Lahat ng Kabanata ng Une Aventure d'un Soir avec mon Patron: Kabanata 1 - Kabanata 10

*TESSA* Je ne me suis pas retournée et je n'ai pas arrêté de courir... S'il était derrière moi... je sais que je ne suis pas à la hauteur... Pourtant, je ne voulais pas qu'il me rattrape. Quand j'ai osé regarder en arrière, j'ai réalisé qu'il ne me poursuivait pas.J'ai ralenti et j'ai commencé à marcher à vive allure vers la sortie de l'hôtel... Je me suis frotté la poitrine en essayant de me calmer. Ça va, ça va. Tout allait bien. J'ai fait une erreur en me saoulant et en m'impliquant dans une aventure d'un soir... Ce n'est pas la fin du monde. La chose la plus réconfortante était que je ne le reverrais certainement plus.En rentrant chez moi, je me suis préparée un petit déjeuner avant de me rendre à l'entreprise pour laquelle je travaillais.En arrivant à l'entrée du bâtiment, mon téléphone portable a sonné. J'ai souri en voyant que c'était ma mère. J'ai lentement décroché le téléphone.« Bonjour, maman. » « J'espère que tu n'as pas oublié que ce soir, c'est le 60ème ann

*TESSA*J'ai fixé le sol, incapable de le regarder. Je devrais vraiment apprendre à contrôler ma langue si je ne veux pas perdre ce travail. J'attendais qu'il parle, mais il ne l'a pas fait. Le silence me mettait de plus en plus mal à l'aise. J'ai lentement levé les yeux et nos regards se sont croisés. Il me fixait, mais je n'arrivais pas à lire l'expression de son visage. J'ai alors vu Declan sortir son portefeuille et en extraire quelques billets. Il a posé l'argent sur la table. « Mlle Beckett, je pensais vraiment que je ne vous reverrais jamais et honnêtement je n'en avais pas envie. Mais maintenant que je l'ai fait... je pense que je dois vous faire comprendre qu'à part être PDG, je n'ai pas d'autre travail à côté, alors reprenez vos 200 dollars. » J'ai dégluti. Je n'arrive pas à croire qu'il m'ait fait venir dans son bureau pour me dire qu'il n'était pas un prostitué. « Je comprends », ai-je dit avec un sourire inoffensif. J'ai expiré, extrêmement soulagée. Il ne nous

*TESSA* « Si tu avais des manières, tu n'aurais pas monté mon père contre nous », ai-je dit avec colère en me levant.Après toutes ces années... Mon père ne m'a pas traitée comme sa fille. Au contraire, il me regardait comme si j'étais une étrangère. Quand j'étais plus jeune, ma mère n'avait pas pu payer mes frais de scolarité et j'étais allée le voir pour lui demander de l'aide, mais il m'avait mise à la porte. Et cela me fait très mal qu'Anna ait une vie très agréable, alors qu'elle n'est même pas sa fille biologique ! Maintenant... Je l'ai tout de même repoussé.Il a cessé d'être mon père depuis longtemps. « Patrick, comment peut-elle me parler comme ça ? ! », a crié Cassie. Mon père s'est levé immédiatement. « Sois polie avec ma femme ! » Il est parti en trombe et m'a donné une gifle. C'était inattendu et je suis tombée par terre.« On n'en arrive pas là, Patrick. » Oncle Wilson a aboyé et s'est approché de moi.« Comment oses-tu toucher ma fille ? ! », a hurlé ma mère. «

*TESSA* « Es-tu seule ici ? », m'a demandé Ethan. « Non, je suis avec un ami. » À ce moment-là, Edgar s'est arrêté devant moi. « Petit ami ? » Ethan a dit dès qu'Edgar est descendu de la voiture. « Non... un ami. », ai-je rétorqué, mais il a souri timidement. « Bonsoir, monsieur. » J'ai salué Declan qui m'a ignoré et s'est éloigné avec son client. Cela ne le tuerait pas d'au moins répondre. « Edgar, voici Ethan Bascon, mon collègue de travail. », ai-je présenté.« Enchanté. » Edgar a dit qu'ils se serraient la main. Puis il m'a ouvert la porte. « On y va ? » J'ai souri et je suis montée. Alors que la voiture passait devant Declan et son client, nos regards se sont croisés. J'ai rapidement détourné le regard. J'ai dégluti en me demandant pourquoi je me sentais soudain nerveuse. **************** Lundi matin, je suis entrée dans l'entreprise et j'ai été accueillie par une atmosphère tendue. Ethan avait l'air énervé. « Bonjour », ai-je salué.« Rien de bon n'arrive le ma

*TESSA*Les paroles humiliantes de Declan m'ont incitée à terminer la tâche par tous les moyens. J'avais hâte d'en finir et de lui dire : « C'est fait, connard ! » Bien sûr, je ne lui dirais pas en face. Je peux juste le dire dans ma tête. En fait, j'aurais aimé pouvoir lui dire ce que j'avais sur le cœur. J'ai donc redoublé d'efforts et j'ai passé pratiquement tout mon temps à le faire. J'ai mangé des snacks et des nouilles instantanées. J'ai emporté la plupart des documents à la maison pour continuer à travailler. J'ai à peine dormi et, à vrai dire, j'étais plus qu'épuisée. Vendredi matin, Audrey s'est approchée de mon bureau. « Tessa, est-ce que M. Hudson est encore venu te gronder ? » J'ai froncé les sourcils. « Me gronder ? Je ne l'ai pas vu ce matin. » « Vraiment ? Je l'ai croisé il y a quelques minutes. Il sortait d'ici. » Audrey m'a indiqué la porte. J'ai soupiré. Il a dû venir ici pour se moquer de moi. Je dois lui faire la surprise de sa vie lundi. « Et s'il t