Semua Bab Panique ! J'ai laissé mon ex à son amour, il est devenu fou: Bab 371 - Bab 380

Il a percé à jour mes pensées :« Dis-moi la vérité. »J’ai fini par tout avouer :« J’ai besoin de temps pour réfléchir. »Les mains dans les poches, il a hoché la tête d’un air compréhensif :« C’est normal, prends tout le temps qu’il te faut. »…Le lendemain, Clermont et moi avions prévu de rencontrer l’homme que Mme Hugo avait envoyé pour enlever quelqu’un.Clermont m’avait expliqué que cet homme avait parlé et révélé quelques éléments.Il voulait que j’entende tout de mes propres oreilles avant de décider si je devais y croire.« Sinon, si je te le raconte moi-même, tu pourrais penser que j’essaie de te manipuler, et ça nuirait à mon image de justicier irréprochable », avait-il plaisanté.Alors que je m’apprêtais à choisir une tenue et à me maquiller, la sonnette a retenti.Un coup d’œil à mon téléphone m’a appris qu’il restait environ deux heures avant l’heure prévue.Intriguée mais de bonne humeur, je suis allée ouvrir la porte. En voyant qui se tenait sur le seuil, je me suis

#Madame Fremont s’évanouit sous l’émotion##Le deuxième fils des Fremont rejoint le groupe des Fremont##Le deuxième fils des Fremont collabore avec RF##La position du jeune maître Fremont vacille##Le deuxième fils des Fremont en contact privé avec le groupe RF#…En soirée, les nouvelles ont commencé à se répandre progressivement.En voyant la dernière, j’ai composé le numéro de Cédric.« Tu es derrière tout ça ? »Il a marqué un silence avant de rire froidement.« Tout ça ? Tu veux parler de la fausse héritière des Hugo ou du chaos chez les Fremont ? »« Tu sais très bien de quoi je parle. »« Si tu dis que c’est moi, alors c’est moi. Pour tout. »Sa voix était froide et grave. J’ai entendu le bruit d’un briquet qu’il venait d’allumer.« Chloé, reviens et sois Mme Baudet. Les problèmes des Hugo, ceux des Fremont, je peux tous les régler pour toi. »J’ai été un instant déconcertée.« Les Fremont ? Quels problèmes ? »« Clermont. »Il a pris une bouffée de sa cigarette, et sa voix ra

Il était redevenu ce Clément audacieux et imprévisible, celui qu’on ne pouvait jamais complètement cerner.Pendant ce temps, du côté des Hugo, Cédric avait mobilisé ses contacts pour trouver un célèbre médecin traditionnel retiré, afin qu’il vienne examiner la grand-mère. L’objectif était de traiter l’intoxication à la source, car l’intervention à l’hôpital ce jour-là n’avait fait que soigner les symptômes, pas le problème de fond. L’état comateux de la grand-mère était lié au poison qui avait atteint son cœur.Ce soir-là, après un dîner d’entreprise, Luna traînait volontairement derrière les autres employés pour marcher à mes côtés. Elle m’a demandé avec précaution :« Grande sœur, est-ce que tu n’as jamais aimé mon frère ? »Je savais qu’elle posait cette question pour Clermont.Mais hier, son père m’avait appelée pour me mettre en garde.Je lui ai répondu avec un sourire léger :« Non, jamais. »« Jamais ? »Cédric est arrivé d’un pas assuré, s’arrêtant juste devant moi. Sa silhouet

Je ne l’avais jamais rencontré, mais j’avais entendu Cédric lui parler au téléphone à deux reprises. Leur relation semblait profondément marquée par une confiance absolue, presque fraternelle. Cédric semblait accorder à Jean la même loyauté infaillible.« Très bien, fais comme tu veux. »Je hochai la tête, songeuse, avant de rappeler :« Après-demain, on doit aller récupérer le certificat de divorce. N’oublie pas de bloquer du temps. »Son regard sombre a vacillé légèrement. Il a esquissé un sourire amer, teinté de tristesse :« Tu comptes les jours avant de te débarrasser de moi ? »« On peut dire ça comme ça. »Je n’ai rien caché, répondant sans hésitation.Ses longs cils se sont abaissés, et ses lèvres fines se sont crispées en une ligne droite. Il a fini par céder d'une voix résignée :« Très bien, comme tu veux. »« Ce n’est pas une question de "comme je veux". »J’ai corrigé calmement : « Cédric, c’est une décision que nous avons prise ensemble. Il n’est pas question de céder ou

Avant même qu’il ne finisse de parler, mon téléphone a glissé de ma main.Mes doigts tremblaient de façon incontrôlable. Je suis restée longtemps debout près de la fenêtre, figée, jusqu’à ce que Cédric sorte sous la lumière de la lune et que la Rolls-Royce quitte la vieille maison.Ce n’est qu’une fois les feux arrière disparus de ma vue, après vingt longues minutes, que j’ai ouvert le tiroir de la table de chevet. J’en ai sorti un couteau à fruits et l’ai passé sur mon poignet.Le sang, chaud, éclatant, a jailli.Mais la coupure était superficielle. Pas assez profonde pour en mourir.Pieds nus, j’ai ouvert la porte et descendu les escaliers.Fabien s’est approché, un air inquiet sur le visage.« Madame, Cédric m’a demandé de… »Il s’est interrompu en voyant le sang qui coulait le long de mon bras. Ses yeux se sont agrandis, sa voix tremblante.« Madame, qu’est-ce que… »Je l’ai regardé calmement, comme insensible à la douleur.« Fabien, je ne veux pas vous mettre dans une situation di