Semua Bab Féconde-moi. Papa Alpha: Bab 1 - Bab 10

~Lyra~Je n'ai jamais eu l'intention de coucher avec le père Alpha de ma meilleure amie. Mais je serais une menteuse si je prétendais ne pas en avoir rêvé.Y avoir pensé.Goûté cette imagination derrière mes paupières closes, avec les jambes écartées, et les doigts ruisselants entre mes cuisses.Oui. Je sais ce que ça signifie.Je ne regrette rien.Parce que chaque fille a son premier fantasme.Le mien s'est juste trouvé être un homme capable de tuer à mains nues, de commander une armée de loups, et de faire trembler mes cuisses rien qu'en entrant dans une pièce.Damon Vitrozon.Alpha. Milliardaire. Bête sous peau humaine.Et l'homme qui m'a fait jouir pour la première fois sans même me toucher.Je me caressais au rythme de ses pas.Au grondement profond de sa voix.À la façon dont il disait mon prénom... Lyra... comme s'il le possédait. Comme s'il me possédait.Et peut-être que c'était le cas.J'étais plus jeune la première fois que j'ai joui en pensant à lui. Je ne me

La piscine était déjà bondée quand je suis sortie.Des filles s'étalaient sur les chaises longues dans des maillots minuscules. Des garçons plongeaient des rochers. Les rires résonnaient sous le soleil comme une fête de plaisirs interdits. L'air embaumait l'huile de coco, le chlore et l'insouciance juvénile.Mais quand je suis apparue dans mon maillot rouge une-pièce ?Tout a basculé.Les regards se sont attardés.Les chuchotements ont commencé.Le désir s'est épanoui.Parce que le maillot était divin.Moulé à ma peau. Échancré aux hanches. Plongeant entre les seins. Si fin qu'une fois mouillé, il deviendrait presque transparent.Et c'était ce que je voulais.Je voulais qu'ils regardent.Je voulais qu'il le sente.Tasha m'a rejointe au bord de la piscine, avec sa poitrine bondissante dans un bikini vert citron qui peinait à la contenir. Ses seins pointaient comme des diamants sous le tissu fin, et elle s'en moquait éperdument.« Par tous les saints », s'est-elle écriée en

~Lyra~Je me suis défoncée.Avec le poing enfoncé.La paume claquait, trempée, contre mon intimité.Le jus dégoulinant sur mes cuisses.Et puis...La porte a grincé.Encore.Lent.Plus fort, cette fois.L'air a changé.Je l'ai senti dans l'échine.Dans ma chatte.Il était là.Il regardait.Je n'ai pas arrêté.J'ai écarté davantage les jambes et cambré le dos.J'ai laissé ma fente s'ouvrir sous la vapeur... humide, gonflée, luisante comme déjà martyrisée.Mes doigts sont restés exactement où j'avais besoin, frottant des cercles sur mon bout, plus vite maintenant. Ma chatte était plus glissante. Chaque caresse faisait bondir mes hanches. Chaque souffle devenait un gémissement.« Tu le vois, Papa ? », ai-je sangloté.Ma voix a craqué. Ma tête s'est penchée. Ma bouche s'est ouverte tandis que je frottais, plus vite, plus dur, comme si je voulais frotter la brûlure hors de mon âme.« Je coule pour toi... »Ma main libre a glissé plus bas et s'est faufilée entre mes fes

~Lyra~Je n'ai pas parlé au petit-déjeuner.Je n'ai rien mangé non plus.Je suis restée assise là, comme un spectre dans une robe de soie qui collait trop à ma peau brûlante, essayant de ne pas respirer trop fort ni de trop bouger. Je tendais de me convaincre que le thé dans ma main était chaud, que mon corps n'était pas en feu à cause des souvenirs, du désir, de lui.Mais ce n'était que mensonge. Tout n'était que mensonge. Parce que mes cuisses étaient déjà moites. Mon intimité palpitait déjà. Et chaque souffle qui emplissait mes poumons était imprégné de son odeur.De l'autre côté de la table, Tasha faisait ce qu'elle savait faire le mieux... bavardant sans cesse comme si sa bouche n'était jamais fermée.Elle a rejeté ses cheveux en arrière, faisant défiler son téléphone comme si chaque glissement jetait un sort.« Alors. Je pensais à la maison du lac pour mon anniversaire. Quelque chose de raffiné. Digne de Luna, tu vois ? Mais aussi provocant. Les déesses mais version sexy.

~Lyra~Je n'ai même pas atteint le lit.J'ai à peine eu le temps de refermer la porte.Je suis entrée en titubant, comme si mes jambes n'étaient plus les miennes, comme si je n'étais plus humaine, juste une créature trempée, malade, habitée par l'odeur de lui. Damon. L'Alpha. Sa sueur. Sa peau. Sa verge.Mon dos a heurté la porte avec un bruit sourd.Je suis restée là. Tremblante. Je respirais comme si j'avais couru des kilomètres pieds nus dans la neige. Mes mains tremblaient. Ma chatte battait. Ma culotte collait à moi comme une soie trempée, imprégnée jusqu'à la dernière fibre, s'accrochant aux lèvres comme pour garder la chaleur enfermée.Mais c'était inutile.Je coulais.Si détrempée que c'était obscène.J'ai glissé le peignoir hors de ma peau en un seul geste lent. Mes seins étaient durs, pointés comme des pierres précieuses, effleurant l'air et mes cheveux. Chaque mouvement me faisait gémir.L'air frais a effleuré ma poitrine.Mais ma peau brûlait.J'étais le feu. La