Semua Bab Mon époux matrilocal fabuleux: Bab 311 - Bab 320

À ce moment, Sandra, qui était affalée sur le sol, était un peu abasourdie.Cette femme était très facilement soudoyée par l’argent, donc ce n’était pas difficile de la faire taire.Après les récents événements, elle a découvert quelque chose. Il semblait que Louis soit le patron de ce groupe de personnes. Mais... comment était-ce possible ? Il était un gendre sans valeur !Au cours des trois dernières années, chaque fois qu’elle allait chez la famille Royer, cet homme faisait toujours le ménage et, parfois, il s’est même chargé de laver ses chaussures et chaussettes.Mais... c’était en fait un grand patron ? Ce qui a complètement renversé l’esprit de Sandra...Et maintenant qu’elle connaissait son identité, est-ce qu’elle avait encore l’opportunité de survivre ?À ce moment, Sandra était vraiment terrifiée. Tous ces gangsters étaient impitoyables, s'ils voulaient vraiment faire quelque chose, elle n’avait aucun moyen de riposter.« Louis... M. Boucher... Sandra s’est agenouillée deva

« Bien que je ne sache pas qui est ton homme, ne t’inquiète pas, je ne suis pas intéressée par ton genre d’homme ! » Bien que Natalie ait été fortement giflée par cette femme et que le coin de sa bouche saignait, elle n'a toujours pas perdu sa répartie.À ce moment-là, Amanda ne pouvait plus se retenir. Elle savait que si cela continuait, Natalie serait probablement grièvement blessée.Mais elle n'a pas osé combattre la vieille femme en face d’elles, alors elle n'a pu qu’arrêter Natalie et a dit : « Natalie, arrête, laisse le président régler cela. Tu ne peux pas tout supporter seule, le président pourra tout régler... » « En agissant comme ça, qui pourra croire que tu ne louches pas sur mon homme ? a ricané Marianne. Puis elle a jeté un coup d'œil à Amanda et a dit : « Et toi, tu t'agenouilles aussi. Sinon, tu vas subir le même sort qu’elle ! » L'expression d’Amanda était ambiguë, mais voyant douloureuse de Natalie, elle n'avait d'autre choix que de s'agenouiller.Marianne était sa

« Es-tu curieuse de savoir pourquoi j’ai de telles compétences ? » a légèrement demandé Louis.Marianne a été tellement choquée qu'elle s'est effondrée sur le canapé et a demandé : « Comment est-ce possible ? » « C'est très simple. Si je n'avais pas eu de tels moyens, je serais mort il y a trois ans. Compris ? » a dit Louis avec légèreté.Les yeux de Marianne se sont soudainement écarquillés, elle n’avait pas pensé à cela. Comment Louis avait-il pu survivre il y a trois ans, maintenant elle en avait une petite idée.Pour la famille Boucher, un héritier perdant devrait être tué. Comment pourrait-il être un gendre matrilocal à l'extérieur ? Cependant, si cet héritier abandonné était difficile à gérer, même la famille Boucher n’était pas capable de se débarrasser de lui ?Dans ce cas, Louis pouvait vivre jusqu’à maintenant, non ?« Louis... J'avoue que je t'ai sous-estimé ! Cependant, même si tu es très habile, et alors ? De nos jours, celui qui est bon au combat n’apporte rien. Peu imp

August, un homme dépendant d’une femme, s’était affaibli à cause des rapports sexuels avec Marianne ces jours-là. Il n’avait pas le courage de parler à haute voix en présence de Marianne. Comment pourrait-il la frapper en ce moment ?Néanmoins, s’il ne la frappait pas, Marianne serait presque battue à mort par Téo, n’est-ce pas ?« Il faut la frapper assez fort, afin de satisfaire Natalie Masson ! Si elle n’en est pas contente, ça ne marche pas ! Attention, August Riviere ! » Louis lui a fait remarquer à sa guise.August s’est levé en frémissant. Il a détourné ses yeux vers Louis, puis vers Marianne, mais il n’arrivait pas à frapper Marianne, en levant sa main.En face de lui, Marianne a fermé les yeux, en disant d’un ton plein de haine : « August, si tu me fais être frappée deux fois, je te mutilerai ! »August a serré les dents. Il avait longtemps vécu d’une femme, en s’aplatissant devant elle et en perdant sa dignité avec des prosternations. Pourtant, il était énervé depuis deux jou

Les Royer se regardaient en silence. Ils avaient tous entendu parler de cette exposition d’antiquités. On disait même que la famille de Nolan avait invité le nouveau président à y assister.Maintenant, toutes les familles de premier ordre de N avaient reçu les lettres d’invitation. Mais ce n’était pas le cas pour la famille Royer. Il semblait que la famille de Nolan ne la prenne pas en considération.La famille de Nolan, une famille de premier ordre de la capitale, jouissait d’une position suprême, considéré par toutes les familles de N. C’était un honneur incomparable de recevoir la lettre d’invitation à l’exposition d’antiquités organisée par la famille de Nolan. Bien que la famille Royer ait du succès cette année, il était sans doute impossible qu’elle soit honorée par la famille de Nolan.Cependant, l’idée des Royer ne correspondait pas à celle de M. Royer. Il a frappé du poing sur la table, en disant d’un ton lourd : « Mesdames et messieurs, la famille Royer a eu quelque succès ce