Semua Bab Patron Irrésistible : Prisonnière de Ton Charme: Bab 451 - Bab 460

Point de vue de FlavianJe suis entré dans le bar de l'hôtel et j'ai aperçu, installée à une table au fond de la terrasse, la silhouette inconfondable de cette grande femme élancée aux cheveux bruns ondulés et brillants. Elle portait une robe noire au décolleté plongeant, tenant d'une main un daiquiri aux fraises et de l'autre une cigarette, comme toujours. Cette femme qui avait été mon épouse, celle qui m'avait forcé à choisir entre elle et mon métier, avant de simplement partir.Je me suis dirigé vers elle, en observant la scène. Sabrina n'avait presque pas changé ; elle était toujours aussi belle et provocante. Nous avions le même âge, nos parents étaient amis, nous avions étudié ensemble, et je n'avais même pas remarqué qu'on nous poussait constamment l'un vers l'autre. Avant que je ne m'en rende compte, j'étais marié et je pensais qu'elle était la femme qu'il me fallait. Jusqu'à ce qu'elle me mette au pied du mur et que je refuse d'abandonner la police pour retourner dans l'entr

Point de vue de FlavianMes jours tranquilles semblaient désormais derrière moi. Henri était enfin revenu de son voyage et avait réuni les gars pour dîner. Il voulait des nouvelles de Sandrine, mais a fini par nous révéler que son ex-petit ami la menaçait et avait également proféré des menaces contre Emmanuelle, ce qui m'a rendu complètement fou.En rentrant chez moi, j'ai essayé d'en parler avec Emmanuelle qui m'a simplement répondu qu'elle ne s'en souvenait même pas. Comment peut-on être menacé et ne pas s'en souvenir ? Ma petite a fini par me distraire avec son corps sensuel, et j'ai laissé tomber la conversation.Mais le lendemain, j'étais nerveux et inquiet. Et l'appel que j'ai reçu de Sabrina n'a pas vraiment arrangé les choses.« Salut, mon mari ! Tu as vérifié qu'on est toujours mariés ? » Sabrina adorait me maintenir dans cette situation inconfortable.« Sabrina, retourne dans le trou d'où tu es sortie et oublie-moi ! » J'ai raccroché brusquement, mais ça n'a servi à rien

Point de vue d'EmmanuelleJe suis arrivée au bureau en chantant et souriant. J'avais l'impression que toutes les couleurs étaient plus vives, la journée plus lumineuse, et que la vie était tout simplement merveilleuse. Comment aurait-il pu en être autrement après cette nuit d'amour passée avec mon grand gaillard qui m'avait enfin avoué ses sentiments ?« Ma belle, ce détective est vraiment quelque chose ! » s'est exclamé Rick en apparaissant devant mon bureau avec un sourire.« C'est l'amour qui est quelque chose d'autre, Rick ! » lui ai-je répondu en souriant.« Raconte-moi tout, ma jolie ! » Il s'est assis, toujours souriant.« Il m'aime, Rick, il m'aime ! » ai-je lancé avec excitation.« Et qu'est-ce qu'il y a de nouveau là-dedans, Petite Clé ? » Pascal est apparu à ce moment précis. « Tout le monde le savait déjà. »« Comment ça ? » J'ai froncé les sourcils, perplexe.« Il n'y avait que toi et Flavian pour en douter, parce que nous, on savait tous que vous étiez amoureux l'

Point de vue de FlavianJ'ai claqué la porte après avoir chargé les bagages dans la voiture de patrouille et nous sommes partis pour l'aéroport. À côté de moi, Blanc trouvait tout cela amusant tandis que j'étais au bord de la crise de nerfs. Sabrina soufflait et grognait sur la banquette arrière.« Flavian, c'est scandaleux ! » Sabrina n'arrêtait pas de se plaindre, s'agitant d'un côté à l'autre sur son siège – c'était irritant.« Mademoiselle, vous devriez éviter de vous trémousser autant sur ce siège. Hier soir, cette voiture a transporté un fugitif qui se cachait dans les buissons, et nous n'avons pas encore eu le temps de la nettoyer. Il était dans un état... disons, peu ragoûtant », a expliqué Blanc. Je lui ai jeté un coup d'œil, sachant pertinemment qu'il inventait cette histoire de toutes pièces pour embêter Sabrina.« Oh, c'était la voiture qui a transporté Remela ? » ai-je demandé, inventant un nom au hasard et entrant dans le jeu de Blanc. Ça promettait d'être divertissan

Point de vue de FlavianNous nous sommes rendus chez mes parents, et à notre arrivée, ils ont été vraiment surpris. Ma mère a ouvert ses bras et s'est précipitée vers moi.« Mon fils, te voilà enfin de retour ! » Elle m'a serré contre elle.« Ne te fais pas trop d'illusions, maman. Je suis juste venu discuter avec vous tous ; je repars pour Marseille aujourd'hui », ai-je précisé immédiatement. Elle a posé sa main sur ma joue.« Quand comprendras-tu que ta place est ici ? » a-t-elle demandé.« Ce n'est plus le cas, maman », ai-je répondu avant de saluer mon père.« Eh bien, je pense que tu changeras bientôt d'avis », a déclaré mon père avec un sourire.« Tu dis ça à cause de Sabrina, papa ? » Je lui ai lancé un sourire cynique. « J'essaie de comprendre comment elle a réussi à annuler notre divorce. »« D'après ce que je sais, tu as retiré ta demande de divorce parce qu'elle était enceinte. Et tu as signé tous les documents pour elle. Mais cette femme irresponsable est partie en