longue.

Ah ces filles, prêtes à tout pour se faire de l'argent. En passant il faut que je pense à envoyer de l'argent à Nathalie pour entretenir mon fils. Une balle perdue dont je suis fière. Parfois les mauvais choix attirent les bons résultats.

Après un petit repos, j'étais prêt pour cette soirée dépenses et folies.

— Allô Vanessa je m'y rends déjà tu es à quel niveau?

— J'y suis déjà je n'attends que toi mon chou.

— C'est mieux ainsi.

Je me demande même ce qui m'attire chez cette fille, peut être parce qu'elle ne me pose aucune question, elle ne me prends pas la tête, elle connait sa place et elle sait ce qu'elle veut. Le Deluxe est ma boîte de nuit préférée, et Vanessa est connue par le gérant parce que j'ai l'habitude d'y venir avec elle pour des soirées bien arrosées.

— Bonsoir Vanessa.

— Bonsoir mon chou enfin tu as pensé à moi.

— Je pense à toi à chaque fois que j'ai besoin de tes services, lorsque j'ai besoin de déstresser rien de plus. Et j'espère que tu sais pourquoi tu es là.

— Oui je le sais.

— Mets toi donc au boulot.

— Cette fille savait me mettre à l'aise et n'avait pas de gêne. La musique coulait à flot et avec l'effet de l'alcool j'ai reconnu une silhouette dans l'amalgame des danseurs. Mais ce n'est pas l'effet de l'alcool. C'est bien Inès que je vois là. Inès … Inès… Inès… je criais son nom en la suivant mais elle ne faisait que s'éloigner, je la suivais sans arrêt jusqu'à me retrouver à l'extérieur de la boîte. Sans m'arrêter n'y me rendre compte que je m'engagais sur la route, je vis juste des lumières assez fortes qui m'eblouissaient et ensuite plus rien c'était le noir total.

Patuloy na basahin ang aklat na ito nang libre
I-scan ang code upang i-download ang App

Pinakabagong kabanata

  • À moi ou à personne   Marché conclut

    Le réveil sonne, mais personne ne bouge. Le silence entre nous est lourd, presque gênant. Pas un mot pendant le petit-déjeuner. Pas un regard prolongé. Juste des gestes mécaniques, chacun dans ses pensées. Je voyais bien qu’Émilienne n’avait pas dormi. Ses yeux étaient gonflés, sa voix un peu cassée quand elle m’a demandé si je voulais du thé. Moi-même, je traînais une fatigue bizarre, un mélange d’angoisse et d’adrénaline qui ne m’avait pas quitté depuis ma confrontation avec Franck. Il était à peine sept heures quand quelqu’un a frappé discrètement au portail. Trois petits coups. Rapides. Comme quelqu’un qui ne veut pas attirer l’attention. Émilienne a levé la tête brusquement. — C’est elle, murmure-t-elle. Elle pose sa tasse et se lève d’un mouvement nerveux. Je n’ai même pas eu le temps de lui demander « qui ? » qu’elle était déjà dans le couloir. Je l’ai suivie par réflexe, sans vraiment comprendre. Elle ouvre le portail. Adeline est là. Petite, mince, tirée à q

  • À moi ou à personne   La tension monte

    Je conduisais comme un robot. Je ne savais même plus comment j’avais quitté le portail de Franck. Mon cœur cognait encore comme si j’avais couru un marathon. Le visage qu’il m’avait servi, cette assurance, ce petit sourire en coin, ce « oui je savais et alors ? » me restait en travers de la gorge. À mesure que je me rapprochais de la maison, mes mains tremblaient un peu sur le volant. Je n’arrivais plus à penser clairement. J’avais juste besoin d’être loin de lui. Très loin. Toute la route, une seule question tournait : Pourquoi Émilienne ne m’avait rien dit ? Je n’étais même pas fâché contre elle. Pas encore. C’était simplement… trop d’informations d’un coup. Trop de coïncidences. Trop de secrets autour d’un seul homme. Quand je me gare devant la maison, il est presque midi. La chaleur de Douala me claque au visage quand je descends de la voiture. J’inspire p

