Semua Bab Mère Porteuse Accidentelle pour l'Alpha: Bab 431 - Bab 440

Cora regarde en bas vers lui et fronce les sourcils. « J'ai vu pire. » Elle répond honnêtement, « Mais je pense que tu ferais mieux de ne pas rester seul ce soir. »« C'est une invitation ? » Roger demande avec espoir.« Mon avis médical. » Cora corrige. « Le même que je donnerais à n'importe qui dans ton état. »« Tous ceux que je aime sont dans le même état - ou à peu près. » Roger se lamente, se sentant très désolé pour lui-même. « Ils ne devraient pas avoir à gérer mes problèmes en plus de tout le reste. »Cora l'étudie attentivement. Ils se trouvent dans un palais opulent avec des dizaines de serviteurs et de gardes. Trouver quelqu'un pour rester avec le loup ne serait pas difficile - même organiser une nouvelle chambre pour lui ne prendrait guère plus qu'un geste de la main. Alors pourquoi est-elle si tentée de lui offrir sa compagnie ? Pourquoi ne veut-elle pas le quitter ? Pourquoi est-elle si terriblement tentée de sentir à nouveau son toucher ? « Je pourrais rester avec toi.

« Tu n'avais pas de maman et de papa ? » Le petit demande, se rapprochant un peu. « Mais ils ont dit que tu étais une princesse. » Il y a une note d'accusation dans sa voix, et je me demande depuis combien de temps il a rejoint la nurserie – et ce qu'il a vécu avant d'arriver.« Je ne savais pas que j'étais une princesse jusqu'à très récemment. » J'explique. « En fait, je ne savais même pas que j'étais un loup parce que j'ai été élevée par des humains. »« Wow. » Le garçon murmure, venant assez près pour que je puisse le prendre sur mes genoux. Il se fige complètement lorsque mes mains le touchent pour la première fois, mais après un moment, il s'abandonne contre moi, ses défenses tombant.« Je ne pensais pas que des choses mauvaises arrivaient aux princesses. » Un autre nouveau visage s'est joint à nous, une petite fille maligne qui s'est faufilée derrière moi.« Les mauvaises choses arrivent à tout le monde. » Je raconte tristement, lui offrant mon autre bras. Elle glisse dans mon ét

« Tu sais que je t'aime de tout mon être, et de tout ce que je serai jamais ? » Sinclair demande, me brûlant de son regard émeraude.« Tu sais que tu es mon tout, et que je serais perdue sans toi ? » Je rétorque, retenant mes larmes.Sinclair me répond avec un baiser féroce, et alors ça commence : chaque mensonge, chaque trahison de sa confiance, chaque complot et acte de négligence pour mon bien-être. Parfois, nous tournons en rond, « Tu étais mort ! » Je crie, environ une demi-heure dans le débat. « J'avais besoin de te trouver, je peux être tenu pour responsable de beaucoup de choses, mais tu ne peux pas t'attendre à ce que je te perde sans pleurer, ou à ne pas me battre quand je savais que tu étais quelque part là-bas ! »« Bien sûr que je sais que tu aurais pleuré, mais j'ai besoin que tu saches que te tuer ou notre enfant est la dernière chose que je voudrais. J'espérais que tu irais de l'avant et – »« Et quoi, m'oublier ?! » Je l'interromps, « parce que je dois dire que si les

« Attendez, » je m'objecte, voulant faire une pause, mais pas pour la raison que Sinclair pense. Il lève les yeux de son exploration paresseuse de mes seins, me donnant toute son attention. « Je suis vraiment désolée pour tout ce qui s'est passé pendant que vous étiez parti. » Je murmure, enchevêtrant mes doigts dans ses cheveux noirs, « pour tout ce que j'ai fait. »« Oh, chérie, nous avons dépassé tout cela. » Il ronronne, caressant mes côtés tout en suçant l'un de mes mamelons perlés dans sa bouche. C'est juste pour le plaisir maintenant. Il continue dans mon esprit, léchant le bourgeon et taquinant l'autre avec ses doigts. Je m'arc-boute à son contact, un soulagement coulant en moi. Je suis sûre que cette dispute sera l'une des nombreuses divergences dans notre avenir, et je suis sûre qu'il y aura des moments où Sinclair aura tort et moi raison. Mais ce n'était pas le cas cette fois, et c'est incroyablement libérateur de ressentir une telle catharsis - comme si j'avais payé ma péni

Isabelle a légèrement sursauté, comme si elle était tellement occupée à faire face à sa proximité soudaine qu'elle n'était pas prête à entendre sa voix profonde. Son regard brillant a balayé le sien avant de se retirer à nouveau. « Bonjour », a-t-elle répondu, tournant le dos et s'occupant à plier le linge.Une mèche de cheveux auburn s'était détachée de son chignon désordonné, et elle serpentait le long de la courbe de son cou – le tentant. Il a attrapé la soie entre son pouce et son index, jouant avec les mèches douces. Isabelle a eu la chair de poule sur le cou, et les cheveux à la base de sa nuque se sont dressés. Il a été tenté de se pencher en avant pour l'embrasser, mais au lieu de cela, il lui a simplement fait sentir son souffle chaud sur sa peau. « Comment va notre fille aujourd'hui ? »« Elle est parfaite, comme d'habitude », a répondu Isabelle de manière évasive, essayant et échouant à étouffer un frisson alors que sa main glissait sur sa taille. À part un seul baiser au so