Semua Bab Madame Verne en ses chemins de triomphes: Bab 421 - Bab 430

Pour Lily et elle, Molly n’était qu’une voleuse de diamant, elle était aussi une voleuse qui avait volé leurs petits amis ! Seulement elle ne l’admettait pas.Il fallait savoir qu'avant l’apparition de Molly, Léa et Lily étaient les seules filles autour de Clément et Jacques ! Elles avaient été convaincues que tôt ou tard, les hommes les accepteraient, mais à présent, leur espoir a été ruiné par cette salope !En pensant à cela, ces deux filles regardaient Molly d’un air féroce, semblant vouloir la mettre en pièces.Molly, inexpressive, écoutait les provocations sans fin venant de Léa, une impatience montait graduellement dans son cœur.« Qu’est-ce que tu veux exactement ? »Son attitude était catégorique, ayant une force à apaiser les gens.Ses frères étaient présents, ils avaient également entendu les accusations de Léa et Lily. Une fois que Simone a entendu qu’elles accusaient faussement sa sœur d’être une voleuse, il s’est mis instantanément en colère. Il s’est levé directement, po

Lamarre, cependant, a cligné des yeux innocemment, sa voix s’est teintée de panique après avoir grogné par sa propre mère.« C’est probablement parce que je me trompe, et a mal compris le Facebook du directeur Dupont. Désolé. »Ce n’était qu’à ce moment, l’humeur de Victor et sa femme s’est améliorée.Les mots de Lamarre tout à l’heure ont laissé la famille de Victor devenir le centre des attentions. Tout le monde avait un air pensif, ne s’attendant pas à ce qu’ils puissent obtenir une invitation au banquet familial de la famille Dupont. Après tout, cette famille était l’une des familles les plus nobles à San Joto, et comme la famille Verne, elle était la famille la plus ancienne du pays.Alors l’obtention d’une invitation de la famille Dupont avait de quoi les choquer !Le vieux Doré ne s’est pas soucié ces bruits, et son attention a été concentrée sur Victor et sa femme. Son fils, au lieu d’empêcher sa femme de prononcer les mots qui semblaient être une explication mais étaient en

Albert la suivait, ne pouvant pas voir son expression assez laide sur son beau visage. Il a continué à poser des questions, mais Chloé, un peu agacée, s’est contentée de répondre avec indifférence : « Tu le sauras quand vous la verrez plus tard, pas besoin de me le redemander sans cesse. »L’homme a pensé que cette beauté avait raison. Il n'a pas fâché contre son attitude, et la suivait joyeusement, dont les petits yeux sur un visage gonflé étaitent remplis d’une lumière maligne.Tout ce qu’il avait à faire, c’était d’amener Molly devant le président Leroy. Quant aux suivis, ce n’était pas ses affaires.Il était donc indifférent de l’attitude de Chloé, après tout, elle n’était pas la personne qu’il voulait chercher. On disait souvent qu’une belle femme avait un grand tempérament, sans parler Chloé, qui serait une super star dans le futur.Tant pis, il s’en foutait. Se fâcher contre une belle femme n’était pas son style.Albert a essuyé la sueur de son visage et a suivi rapidement Chloé

Ils pensaient inconsciemment qu’Albert essayait de forcer Molly à faire quelque chose de mal.Mais ce qu’ils ne savaient pas, c’était que cet homme voulait présenter M. Leroy avec cette jeune fille. Léa et Lily fixaient Molly avec un regard de jalousie. D’après d’elles, un rendez-vous avec le président de la Commission des affaires scolaires était une chose de grand honneur ! Pourquoi ils hésitaient ? Pourquoi Molly ne voulait pas le faire ?Elles ne pouvaient plus le supporter et étaient prêtes à dire quelque chose, cependant, Chloé a ricané en premier : « Antoine, pourquoi demandes-tu cela ? C’est une opportunité très rare, ta famille doit la saisir, n’est-ce pas ? »Cholé ne savait pas elle l’intention d’Albert ? Pas possible. Elle est entrée dans la vie active plus tôt que les autres enfants, elle avait rencontré souvent ce genre de chose.Selon elle, le but d’Albert n’était d’autre qu’emmener cette belle fille devant le président Leroy afin de nouer une relation avec ce grand per

« Puisque Molly a déjà pris sa décision, aucun d’entre vous n’est autorisé à la forcer à changer d’avis. »La voix du vieux Doré n’était pas haute mais extrêmement intimidante. Son regard balayait les gens devant lui un par un, se posant finalement sur Molly. Voyant son beau visage, Il lui a dit d’un ton apaisant :« Molly, fais ce que tu veux. Pas besoin de te soucier des avis des autres. »Jean a fait écho à côté de son père : « Léo, Victor, n’influencez pas le jugement de ma fille ! »Il a cru que Molly avait sa propre raison. Et à vrai dire, Jean ne voulait pas que sa fille écoute des bêtises de cet Albert et le suive pour rencontrer le président Leroy. Il avait peur que cet homme ait de mauvaises intentions.Voyant son grand-père et son père la défendre, Molly était émue. Elle les a salués d’un signe de tête, puis s’est dirigé vers la porte pour quitter.Philippe, qui se trouvait sur le côté, a réagi rapidement et a tenté de se lever, mais François a agi plus rapide que lui.Fran