  • À moi ou à personne   La confrontation

    Je restais un moment dans la voiture, moteur allumé, les doigts crispés sur le volant. Je regardais autour de moi, puis je regardais encore le portail. Le même portail que je voyais à chaque fois que je déposais Émilienne au bout de la rue… sans jamais imaginer que Franck vivait là. Juste là. À quelques maisons.Mon cœur battait vite, pas parce que j’avais peur. Non. C’était autre chose. Un mélange de choc, de dégoût… et d’un drôle de sentiment que je n’arrivais pas à définir.Elle savait. Elle savait très bien qu’il vivait ici. Elle savait où il était. Et pourtant elle m’a fait croire qu’il avait disparu de la circulation.Je klaxonnai une première fois. Rien.Je klaxonnai encore.Le portail grinça doucement… puis s’ouvrit.Et Franck apparut.Chemise entrouverte, sourire en coin, cette attitude faussement détendue qu’il aimait afficher comme si la vie entière lui appartenait.— Ah, Charles… fit-il en s’approchant, mains dans les poches. Je savais que tu viendrais vite.Je descendis l

  • À moi ou à personne   La vérité explose

    Le silence s’abattit brusquement sur la pièce, lourd, pesant, plus intense que n’importe quel cri. Charles resta immobile, les mains toujours posées sur les miennes, mais je sentis son pouls s’accélérer sous ses doigts. Ses yeux se plissèrent légèrement, comme s’il cherchait à vérifier s’il avait bien entendu, ou s’il rêvait. — Ton ex ? me répéta-t-il presque dans un souffle. Je baissai les yeux, incapable d’affronter d’emblée le poids de sa réaction. Je n’avais jamais voulu lui cacher cette partie de moi, mais je n’avais jamais imaginé que Franck reviendrait dans nos vies, encore moins dans ce rôle ambigu, provocateur… menaçant, même. — Oui… Ça remonte à loin, Charles. Je le sentis se tendre, son bras se contracter légèrement contre ma main. Ce n’était pas de la colère aveugle. C’était bien plus profond : un mélange de trouble, de trahison silencieuse, d’incompréhension. — Depuis quand ? Et pourquoi je ne l’ai jamais su ? demanda-t-il finalement, la voix basse. Je relevai la tê

  • À moi ou à personne   Le début de la chute

    Charles est à mes côtés je ne pouvais pas rêver mieux. Il est là blotti contre moi. Son corps chaud tout contre le mien. Plus rien n'a d'importance pour moi à cet instant précis. J'ai l'impression de vivre ma meilleure vie. Nous serons bientôt parents d'une petite fille ou d'un petit garçon. Peu m'importe du moment qu'il serait le notre, vivace et en bonne santé. — Mon amour ça va ? Pourquoi tu me regardes ainsi ? — Je veux calquer le moindre trait de toi pour quand tu partira à nouveau. — Et que dis tu de partir avec moi? — Sérieux ? ce serait une superbe idée. Mais j'aimerais que ce soit après notre mariage. — Biensur chéri. Tu as parfaitement raison. Je veux faire de toi mienne. Il se redressa, me prit dans ses bras puis me donna un baiser aussi langoureux que plaisant. Au moment où ça commençait à être intéressant et intense. La sonnerie de la porte retentit. — Mais qui peut bien vouloir me gâcher la vie ainsi Charles. dis-je en riant aux éclats. — Moi je remer

  • À moi ou à personne   Le réveil brutal

    ************* dans la peau de franck**************** Je me réveille au son d'un bippeur, l'odeur de cette salle m'insuporte on aurait dit un hôpital. Mais qu'est ce que je peux bien faire ici? et depuis combien de temps suis-je là ? — Bonjour franck, tu t'es enfin réveiller — Vanessa mais qu'est ce que je fais ici? enfin réveiller ? ça fait combien de temps que je suis coucher ici? — ça fait juste quelques heures, tu ne dois pas t'en faire ce n'était pas si grave. — Mais qu'est ce qui s'est passé ? je ne me souviens de rien. — Nous étions au Deluxe, la soirée se passait bien, l'alcool coulait à flot et soudain tu t'es mis à la poursuite d'une fille, d'une silhouette je peux dire. Tu ne faisais que l'appeler Inès...Inès...Inès mais elle ne répondait pas. Tu t'es retrouver à l'extérieur percuté par une voiture. Un vendredi soir détente et alcool que tu as gâché comme un jeu. Mais qui est cette fille? elle a l'air d'être ci importante pour toi. — Elle l'était autrefois.

Higit pang Kabanata
Galugarin at basahin ang magagandang nobela
Libreng basahin ang magagandang nobela sa GoodNovel app. I-download ang mga librong gusto mo at basahin kahit saan at anumang oras.
Libreng basahin ang mga aklat sa app
I-scan ang code para mabasa sa App
DMCA.com Protection Status