Semua Bab Patron Irrésistible : Prisonnière de Ton Charme: Bab 691 - Bab 700

Point de vue de PascalMais Melissa exagère vraiment ! Elle ne sait même pas ce qui s'est passé et elle débarque ici en faisant tout ce raffut ! Maintenant mes vêtements sont trempés et je me retrouve sous cette eau glacée. Après qu'elle soit sortie, j'ai enlevé mes habits détrempés et j'ai pris une douche. Dix minutes plus tard, je les ai retrouvés dans le salon. Melissa, Fred et Rick me regardaient comme si j'avais commis un péché mortel.« Bon, je suis réveillé maintenant. Tu peux m'expliquer ce qui se passe ? » J'ai fait face aux trois. Melissa s'est levée, a versé une tasse de café du plateau posé sur la table basse et me l'a tendue.« Bois ça ! » Elle était plutôt autoritaire, mais quand elle était en colère, c'était un vrai petit tyran ! J'ai pris une gorgée du café chaud et j'ai failli tout recracher.« Beurk... il n'y a pas une goutte de sucre là-dedans ! » je me suis plaint.« Et il ne doit pas y avoir ! Les douches froides et le café amer soignent la gueule de bois. » M

Point de vue de LexieC'était mon dernier jour chez mes parents. Nous étions dimanche et je devais partir juste après le déjeuner. J'avais déjà acheté mon billet en ligne. Le lendemain, il me faudrait affronter Pascal au bureau. Et pas seulement lui, mais Rick et Mel aussi.Le lendemain de mon arrivée, j'avais prévenu Rick et Mel de ma présence ici. Je leur avais envoyé un message depuis le portable de ma mère en leur demandant de ne le dire à d'autre personne. Je repensais encore à tout ce que ma mère m'avait confié la veille, mais je n'avais pris aucune décision. En réalité, plus j'y réfléchissais, plus j'avais envie de partir très loin.« Ah, les femmes de ma vie sont là ! »Mon père est rentré du club peu avant le déjeuner. Il nous a trouvées, ma mère et moi, en train de dresser la table. Il a embrassé le front de ma mère, puis a fait de même avec moi.Pendant le repas, nous avons évoqué l'époque où mes frères et moi vivions encore dans cette maison. J'ai ri aux éclats en écou

Point de vue de PascalLexie avait pris ce taxi à l'aéroport. Je restais figé sur place, les yeux fixés sur la route où le véhicule avait déjà disparu dans la circulation. Quand j'ai enfin repris mes esprits, mon premier réflexe a été de la poursuivre. J'étais même prêt à défoncer la porte de son appartement si nécessaire. C'est ce que j'aurais fait si mon téléphone n'avait pas sonné avant que je puisse démarrer la voiture.« Maman ! Qu'est-ce qu'il y a ? »J'ai décroché précipitamment. Le visage de ma mère est apparu à l'écran en appel vidéo.« Pascal Guzman, je veux savoir immédiatement ce qui se passe exactement entre Lexie et toi. »Ma mère était une femme déterminée. Quand elle voulait quelque chose, elle l'obtenait. Mais je n'avais pas le temps de lui parler maintenant.« Maman, pas maintenant ! — Comment ça, pas maintenant ? Bien sûr que si, maintenant ! Alors, tu parles ? — Maman, c'est compliqué. Je suis venu l'attendre à l'aéroport, elle est arrivée, elle a refusé de me

Point de vue de PascalCe n'était pas ainsi que j'avais imaginé commencer ma journée avec elle. J'aurais voulu me montrer plus doux, plus posé. Mais quand j'ai appris qu'elle allait quitter l'entreprise, j'ai complètement perdu la tête. C'était inacceptable ! J'ai agi sans réfléchir. Je l'ai portée jusqu'à mon bureau et j'ai verrouillé la porte derrière nous. Nous allions rester enfermés ensemble jusqu'à ce qu'elle m'ait écouté et qu’elle renonce à cette folle idée de partir.Mais elle s'est mise à pleurer. Cela m'a pris complètement au dépourvu. Ses larmes étaient des larmes de douleur, les larmes d'un cœur brisé. La voir dans cet état m'a fait mal partout à l'intérieur. C'était une douleur émotionnelle que je ressentais physiquement dans tout mon corps. J'ai toujours détesté la voir pleurer, et chaque fois que je l'ai fait pleurer, je ressentais toujours une douleur physique mêlée à la douleur émotionnelle. Cela me causait toujours une douleur insupportable, perçante, qui ne voulai

Point de vue de LexieJe n'arrivais pas à croire ce que j'entendais. Il était là, enfin prêt à être avec moi, à devenir mon petit ami. Ce n'était pas une déclaration d'amour, certes, mais pour la première fois, j'avais l'impression d'avoir une chance de le conquérir. Et comme j'avais envie de le conquérir ! Il devait ressentir quelque chose pour moi, sinon il ne s'inquiéterait pas autant de me voir prendre mes distances ou m'intéresser à quelqu'un d'autre.« Petite amie ? »J'ai testé le mot, et il semblait si bien convenir. Mais je savais qu'avant tout, nous devions complètement éclaircir ce qui s'était passé au club.« Ne me punis pas comme ça, ma douce ! Sois à moi, s'il te plaît ! » a-t-il supplié d'un ton implorant.Ne comprenait-il pas encore que j'avais toujours été à lui ? Même quand il ne voulait pas de moi, j'étais sienne.« Pascal, tu es sûr de ce que tu dis ? »« Absolument sûr. Tu n'as aucune idée à quel point j'ai été désespéré ces derniers jours sans nouvelles de