บททั้งหมดของ Gâtée par M. Langlois: บทที่ 441 - บทที่ 450

La voix était autoritaire, mais le regard était encore très paisible. Stéphane était stupéfait, puis a regardé Sonia et a immédiatement compris, « Ah ! Vous avez raison. » Se retournant pour retirer sa main, il a fait une révérence et a dit respectueusement, « Grand-père, je vous souhaite une grande longévité. » M. Dupont a regardé avec étonnement, est-ce que tous les jeunes d’aujourd’hui étaient tous très sautillants ? Une seconde avant, il l’appelait encore M. Dupont, la seconde suivante, il l’a appelé« grand-père ». « Nous ne t’avons pas encore reconnu. » Noah, qui avait toujours été calme et stable, a été le premier à bouder.M. Dupont était plus expérimenté, il a levé la main pour demander à Noah un peu de paix et de calme, puis a toussé sèchement deux fois puis a dit, « Stéphane, tu peux m’appeler oncle... mais grand-père, il est encore trop tôt pour le dire. » L’implication était qu’ils n’avaient pas encore reconnu la relation entre eux deux, donc ils ne l

« Ouais, je ne peux pas me passer de toi ! » elle n’était pas timide, ses bras ballants autour de son cou, puis a dit : « Et alors ? » « Il y a toujours une solution à tout ! » Il a ri légèrement et l’a embrassée sur les lèvres, « Voyons d’abord ta chambre. » La chambre était la même que celle où elle avait séjourné auparavant, et Sonia a été vraiment touchée au moment où elle a poussé la porte. Cette chambre était toujours dans le même état que lors de son départ, rien à l’intérieur n’avait été touché, mais la pièce était propre, évidemment, elle était nettoyée régulièrement, mais tout était encore intact. Seule la literie du lit était neuve et semblait avoir été séchée, qui avait donc l’air bien chaude. Mais il n’y avait pas de chauffage dans la pièce, et Stéphane a remarqué qu’il n’y avait même pas de climatiseur, alors il faisait de plus en plus froid. « La chambre n’a pas l’air conditionné ? » Il a regardé à nouveau autour de lui pour s’assurer qu’il ne l’ava

Et maintenant, à cause de l’épaisse neige qui était tombée et qui recouvrait tout, et avec lui à ses côtés, elle avait enfin quelque chose sur quoi s’appuyer. Cette cour, semblait-il, n’était plus la même qu’autrefois. Cette cour, elle était encore la même qu’avant. Mais elle est aussi devenue différente. « Tu as froid, ou on doit rentrer ? » Il l’a prise par les épaules, de peur qu’elle n’ait froid. Sonia a ri :« La chambre ne sera pas beaucoup plus chaude, il ne fait pas si froid pour courir ici ! » C’était vrai, la maison était tout aussi froide, d’autant plus qu’il n’y avait pas beaucoup de gens à ce moment-là. « Si tu ne te sens pas bien, on ne va pas passer la nuit ici et on rentre directement ? » Après y avoir réfléchi, il a fait une suggestion, il était vraiment difficile d’imaginer comment elle avait traversé toutes ces années dans le passé. Il avait eu affaire à la famille Dupont à quelques reprises autrefois, mais pas exactement un contact profond, il n

Ces yeux semblaient être deux rayons, la balayant froidement de haut en bas, avec une intention froide, apparemment mécontent de son comportement. Pour être honnête, au moment où il l’a regardée, l’échine de Sonia était froide, mais ensuite elle a pensé qu’elle ne le connaissait pas, pourquoi devrait-elle avoir peur de lui ? Elle a pensé comme ça, elle a eu beaucoup plus de force, a redressé son dos et l’a regardé droit dans les yeux sans aucune esquive. Il ne s’attendait probablement pas à ce qu’une petite fille ait autant de cran, une trace de surprise a brillé dans ses yeux, ses sourcils se sont légèrement froncés et il a ouvert la bouche pour parler, mais il a été interrompu. « M. Arnault. » Stéphane, qui se tenait non loin de là et observait tranquillement, a ouvert la bouche et a fait un pas en avant, marchant jusqu’au côté de Sonia et restant immobile. En le voyant, l’homme s’est figé, « Stéphane ? » « Je ne vous ai pas vu tout à l’heure, et je pensais que

La main tendue et la paume tournée vers le haut, elle a poursuivi naturellement leur conversation tout à l’heure avec une justification particulière :« Où est mon bois ?» Adelin :« ... » « Je n’en ai plus. » Il a dit avec désinvolture. D’après sa réaction, Sonia ne le croyait pas, « Je m’en fous ! Tu m’as promis, même si tu n’en as plus, tu devrais les procurer pour moi maintenant. On ne doit pas revenir sur sa parole, tu dois être un homme d’honneur ! » Elle était si sérieuse que Adelin a été obligé de regarder Stéphane, « Tu t’en fous aussi ? » Stéphane a haussé les épaules, ce qui signifiait qu’il ne pouvait pas aider. Voyant qu’il était seul, Adelin était impuissant, « Pourquoi as-tu besoin de ce morceau de bois ? Tu voulais un cadeau d’anniversaire, je t’ai aussi aidé à le finir, pourquoi as-tu insister à avoir un morceau de bois ? » À l’origine, cela ne la dérangeait pas de lui donner des explications, mais puisqu’il avait aussi une mauvaise attitude, a