Sur le parking. Eva est épauler par de Miya et de Von se diriger vers une des voitures du convoi. Maeva vient se mettre devant eux pour les arrêter. Face à elle une mur de plus d'un mètre quatre-vingt dix avec Von qui fait 1m99 et Miya 2m02.- Pourquoi vous vous arrêtez ?- Il y'a Maeva devant nous cheffe.- Qu'est-ce qui t'es arrivé ? Demande Maeva en fixant le bandeau couvrant les yeux de sa supérieure.- Oh ce n'est rien. Dans quelque heures je vais être sur pied.- Mais vous n'arrivez même pas a posé un pied devant l'autre sans aide. Dites quelques. Miya, Von.Miya exaspéré et épuisé dit:- Ce n'est rien elle est juste fatiguée de notre matinée. Et pour tout te dire moi aussi alors s'il te plaît. Laisse nous passer.Maeva b

Le lendemain à six heures Eva est passé récupérer Chamy. Elle revient a l'hôtel tente minute plus tard avec la petite endormie. Elle la met dans la voiture et s'assoit à côté. En entendant les autres.  - Vous avez était long. Dit-elle quand ils arrivent.  - Ce n'est pas de notre faute. Quelqu'un nous a retenus. Rétorque Maeva. - Miya ? - Oui.  - Bref. Partons j'en ai ma claque de cette hôtel.  Sam lui demande : - Elle fait quoi là cette petite? - Elle vient vivre avec moi. Alors parle mieux d'elle.  Sam ne demande pas plus et démarre la voiture quitte le parking et s'engage sur le pont. Puis il prend a droite vers l'autoroute. Après trente minute dans le silence Maeva demande : - Madame, vous ne m'aviez pas promis quelque chose ? - Des fois je me dis que tu es trop curieuse.  - C'est vous qui m'avez tout appris.  - Dans ce cas J'imagine que j'ai

- Marlo, on fait quoi ? La police nous encercle. - Calme toi. Pour l'instant il ne vont rien tenter. C'est nous qui avons l'avantage. - Ouais je sais mais les deux autres moins on dirait pas. - Tant qu'il ne touche pas aux otages de grande valeur. Quoi que va les calmé. Je ne veux pas d'accident non voulu. - Compris. L'homme quitte la pièce. - Bien ma petite dame maintenant que nous sommes seules tu va me dire comme je fais pour quitter cette banque sans me faire prendre ? - Je ne sais pas. - Oh ne la jouer pas comme ça. Katrine Hearth c'est bien ça ? Aucune réponse de la part de Katrine. - Bah tant pis si tu ne réponds pas mais oublie pas que tu as la responsabilité de deux vies et plus si on compte bien. - Qu'est-ce que vous voulez ? - Moi juste prendre un max de thune et me c

Le lendemain le père est parti au aurore comme a son habitude. Cette fois il fait le tour de tout les commerces et restaurants de la ville. Mais personne ne veut de lui  même lorsque il voit clairement qu'il manque cruellement de personnel les patrons lui disent qu'ils sont complet. Seul quelque uns lui disent qu'il vont prendre en compte sa demande. Vers midi il arrive dans une librairie de taille moyen il va à l'accueil.  - Bonjour, puis-je voir le gérant ?   Une femme brune âgée de 25 ans répond: - C'est pourquoi ?  - Je cherche du travail.  - Vous avez un CV sur vous ? - Oui. Dit Garja avec enthousiasme il le prend et le donne mais au lieu de lui dire qu'elle va transmettre le CV elle le garde. Le lis méticuleusement puis secouer la tête. D'un air dépité elle finit par lâcher: - Malheureusement on ne peut pas vous prendre.  - Mais le gérant.. Il est coupé dans son elan. 

Le dimanche soir arrive. Ma veille Sam a passé la journée avec son ami d'enfance Greg en centre ville a faire le tour des magasins. Vincent est le premier a arrivé avec Agathe sa fiancée. Sombrement habillé un jean neuf, un tee-shirt noir assorti avec le jean et un pull pour Vincent. Un pantalon en lin vert large, un chemise blanche et une veste grise. Ils toc à la porte et Olivia leur ouvre. L'air dessus elle leur dit : - Pourquoi je tombe sur la rabat-joi en premier ? - Qui ça ? Moi ? Demande Sam.  - Et tu vois quelqu'un d'autre qui correspond à la description ?  - Allons, allons. Calmez vous. - Agathe a raison, je ne suis pas venu pour m'embrouillé avec toi. Dit Vincent en reprenant son calme. Agathe se tourne vers Olivia. - On peut entré ?  - Oui. Où est-ce que j'avais mis ma tête ? Dit-elle en les faisant entrer.  - De toute évidence pas sur tes épaules.  - Vincent m, tu as promis n