Semua Bab Les Héritiers des Milliardaires: Bab 111 - Bab 120

Willow…J'ai effectué les modifications demandées sur votre texte en français. Voici le résultat avec les standards de ponctuation française et les adaptations temporelles :J'ai regardé la petite fille lorsque j'ai entendu ce qu'elle venait de dire et mes yeux se sont écarquillés. C'était la fille de quelques semaines auparavant, celle qui avait failli être heurtée par le camion.« Salut, je m'appelle Bella et voici mon frère Ashton », s'est présentée la petite fille, avant de regarder son père. « Et voici mon père, Adrian. »Son père ne disait toujours rien. « Bonjour, monsieur Adrian », ai-je dit en tendant la main pour la serrer. Il ne l'a pas prise et, après un bref instant, j'ai replacé ma main à mon côté, légèrement vexée. « D'accord », ai-je dit nerveusement.Il ne dit toujours rien et j'ai jeté un coup d'œil à Bella, espérant qu'elle dirait quelque chose pour que son père arrête de me fixer comme s'il avait l'intention de me tuer. J'ai regardé Adrian et j'ai remarqué qu'il me

Willow…Je suis descendue du bus et me suis promenée le long de la route qui menait à mon appartement. Les rues étaient étrangement silencieuses comme d’habitude. Parfois, je me demande comment je peux vivre dans un endroit aussi affreux, mais ensuite, je me rappelle que je n’ai pas d’autre choix. Je ne peux pas me permettre de vivre de l’autre côté de la ville. Ce n’est pas si terrible, mais je ne dirais pas non plus que c’est sûr, surtout la nuit, lorsque des membres de gangs se promènent, vendent de la drogue ou laissent des filles. J’ai eu ce soir une étrange sensation, un peu effrayante, d’être suivie. J’ai essayé de l’ignorer, mais elle ne disparaissait pas. Peut-être que c’est Adrian qui me suit ? me suis-je demandé, mais je savais mieux. Pourquoi me suivrait-il jusqu’à ce quartier ?Alors que je montais les escaliers, j’ai eu une mauvaise impression, mais je l’ai ignorée, essayant d’être courageuse parce que, honnêtement, qui pourrais-je contacter à cette heure-ci pour m’aider

Une fois qu’ils ont été satisfaits de leur ouvrage, ils sont partis. J’allais prendre mon téléphone dans mon sac lorsque j’ai entendu quelqu’un dire : « Oh mon Dieu ! Will ! Qu’est-ce qui s’est passé ? » Kylie a haleté en entrant dans le salon, regardant mon appartement avec horreur.Dès que j’ai entendu sa voix, j’ai laissé mes larmes couler. Elle s’est précipitée, marchant sur les débris de verre par terre, et s’est penchée pour me prendre dans ses bras. Je me suis accrochée à elle et j’ai pleuré. Après un moment, j’ai relevé la tête et j’ai vu ses yeux rougis par les larmes.« Will, qu’est-ce qui s’est passé ici ? J’ai été inquiète de ne pas avoir de nouvelles de toi », a-t-elle sangloté.Je ne pouvais pas prononcer son nom. La seule chose que je voulais, c’était de sortir d’ici au cas où il déciderait de revenir. « Kylie, s’il te plaît, emmène-moi loin d’ici », ai-je pleuré en pensant à ce qui se passerait, non seulement pour moi, mais aussi pour Kylie, si Kieran revenait.Kylie m’

« En venant au fait. Pourquoi m’avez-vous vraiment demandé de vous rencontrer ici ? » ai-je demandé sans salutation. Je ne vais pas prétendre que je l’aime et il ferait mieux de le savoir dès le début.« Pourrions-nous aller quelque part de plus discret ? » a-t-il demandé en regardant autour de lui, car certaines personnes nous dévisageaient.« D’accord, mais attendez une minute, voulez-vous ? » ai-je demandé en sortant mon téléphone. J’ai pris une photo de la plaque d’immatriculation, puis un cliché de lui et les ai envoyés à Kylie. Il m’a regardée avec un froncement de sourcils, mais n’a rien dit.« Très bien, maintenant nous pouvons aller quelque part de plus privé, mais sachez que je n’accepterai aucune plaisanterie. J’ai du gaz poivré et je n’hésiterai pas à l’utiliser », ai-je prévenu en montant dans le siège passager en attendant qu’il monte à bord.« Très bien, commençons à parler, maintenant que nous sommes loin des regards et des oreilles indiscrètes », ai-je annoncé une fois

« Hein, je pense que nous savons tous les deux que je suis revenue à mes sens depuis longtemps », ai-je reniflé avec dégoût.Il a ri sans humour et a croisé les bras devant moi. « Alors dis-moi, chérie, vas-tu te désoler pour avoir agi comme une gamine capricieuse ces derniers mois et revenir à moi ? Tout ce que tu dois faire, c’est dire que tu veux encore de moi et je t’enlèverai d’ici pour te ramener là où tu appartiens. Nous dirons à la presse que tu es partie avec un autre homme parce que tu étais jalouse de ma secrétaire. » Il l’a dit avec une touche de fierté, presque comme si tout cela était ma faute.Je ne pouvais pas croire ce que j’entendais. Il ne revendiquait toujours pas la responsabilité de ses actes qui m’avaient poussée à fuir. Il pensait toujours que j’étais la jeune fille innocente qu’il avait rencontrée il y a trois ans. Je l’ai regardé et ai ri. « Tu sais, je préfère dormir avec des sans-abris que de retourner avec toi. » La colère et la surprise ont traversé son vi