Lahat ng Kabanata ng Vous n'êtes plus à la hauteur de Clara, Monsieur Léo: Kabanata 41 - Kabanata 50

« Tu parles de n’importe quoi là ! Clara doit y assister ! »Léo a levé les yeux, il regardait fixement le mur blanc derrière le canapé.Il a pensé à ce que Clara lui avait dit : « Léo, ne me cherche plus. »Il a baissé les yeux et a dit sans bien réfléchir : « Mamie, quelque chose ne va pas avec ma relation avec Clara. On prépare un divorce. »La personne à l’autre bout de l’appareil s’est figée en l’entendant, elle a immédiatement crié : « Espèce de connard, tu… tu… »Il s’est figé, personne ne parlait plus à l’autre bout du fil.Léo a froncé les sourcils.« Mamie ? »Toujours sans voix. Il a paniqué.Il s’est immédiatement levé et a appelé Laura : « Maman, va voir mamie, il lui est probablement arrivé quelque chose. »…Le lendemain, à l’hôpital.Dans le service, Jade était aussi pâle qu’un linge. Après que le médecin a examiné son corps, il a dit à sa famille : « Elle n’est pas en bonne forme, il ne faut plus l’irriter. »Laura portait une robe de couleur claire et avait l’air inqu

Le silence régnait dans le couloir.En voyant qu’il restait silencieux, Clara a lentement baissé la tête.Léo ne voyait pas son visage, mais il l’a entendu demander à voix baisse : « Crains-tu que je me serve de ta grand-mère pour sauver notre mariage ? »Il a froncé les sourcils en entendant sa question. Quand il s’apprêtait à s’expliquer, il a entendu la voix de sa grand-mère dans le service : « Clara… »Elle a regardé dans le service.« Elle s’est réveillée. »Après avoir dit ça, elle est entrée dans le service en contournant Léo.Laura aidait Jade à se redresser. Cette dernière s’appuyant contre le chevet, elle se sentait triste en regardant Clara.Léo suivait Clara de près.En les voyant ensemble, Jade se sentait encore plus triste.Ce jour-là, est finalement arrivé.Ils n’avaient plus de choix que de divorcer ?Clara s’est assise au bord du lit et a aidé Jade à arranger ses cheveux en ordre, elle a doucement demandé : « Mamie, ça va ? »Jade a pris la main de Clara et a demandé d

Dès le départ de Clara, Marie a sorti son téléphone portable d'un geste précis. Elle a composé un numéro, son cœur battant avec une impatience croissante.« Tu as les nouvelles sur le Saussurea ? À qui appartient-il désormais ? » Sa voix trahissait une urgence mêlée de frustration.À l'autre bout du fil, l'homme semblait désemparé, « Mlle Leroux, j'ai tout fait en mon pouvoir, mais en vain. »Il se demandait aussi comment un objet aussi mystérieux avait-il pu disparaître sans laisser de traces ? Et qui l'avait emporté ? C'était presque magique.« Toi ! Un pari perdant ! » s'est écriée Marie, exaspérée, elle tapait du pied, « Trouve une autre solution, comment diable puis-je obtenir le Saussurea ? »L'anniversaire de Jade approchait à grands pas, et pourtant le Saussurea demeurait introuvable. Si elle échouait, deviendrait-elle le moquerie des gens ? Que penseraient Léo d'elle et de sa famille ?« J'ai peut-être une idée. Que diriez-vous de contacter M ? »Marie s’est mordillée la lèvr

Marie a franchi la porte de la boîte 999, mais il n’y avait personne d’autre à l’intérieur.Le garde du corps a chuchoté avec précaution : « Mademoiselle, ce M est-il digne de confiance ? »« Bien sûr qu'il l'est ! » a-t-elle répliqué d'un ton sec, lançant un regard noir au garde du corps.Elle savait que M était sa meilleure chance d’obtenir le Saussurea. Si quelqu'un osait mettre en doute sa fiabilité, elle serait la première à le remettre à sa place !Elle s'est installée sur le canapé, a sorti son téléphone portable et a envoyé un message empli de triomphe à Léo.Marie a écrit ces mots avec assurance : « Léo, tu n'as pas besoin de m'aider à trouver le Saussurea. J'ai déjà l'information clé, et je vais l'obtenir ! »Avec une lueur d'excitation dans les yeux, elle a éteint son téléphone portable.L'horloge semblait suspendue dans le temps alors que huit heures sonnaient. Marie s’est levée d'un bond, prête à accueillir M.Ce dernier, énigmatique, se montrait rarement en public. C'étai

Le déluge s'est abattu sur la ville lorsque Clara a émergeé du pub. Les éclairs zébraient sporadiquement le ciel, leur éclat illuminant brièvement les rues, tandis que le tonnerre grondait en silence, tel un timide messager céleste.Clara avait toujours eu un penchant étrange pour les jours de pluie. Elle aimait se pelotonner chez elle, se perdre dans une émission télévisée tout en savourant des friandises tandis que le monde extérieur était noyé sous les averses torrentielles. Pour elle, ces jours-là étaient empreints d'une douce tranquillité, un cocon de quiétude dans le tumulte de la nature.Pourtant, malgré cette affection pour la pluie, Clara redoutait le tonnerre. Depuis cette chute dans les abysses marins, le bruit de l'orage lui inspirait une terreur viscérale, comme si chaque éclat sonore était une explosion dans son être, ravivant les souvenirs enfouis de ce jour fatidique.Alors qu'elle s'apprêtait à rejoindre sa voiture, son regard était attiré par une Maïbach noire station