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« C’est bon, c’est juste un concours ! Même si tu ne peux pas y participer cette année, ce n’est pas une grande perte ! D’ailleurs, le résultat est encore inconnu, n’est-ce pas ?» elle a froncé les sourcils d’un air impatient, « Pourquoi tu es prise de panique aussi rapidement ?» « Mais, mais c’est trop tard !» Comment pourrait-il ne pas être panique ! Il restait moins de deux mois, la liste d’entrée avait déjà été communiquée, même si la liste pouvait être modifiée, il faudrait encore du temps pour développer de nouveaux produits et produire à nouveau des résultats. À moins de deux mois de l’échéance, sans parler du temps qu’il fallait pour développer un nouveau produit, même s’il pouvait y parvenir, serait-il possible qu’il puisse certainement gagner un prix ? En face de lui, le Concours annuel du Parfum n’était pas le seul problème, il s’agissait même de la parfumeuse qui a développé ces nouveaux parfums, elle a été actuellement impliquée dans un procès international, ce

« Tu les as vus... » Fronçant les sourcils, Vanessa avait encore un peu de mal à croire, « Stéphane ? Stéphane d’Uniasia ?» Bien sûr, elle savait quel genre de personnage c’était, sans compter qu’à la Rochelle, voire dans tout le pays H, le nom des Langlois était également très connu, et Stéphane, en tant que successeur le plus distingué de la famille Langlois au fil des générations, était celui qui rendait d’innombrables femmes folles. Un tel homme serait avec Sonia ? Mais à bien y réfléchir, ce n’était pas impossible ! Si Sonia était juste une femme ordinaire, alors on pourrait dire que Stéphane ne faisait que s’amuser avec elle, mais elle était toujours un membre de la famille Dupont après tout, et si c’était un mariage entre les deux familles... Alors l’influence derrière tout ça serait bien plus grande. « Maman, je crois que le cœur de Sonia n’est plus en moi, peu importe comment j’essaye, c’est inutile, que dois-je faire ?» Julien avait l’air cendré, il savait dans

Le lendemain, Julien a immédiatement demandé à l’équipe de relations publiques de la société de publier une déclaration, présentant personnellement ses excuses aux actionnaires du conseil d’administration, admettant d’abord son erreur de ne pas avoir supervisé correctement la société, puis exposant les enjeux, expliquant que si les deux parfums n’étaient pas abandonnés, les pertes seraient bien plus importantes que prévu, et enfin déclarant qu’il proposerait certainement un remplacement dès que possible pour compenser les pertes actuelles. Les actionnaires étaient bien sûr très mécontents, mais l’affaire était arrivée à un point critique et ils n’ont pas pu trouver de meilleure solution pendant un certain temps, et l’attitude de Julien était si sincère que personne ne voulait que son argent tombe à l’eau, donc avant qu’ils ne puissent penser à une meilleure solution, ils ont accepté sa proposition et lui ont donné une chance et du temps pour essayer à nouveau. La compréhension

Cependant, juste au moment où Julien pensait qu’il avait inversé la situation et qu’il sortait peu à peu de l’ombre, une vidéo sur internet a provoqué une véritable onde de choc. C’était en fait une petit vidéo avec ces mots : si ce n’était pas le temps, je croirais presque que c’était de l’amour. Quelle était la vidéo ? C’était ce jour-là où Julien a tenu quatre-vingt-dix-neuf roses, regardant Néo en bas pour lâcher des ballons. Cette vidéo n’était pas difficile à trouver, sans compter que cette chose a provoqué une certaine agitation ce jour-là, il y avait pas mal de gens qui ont pris des vidéos à ce moment-là, la surveillance du bâtiment en bas était aussi accessible. Cette vidéo a été publiée sur Internet par quelqu’un sous l’instruction de Sonia, puisque la démagogie de Julien a obtenu un grand succès, Sonia a préparé de se venger tel qu’il l’a fait. Une telle ficelle grosse, Sonia la méprisait d’abord, mais Julien aimait bien utiliser ce moyen, et elle comptait jo

« Je... » Julien était sur le point de parler lorsqu’il a semblé se souvenir d’autre chose :« Pourquoi devrais-je l’admettre ? Je n’ai rien fait, qu’y a-t-il à admettre ?» « Élina, ne pense pas que juste parce que tu as suivi Sonia et que tu as maintenant un commanditaire, tu peux être crédule. J’agis aussi bien, je n’ai pas peur de tes calomnies !» Après avoir dit cela, il a rapidement raccroché le téléphone. Heureusement qu’il a réagi rapidement, sinon elles auraient enregistré et pris les preuves, et il n’aurait pas pu s’en laver les mains. Il s’est frotté la poitrine, Julien a senti qu’il était très malin pour ne pas être pris en tenaille. L’autre côté du téléphone, Élina, était en effet très en colère, et regardait le téléphone qui était raccroché, exaspérée. Il était si proche, si proche de l’admettre lui-même, et mettre l’audio sur internet aurait été la meilleure preuve, mais il a freiné au moment le plus critique et a refusé d’admettre la vérité. S’il ne