Semua Bab Pris au piège, accro à elle: Bab 161 - Bab 170

La femme a continué : « Si j’avais su plus tôt que Julien était ce genre d’homme, je n’aurais pas attendu sagement toutes ces années. Et maintenant, regarde, je suis trop vieille, et lui, il s’est trouvé une gamine. Où est-ce que je me situe, moi, là-dedans ? Tout le monde se moque de moi ! »L’homme a répondu : « Les femmes ont plus de chances de trouver quelqu’un que les hommes. T’es jolie, tu gagnes bien ta vie, tu n’auras aucun mal. »« Tu dis ça pour me consoler. Un homme de trente ans, c’est une fleur en pleine éclosion, mais une femme de trente ans, c’est une feuille fanée ! »Les voix à l’intérieur se sont tues. Lina est restée figée devant la porte, profondément choquée.Soudain, la porte s’est ouverte. Réa, en apercevant Lina, a froncé les sourcils.« Qu’est-ce que tu fais là ? »Lina, les lunettes de soleil, a regardé la femme médecin en blouse blanche sans dire un mot. Elle a pincé les lèvres, puis a tourné les talons et s’est éloignée.Léon, remarquant quelqu’un à la

Manon a secoué la tête et a souri.« Pas du tout. Aménager sa propre maison, comment ça pourrait être fatigant ? »Elle a ajouté, pleine de fierté :« Avec le lave-vaisselle, fini la corvée des mains dans l’eau ! J’ai acheté un four pour faire des gâteaux et des biscuits, un stérilisateur, une machine à café, un robot pâtissier… Ce sont des indispensables pour la vie quotidienne, ça rend tout plus agréable ! »En parlant, Manon a glissé une assiette dans les mains de Julien pour qu’il la porte à table, puis elle est allée servir le riz.Pendant que Julien mangeait, Manon a pris sa valise, l’a portée dans la chambre et a soigneusement rangé ses vêtements dans l’armoire. Puis elle s’est installée sur le canapé et a regardé la télévision en attendant qu’il finisse.Quand il a terminé, elle s’est levée pour débarrasser, mais Julien l’a arrêtée.« Je m’en occupe. »Manon a insisté :« On peut utiliser le lave-vaisselle. »Elle a jeté les assiettes et les casseroles dans la machine. Ces

Manon savait que Julien était talentueux, mais entendre ces mots de la bouche d’une proche d’un patient l’a emplie de fierté.Julien était son mari.Et c’était vraiment un homme exceptionnel.En sachant que le fils de la dame n’avait que cinq ans, Manon a sorti de son sac des cookies qu’elle avait faits elle-même et les a tendus à la dame.La dame les a acceptés avec un sourire radieux. Quand la porte du bloc opératoire s’est rouverte, elle s’est tournée, l’air un peu tendu.Une infirmière a appelé : « Les proches de Luc Boisson sont là ? »« Oui, oui, c’est moi ! » La dame a aussitôt pris ses affaires et a couru vers la porte.L’infirmière a annoncé :« L’opération s’est bien passée. Il va rester en soins intensifs pour deux jours d’observation. S’il n’y a pas de complications, il pourra être transféré en chambre normale. »La dame a hoché la tête, émue.« D’accord, merci. Merci beaucoup, merci au docteur Bernard ! »Avant de suivre l’infirmière vers l’ascenseur, elle s’est tou

Seule la poitrine révélait un peu de peau, mais rien de provocant. De nos jours, les jeunes filles portaient ce genre de tenues. Les marques concevaient ainsi pour suivre les goûts de leur clientèle.Mais Julien n’aimait pas, Manon n’a pas eu d’autre choix que de l’écouter. Elle a enfilé une petite robe blanche, également choisie par Julien, dans un style mignon et frais.Elle a compris quel genre de fille plaisait à Julien.…Inès Bernard, la grand-mère de Julien, ne vivait pas avec ses parents. Elle habitait un peu loin du centre-ville, près de la banlieue, là où l’air était plus pur, idéal pour sa santé.Julien a garé la voiture, et Manon a jeté un coup d’œil à l’heure : il a déjà été passé de 19 heures.Elle a tendu le gâteau et les cookies à Julien, puis elle l’a suivi rapidement vers l’entrée.Le salon était baigné de lumière.À leur entrée, Manon a vu Inès installée sur le canapé, entourée de plusieurs personnes, dont les parents de Julien.Mia s’est levée, rayonnante, e

« Pour défendre la famille de Rolland, tu nous chasses ! » s’est exclamé Yanis, furieux.Mia a tenté de calmer le jeu, mais son mari a continué :« Maman, Julien a aussi sa part de torts dans cette histoire… »Mia a pincé son mari et lui a lancé un regard pour le faire taire.Yanis a explosé : « Très bien, vous êtes une famille, Denis et moi, on est de trop ! Rolland, Julien, on verra combien de temps vous jouerez les fiers ! »Il a appelé son fils : « Denis, on s’en va ! »Denis, à contrecœur, a suivi son père.Inès a regardé son aîné partir, a soupiré, puis s’est tournée vers Manon avec un sourire bienveillant.« Manon, tu dois avoir faim. Je vais demander à la cuisine de servir le dîner, allons au salon ! »Inès s’est levée, et Mia s’est empressée de la soutenir par le bras.Manon les a suivies.Rolland a interpellé son fils :« Julien, viens avec moi ! »Julien a suivi son père à l’étage.Manon, inquiète, les a regardés s’éloigner.Mia, souriante, l’a rassurée :« Manon, ne t