Semua Bab l’Alpha et l’immaculée 2 : Bab 41 - Bab 45

Au même moment Nate venait de pénétrer dans son clan , rien avait vraiment changé . Après le départ puis la mort de son frère il ne voyait plus l'importance de rester . Ça faisait bien longtemps qu'il n'avait pas vu ses parents fervant croyant de l'évangile . C'était un petit clan , ici tout le monde se connaissait . Et se retrouvait dimanche à l'eglise . En parlant de l'église la voiture venait de passer devant , il allait descendre chez celle qui ne l'a jamais rejetté . Il enclancha la sonnerie , Il pouvait entendre ses pats se rapprocher . _ Mamie Dit il en se jetant dans ses bras , elle l'accueilli affectueusement . _ mon petit , ça fait si longtemps vient entre Elle se poussa tout en l'incitant à rentré . Il sentit tout de suite son odeur en rentrant celui du prêtre de l'église Robert Tate . _ Ho c'est vrai , le prêtre est passé pour qu'on prit . C'est vrai qu'il te connais depuis tout petit . Le prêtre se précipita dans ses bras , Nate laissa tomb

_ J'ai reçu un appel de l'orphelinat .Dit Charlie les yeux pétillants _ lequel demanda t 'elle car ils avaient fait une demande dans deux orphelinat. _ Celui des werewolfs , il aurait une petite fille qu'on pourrait adopter . _ Qu'elle âge à t 'elle Demanda Sam , étant donné que Charlie connaissait ses critères. Elle voulait adopter un bébé , qu'elle élèvera , qui grandira avec leur valeurs . qui l'appelera maman sans douter qu'elle ne l'était pas vraiment . _ C'est le seule soucis , elle à 9 ou 10 ans je crois . Elle se détacha vigoureusement de Charlie . _ C'est non , elle est trop grande . Je ne veux pas qu'elle nous réclame ses parents . Connais tu son histoire ? Charlie ne s'attendait pas à cette réaction . _ Heuuu.. j'étais si heureux, que je n'ai pas posé plus de questions . J'y es pris un rendez vous . Après la réunion du conseil on ira la voir à l'orphelinat . _ parceque tu as déjà prit rendez vous sans me consulter , tu savais très bien que je

— Parce qu’ils ont bu, elle et ses frères, du sang humain. Charlotte ne montra aucune surprise. Elle savait que c’était possible, même si cela n’existait qu’en théorie jusqu’à aujourd’hui. — Mais il faut des analyses poussées pour trouver le sang idéal et un médecin de génie pour connaître les bonnes doses, fit remarquer Charlotte, perplexe. — Oui, j’ai eu l’aide d’un médecin, répondit simplement Laurie. — Cela explique déjà l’odeur des enfants. Mais ont-ils terminé le traitement ? demanda Charlotte, l’air préoccupé. Laurie fronça les sourcils. Elle se souvenait vaguement d’une discussion entre elle et le médecin des enfants. — Depuis qu’ils ont atteint l’âge de huit ans, combien de fois ont-ils bu du sang humain ? insista Charlotte. — Une seule fois. Je leur fais croire que c’est du jus de grenadine, répondit Laurie, presque en s’excusant. Comme si le fait qu’ils l’ignorent changeait quoi que ce soit à la réalité. — Je suis certaine qu’ils prennent la même dose exacte, à l