All Chapters of Patron Irrésistible : Prisonnière de Ton Charme: Chapter 61 - Chapter 70

(POINT DE VUE D’ALEXANDRE)L’impatience me rongeait. Après le dîner, Melissa m’avait conseillé de multiplier les attentions : petits cadeaux, messages persistants, appels réguliers. Selon elle, Catherine finirait par remarquer mes efforts.Elle m’avait aussi promis de trouver une occasion pour nous réunir, tout en me donnant des astuces pour regagner le cœur de mon amour.J’avais fait livrer un nouvel arrangement de tulipes chez Catherine. Melissa m’avait confié qu’elle adorait ces fleurs et leur symbolique – désormais, un bouquet hebdomadaire serait de rigueur.Chaque matin, j’envoyais un message au réveil, un autre le soir. L’après-midi, des collations arrivaient au bureau pour elle et Melissa. Quand j’avais appris que Catherine s’était liée d’amitié avec une collègue, j’avais ajouté une troisième commande – une alliée supplémentaire.Mes appels quotidiens restaient sans réponse, mais je laissais systématiquement trois messages vocaux : excuses, supplications, déclarations d’amo

En arrivant à l’entrée du bar, nous apercevions déjà Virginie debout près de la porte, enlacée à un grand gaillard musclé qui, à la couleur de ses cheveux, ne pouvait être que son frère.« Waouh ! Vous êtes absolument resplendissantes ! S’il vous plaît, il faut absolument que vous me disiez où vous avez trouvé ces robes », s’exclamait Virginie en nous accueillant.« Oh, il faut absolument venir faire du shopping avec nous, Vi. Ils ont les plus belles choses là-bas », répondait Melissa, et je pouvais déjà imaginer mon compte en banque fondre comme neige au soleil.« Tout le monde, voici mon frère Lévy. Il est associé du bar et nous a réservé une table incroyable. »« Bienvenue au ‘Citron, Tequila et Sel’. C’est vraiment dommage que je ne puisse pas m’asseoir avec vous, mesdames, mais j’adorerais avoir le plaisir de danser avec cette belle dame », déclarait Lévy en portant ma main à ses lèvres.Lévy était un homme très séduisant avec les mêmes yeux expressifs que Virginie. Il nous g

(POINT DE VUE DE PASCAL)Je n’attendais pas qu’on me donne la permission. J’attrapais la main de ma sublime rousse et l’entraînais droit vers ma voiture. Je lui ouvrais la portière, admirant la façon gracieuse dont elle s’installait, sa robe vert foncé remontant légèrement sur ses jambes.Je faisais le tour du véhicule et m’asseyais à ses côtés.« Alors, Belle demoiselle rousse, tu veux vraiment rentrer ? Tu ne préférerais pas admirer le lever du soleil avec moi ? »Elle éclatait de rire et posait une main sur mon épaule.« Écoute-moi bien, Don Juan, puisque tu ne m’as pas laissé le choix, sois un bon chauffeur et raccompagne-moi. »« Oh, ma belle, ne sois pas méchante. »« Oh, pauvre chou ! Tu devras te contenter du soleil tout seul ce matin ! »Elle s’amusait à mes dépens, et cela ne me dérangeait même pas – cette fille était magnifique ! J’étais complètement sous le charme.« Mets ton adresse dans le GPS, ma belle, et choisis l’itinéraire le plus long. Comme ça je profitera

Je ne comptais pas le laisser s’en tirer si facilement. Tu veux jouer ? Voyons si tu peux encaisser. Je me penchais vers lui pour un baiser vorace tout en défaisant sa ceinture et son pantalon, puis m’agenouillais sur le siège. Mon regard se posait sur son impressionnante érection, dure et palpitante. Je passais ma langue sur mes lèvres avant d’engloutir sa magnifique longueur dans ma bouche.Je léchais le bout luisant, suçais juste la tête avant de redescendre lentement vers la base – il était gros, épais et délicieux. Je remontais jusqu’au gland pour l’aspirer à nouveau, entendant Alexandre gémir quand je descendais sur toute sa longueur, savourant chaque centimètre. Je l’engloutissais jusqu’à ce qu’il heurte le fond de ma gorge, suçant avec avidité cette délicieuse chair.Alexandre gémissait de plaisir sous mon contrôle. J’allais et venais tout en massant ses lourdes boules d’une main et en caressant son membre de l’autre, ma bouche travaillant sans relâche.Il était fou de plais

En quittant l’appartement d’Alexandre, je sautais dans un taxi en direction de chez moi. Cette nuit avait été incroyable, et retrouver ses bras était merveilleux. Toutefois, ma blessure était, hélas, trop profonde. J’avais laissé un mot – cette ultime nuit était mon adieu à notre amour. Maintenant, c’était vraiment terminé.Je pleurais durant tout le trajet, au point que le chauffeur me proposait plusieurs fois son aide, me jetant des regards inquiets dans le rétroviseur. Depuis le taxi, j’appelais Melissa pour qu’elle rassemble les filles. J’avais besoin de soutien, et même si je connaissais les autres depuis peu, une vraie complicité s’était installée entre nous.À mon arrivée, Pierre avait déjà déjeuné et regardait des dessins animés avec Lydia. Après une douche rapide, je m’installais un moment avec mon fils. Lydia, remarquant mon état, m’encourageait à sortir prendre l’air. Nous avions tout organisé pour le week-end – Mel prédisait que nous rentrerions ivres et la gueule de bo