All Chapters of Patron Irrésistible : Prisonnière de Ton Charme: Chapter 81 - Chapter 90

Nous avons marché trois pâtés de maisons avant d'entrer dans le restaurant. Comme prévu, Lévy et ses amis étaient déjà là. Leur groupe a été très remarquable, tous plus séduisants les uns que les autres. En nous voyant, ils se sont levés avec un sourire.« Vous êtes les plus belles femmes que j'aie jamais vues ! Et ça inclut Tess et Sandrine aussi », a déclaré Ange en nous saluant par une bise sur la joue.Nous nous sommes assises et avons commandé. Lévy et ses amis se sont révélés des compagnons très agréables. Alors que nous riions aux blagues de Léonard, Lévy a effleuré ma main avant de se pencher vers mon oreille, un sourire irrésistible aux lèvres, pour murmurer : « Ne te retourne pas, ma belle, mais ces imbéciles qui vous embêtaient tout à l'heure viennent d'entrer. » Ange a également remarqué l'arrivée d'Alexandre, Pascal et Henry. Il s'est rapproché de Melissa, comme Luc l'avait fait avec Virginie. Puis Lévy a lancé, d'une voix charmeuse : « Mesdames, quand nous ferez-vous

« Je me demande, Melissa, comment as-tu réussi à convaincre Fred de nous laisser sortir ce soir ? » ai-je demandé alors que nous nous maquillions dans la salle de bains chez moi.« Oh, c'était simple, je lui ai dit que je sortais avec les filles. » Melissa a répondu comme si c'était une évidence.« Et tu n'as pas par hasard mentionné les garçons ? » ai-je demandé en la regardant dans le miroir.« Ce n'est qu'un détail, Cat. Un tout petit détail ! Je n'ai pas oublié qu'il se comporte comme un frère avec Alexandre, et encore moins cette salope qui s'est jetée sur lui au club social. » Melissa a parlé avec une grande sévérité.« Mel, tu es impossible. » J'ai souri en terminant mon maquillage.« Ce n'est pas si grave, Cat, on va juste s'amuser entre amis. » Une fois prêtes, nous sommes parties. Le taxi nous attendait déjà devant la maison. Nous sommes arrivées au restaurant en même temps que Sandie et Tess.« Waouh ! Ce soir, on va rendre ces gars fous ! On est absolument magnifiques ! »

Le lendemain matin, nous nous sommes réveillés avec l'arôme enivrant du café. Lydia a déjà dressé une magnifique table pour le petit-déjeuner. La veille, nous avions toutes dormi sur des matelas dans le salon, et ces moments entre filles étaient toujours si agréables.Pierre est arrivé en gambadant joyeusement parmi nous, taquinant chacune des filles qui voulaient toutes câliner cet adorable garçon. Une file d'attente s'est formée devant la salle de bains, accompagnée de rires et de bavardages comme si nous étions redevenues des adolescentes, ce qui était hilarant. Après avoir préparé mon fils et moi-même, nous avons rejoint les autres pour le petit-déjeuner.Nous rigolions en évoquant la soirée karaoké quand le téléphone de Virginie, posé sur la table, s'est mis à sonner. Elle a répondu en haut-parleur.« Bonjour petit frère. Bien dormi ? » « Super, ma petite ! » a répondu Lévy d'une voix pleine d'entrain. « Vous êtes toujours chez Catherine ? » « Oui, je suis. Je vais rester ici un

La salle de jeux chez Pascal était tout simplement incroyable, comme si on entrait dans un casino de Las Vegas. Il y avait de tout : des lumières vives, une table de roulette, des tables de cartes, des bornes d'arcade, des machines à sous - un véritable paradis du jeu. Tout était élégant et bien organisé.« Bienvenue dans ma modeste demeure », a dit Pascal en s'inclinant de manière exagérée.« Arrête de frimer, Pascal. Ta maison est tout sauf modeste. Pour quelqu'un qui vit seul, c'est carrément luxueux », a répliqué Sandrine.« J'aime juste recevoir mes amis, Sandie », a-t-il expliqué. « Quoi qu'il en soit, il y a des boissons au bar, servez-vous. J'ai aussi commandé des snacks. Allez, installons-nous pour profiter de la soirée. » « On continue avec le blackjack ? » a proposé Ange, et tout le monde a approuvé.Pascal a préparé les jetons et les cartes, puis a installé la table. Chacun a pris une boisson, et on s'est tous assis pour jouer. La partie a bien commencé, dans une ambiance

Lorsque nous sommes entrés dans son appartement, Alexandre s'est arrêté derrière moi. Il a passé un bras autour de ma taille, a écarté mes cheveux de l'autre main et a posé ses lèvres exactement là où Lévy m'avait embrassée.« Personne d'autre que moi ne peut te toucher ou t'embrasser, Catherine. Personne. Tu es à moi, rien qu'à moi. Tu peux être contrariée, blessée ou en colère, mais tu es mienne. Aujourd'hui, je vais couvrir chaque centimètre de ton corps si tentant de mes baisers pour que tu n'oublies jamais ça, pour effacer toute trace des putains de sensations que cet imbécile de Lévy a pu te donner. » « Et toi, Alexandre ? Es-tu aussi seulement à moi ? » ai-je demandé avec colère. « Ou tu vas continuer à baiser avec n'importe quelle pute qui se pointe quand je suis pas là ? » « Je suis entièrement à toi, mon amour. Je ne me souviens de rien de la soirée chez Maria. Mais ne parlons pas de ça maintenant, parce que là, je vais t'embrasser, te faire l'amour, et rattraper tout le te