Todos os capítulos de Ma soumise : Capítulo 41 - Capítulo 50

Sibelle Je vais lui montrer aussi que j'ai quelque chose qu'il convoite : Ma jeunesse , ma douceur et surtout mon cran . Toi aussi tu traineras à mes pieds .Après m'être retrouvée nue , je ne prends plus la peine de me cacher . Au contraireje m'avance vers lui , lentement , avec cette poitrine qui bouge à chaque pas , je monte lentement sur le lit , la position que je prends lui donne une bonne vision de mes deux seins collés l'un à l'autre . Me voyant ainsi , prenant tout mon temps pour avancer vers lui lentement , il se lèche les lèvres qui deviennent soudainement sèches . Arrivée à son niveau , je soulève le drap pour me glisser à l'intérieur .Il se glisse derrière moi et me sert dans ses bras , je sens sa longue queue entre mes fesses . Je me laisse emporter dans les bras deMorphée . Je me réveille ce matin , avec les courbatures de la nuit d'avant hier . Je n'ai plus mal aujourd'hui qu'hier . J'étouffe un gémissement quand je me redresse . L'aigle vient de sortir de la do

Sibelle Je préfère ne rien dire à Andrea , pour ne pas qu'elle essaie de m'en dissuader . Je prends ma douche et je me repose un peu . Deux heures après , je descends prendre mon dîner . Je tombe sur Jenifer et L'aigle dans le premier salon avant d'atteindre la salle à manger , je me fige devant le spectacle que je vois .Ce monsieur est vraiment insatiable : Jenifer est en train de lui faire une pipe . Elle est à genoux alors que lui est assis dans le divan le regarde fiévreux . Son regard croise le mien et je me dépêche pour les laisser seuls . Je m'assois à ma place habituelle et je commence à manger sans les attendre . Ils me rejoignent vingt minutes plus tard . Jenifer avec sa coiffure mélangée , son rouge à lèvres abîmé , s'assoit à sa place et commence à manger . L'aigle s'adresse à moi : - Tu aurais pu nous attendre ! Qu'est ce qui est si urgent ? - Rien j'avais faim , je ne pouvais attendre . Je mange rapidement et décide de sortir de table . - Attends-moi , nous allo

Sibelle- C'est une longue histoire , veux-tu m'héberger pour quelques jours , c'est vraiment urgent ! - Oui , tu viens quand ? - Aujourd'hui , tu seras à la maison ? - Actuellement je suis au cours , tu as oublié ton emploi du temps ? Nous avons des cours ce matin . Mais , je vais sécher pour toi , tu peux encore reconnaître le chemin de la maison ? - Oui , on se retrouve là-bas dans deux heures ? - Très bien , si tu arrives la clé est cachée en dessous des pots de fleurs . - D'accord , merci , à toute à l'heure . - Tchao bébé . Je raccroche et je reviens sur mes pas , le plus dur reste à venir : convaincre cette tête de nœud de m'accompagner .Dès que j'entre dans la boutique , je fais quelques pas , je tombe sur le premier garde du corps , celui-là est comme un pot de colle . Il me suit partout . - Où étiez-vous , mademoiselle , monsieur vient d'appeler , il n'arrive pas à vous joindre . - Mon portable est resté dans le salon d'essayage . Je vais le rappeler . - Bien mad

Sibelle - Je suis sûr qu'elle veut jouer au cache-cache . Va au salon nous allons te rejoindre tout de suite .Elle se retourne pour nous laisser seuls dans la chambre avec lui , il lui parle si gentiment ! Si elle savait à qui elle avait affaire , elle allait prendre ses jambes à son cou . - Sibelle , si tu ne sors pas de ta cachette je jure de tuer ta copine . Je ne le laisse pas dire plus que je sors rapidement . rejoint par Andréa , qui à la tête baissée . Moi je prends mon courage a deux mains et je soulève mon regard vers lui , il a un sourire qui me donne froid au dos , j'imagine ce qui m'attend . - Alors ma chérie , quelle bonne surprise ! C'est ici que vous faites les courses maintenant ? Pourquoi ne pas m'avoir dit que tu voulais rendre visite à ta copine , je n'aurais pas refusé ! Vient m'embrasser tu m'as beaucoup manqué ! Je suis en état d'alerte , je suis sûr qu'il sait qu'on essayait de s'enfuir , mais , il fait comme s'il ne savait pas . Je m'avance prudemment ver

Sibelle- Je maudit le jour où je t'ai rencontré . Tu es un être méprisant et détestable . Je te déteste de tout cœur . - As-tu fini ? - Non , je ne fais que commencer , tu devras tôt ou tard me laisser partir , tu ne peux pas me retenir ici contre mon gré . - Amenez-la dans la cellule n. 4 , tu vas rester là-bas pour quelques jours , et tu réfléchiras aux conséquences de tes actes et à tous ces personnes qui sont morts par ta faute . Amenez-la . J'arrête de me débattre . Car ça ne sert à rien . Il fera ce qu'il veut de moi . Et je ne peux rien faire pour l'en empêcher . C'est quelle vie de merde ça ? - Ce n'est pas moi qui est appuyé sur la gâchette , c'est toi qui les as tué , ce n'est pas moi . Tu aurais pu leur laisser la vie sauve . Mais tu t'y es refusé . C'est toujours lui , il ne pense qu'à lui . S'est-il posé la question de savoir pourquoi j'ai préféré partir ? Non , tout ce qui lui importe c'est de me punir pour que je retienne la leçon. Il m'énerve , il m'insupporte