Semua Bab Le retour de l’ex femme du milliardaire : Bab 311 - Bab 320

Phil était abasourdi en regardant Séverine. Il avait du mal à croire que Séverine puisse avoir une réaction aussi importante. Il s’est expliqué rapidement : — Je... je ne veux rien dire d’autre, j’ai juste peur que tu ne sois pas heureuse si tu es avec lui... — Alors, penses-tu vraiment que le bonheur peut être atteint en utilisant l’argent ? Séverine l'a coupé d’une réplique vive et spirituelle. Phil s’est indigné : — C’est M. Couturier, ici présent, qui m’a dit que sans un emploi stable, je ne pourrai pas t’amener à une bonne vie. C’est la raison pour laquelle je le questionnais à ce sujet. Il ne s’est plus adressé familièrement à Lucas.Il a sans doute eu l’impression que Lucas lui avait enlevé sa chance. Si Lucas n’était jamais apparu, il aurait eu une chance. Séverine a regardé Lucas sans mot dire mais son expression indique qu’elle essayait de valider ce que Phil venait d’affirmer.Lucas a toussé légèrement en admettant la vérité, car il n’était pas quelqu’un qui

Séverine s’est arrêtée un instant, comme si elle ne s’attendait pas à ce qu’un enfant pose une telle question. Elle a tendu la main pour toucher sa tête, disant : — Tu es encore jeune, comment se fait-il que tu sois si mentalement mature... Avant qu’elle n’ait pu terminer ses mots, Killian a attrapé sa main et l’a serrée fermement dans la sienne, regardant vers Lucas : — Vous voulez dire que vous êtes amoureux de Mlle Boffrand ? Lucas a répondu gracieusement face à l’interrogation de ces enfants, — Oui. Killian s’est dit : — C’est sûr, pas étonnant que Mlle Boffrand pleure dans ses bras. Craignant que Lucas ne traite pas bien Séverine à l’avenir, il a demandé : — Traiterez-vous bien Mlle Boffrand ? Séverine a regardé Killian : — Killian... — Mlle Boffrand, vous n’avez pas de famille, mais nous sommes votre fami

Séverine a cessé à poser des questions et a fait un léger sourire. Ils sont sortis aujourd’hui, alors il y avait beaucoup de nourriture. Un ami de Lucas est venu aujourd’hui, et Séverine allait cuisiner d’autres plats pour servir Norbert. Lucas vivait seul, et il ne savait pas cuisiner. La plupart du temps, il mangeait des nouilles instantanées. Maintenant, il ne pouvait l’aider qu’en lavant les légumes et le reste devait être fait par elle-même. Dehors, il faisait chaud et Norbert n’est pas allé trop loin. Il a juste flâné dans les environs et s’est arrêté devant l’école. Les enfants ici étaient tous très simples et naïfs. En pensant au fait que lui et Sylvia ne pourraient pas avoir d’enfants à l’avenir, il s’est senti très déprimé. Ils le regretteront toute leur vie. Il a été dit que les enfants étaient le fruit de l’amour de leurs parents. Sans enfants, était-ce un signe qu’ils ne pouvaient que s’aimer, mais n’auraient pas de fruits de l

— Oui, c’est vrai. Je ne crois pas non plus aux vies antérieures. Carine a souri. — Mme Beaumont . Chloé s’est approchée : — Où avez-vous mis les ingrédients de la dernière soupe ? J’essaie de faire une soupe et je ne les trouve pas, a dit Chloé en se rapprochant. Aurora n’avait pas cuisiné récemment, et n’avait pas fait de soupe. Mais prenant l’allusion de Chloé, elle a rapidement réagi : — Oh, je vais te les montrer. Sur ce, elle s’est levée et a dit à Carine : — Reste assise. Je vais entrer et l’aider à les chercher. Carine a acquiescé, mais au fond d’elle-même, elle éprouvait du mépris pour l’hypocrisie d Aurora . Chloé n’était qu’une employée , et elle la traitait comme une famille. Était-elle en train de montrer sa gentillesse devant elle ? Aurora s’est dirigée vers la cuisine et n’a pas remarqué le regard méprisant de

Etait-elle sur le point d’accoucher ? Julien s’est réveillé instantanément. Il a allumé la lumière à la tête du lit et l’a regardée avec inquiétude : — Tu as mal au ventre ? Aurora a froncé les sourcils et on aurait dit qu’elle souffrait. Julien n’a même pas mis ses chaussons quand il est sorti du lit. Il s’est approché d’elle et a dit : — Je t’emmène à l’hôpital. Il s’est penché et a essayé de la porter. Aurora a attrapé sa main et a secoué la tête : — Non, ce n’est pas mon ventre. Elle ne pouvait pas bouger. Son corps était tendu, c’était parce qu’elle avait une crampe à la jambe. — J’ai une crampe à la jambe, a-t-elle dit douloureusement. Julien a soulevé la couverture et examiné ses jambes à la lumière. Il a remonté son pyjama et a pu voir ses jambes fines et claires sous ses yeux. — Laquelle ? — La droite, elle a froncé les sourcils encor