Semua Bab Ma soumise : Bab 11 - Bab 20

Sibellenous sommes arrivés à la maison,et je me sentais comme une princesse, de contes de fées, mais emprisonnée. La voiture s' immobilise dans le Grand parking du château.un garde vient m'ouvrir la portière, je descends, rejoins par Carlos, il me prend par la main, nous nous dirigeons vers le grand salon .- je peux aller voir mon amie, maintenant- Demande à Lucia ( la gouvernante) appelez-moi Lucia.Elle court pour venir- Lucia, tu connais déjà Sibelle, témoignez-lui même le respect que vous me devez .- Bien monsieur- Conduisez-la à son amie- d'accord monsieur, Suivez-moi madame.Je la suivie dans à travers un couloir, nous arrivons devant un bureau qu'elle ouvre me laissant passer, je vois Andréa, concentrée sur un document.- Bonjour ma chérieJe vais la prendre dans mes bras. Elle est heureuse de me voir, elle se jette dans mes bras.- Mais où étais-tu depuis tout ce temps ?- Tu ne devineras jamais, ce qui m'est arrivé,- Qu'est ce qui c'est passé ?Je lui raconte tout ce

SibelleJe monte me reposer. Salaud , oui je veux bien que tu te répètes, il se prend pour qui ? mon père ? monte te reposerIl pense que j'ai cinq ans ? inhumain.Tu ne perds rien pour attendre, tu penses avoir le contrôle, tu passes ton temps à terroriser tout le monde, et tu appelles ça le pouvoir, quel pouvoir ? es-tu heureux ainsi ? Ce n'est pas une vie ça, où tout le monde te déteste, tu vis enfermé, gardé comme un prisonnier, ce n'est pas le bonheur ça.Je veux lui jeter ces paroles à la figure mais c'est impossible, ce serait un suicide, je préfère garder tout ça pour moi , si je tiens à ma vie, je dois garder ça dans ma gorge.Je me couche directement, en fait je suis fatiguée, je m'endors à la minute où ma tête touche le matelas.Je suis réveillée par un mouvement, je ne sais pas, j'ai l'impression que, je suis pas seule dans ma chambre, je regarde autour de moi, et je le vois assit dans un fauteuil à mon chevet , je me redresse et attends qu'il parle.- Tu as mis du temps à

SibelleTu dois savoir ce que ton homme veut , tu dois savoir ce qui le fait grimper au rideau . Car que tu le veuilles ou pas, tu es à lui maintenant, alors il faut que ton séjour ici soit doux, merveilleux, incomparable. Pour que cela soit possible, tu dois y mettre du sien. Tu dois faire un effort pour apprécier ton homme et par la même occasion ta vie ici. Car si tu dois être heureuse ici , ça va passer automatiquement par lui.Il peut te rendre heureuse ou malheureuse . À toi de faire en qu'il t'accorde tout ce que tu veux . Et pour que ce soit possible, tu dois coucher avec lui, tu dois aimer coucher avec lui, tu dois faire en sorte que, quant il couchera avec toi, qu'il ne puisse plus être attiré par une autre femme .Tu comprends maintenant ce que je veux dire ?- Oui je comprends maintenant maman .Tu veux dire que je dois être une bonne pute.- Effectivement c'est ce que je veux que tu sois, une bonne pute, pour ton bien et notre bien à tous . Avant son retour je vais te con

SibelleJe Sens un chatouillement, le Long de mon dos , qu'est-ce qui peut bien me déranger dans mon Sommeil, je change de position, et main c'est le long de ma cuisse, quelque chose remonte le long de ma cuisse, je prends ma main pour enlever l'intrus, et ca recommence , ça monte maintenant à l'intérieur de ma cuisse, je me lève en sursaut pour regarder ce que c'est.- Tu as mis du temps à te réveiller,me l'aigle.Je le regarde avec les yeux endormie- Il est quelle heure ?- six heures- Pourquoi me réveiller si tôt j'ai encore sommeil, moi .- Ta journée est chargée, et moi je dois aller faire du sport, de barbouille rapidement on va faire du sport .- Je n'ai pas envie de faire du sport.- Sauf que je n'ai pas demandé ton avis, alors dépêche toi, je t'attends ici, pour qu'on y aille. Après le sport il sera huit heures, nous irons te faire un bilan de santé, après cela ce sera le tatouage, après le passeport .Tu vois on a une longue journée.Je me lève pour aller me brosser puis me

SibelleD'accord monsieur.Je continue d'avancer, je sens son regard pervers sur mon postérieur. On arrive dans son bureau, il s'assoit dans son fauteuil, et ouvre ses tiroirs pour sortir ses dossiers, qu'il lit un peu avant de les mettre dans son classeur.- C'est quand je peux appeler ma famille ?- Demain .- pourquoi pas aujourd'hui ? Ça fait des jours que je n'ai pas parlé à ma famille.- J'ai dit demain, je n'aime pas être contredire.- Bien monsieur.Qu'est ce que je peux dire de plus ? Rien !Pour ne pas le mettre en colère , je préfère me taire .Après avoir récupéré ses documents nous quittons le bureau . Je suis toujours devant lui marchant, bougeant les fesses, je me retourne pour voir sa réaction, ses yeux sont scotchés sur mon postérieur, je souris, comment les hommes peuvent-ils aimer autant regarder les fesses des femmes ?Nous montons dans le véhicule, dès qu'on est assis :- Viens t'asseoir sur moi.C'est quoi ça encore ? Il me fait asseoir en califourchon sur lui, j