Lahat ng Kabanata ng Maître François, Claire dit qu'elle ne reviendra pas: Kabanata 141 - Kabanata 150

« Viens au cabinet d'avocats, on en parlera en face à face. »Claire a froncé les sourcils. « François, tu n'es quand même pas encore en train de penser à ces trois conditions, si ? »François est resté silencieux.Elle a compris aussitôt qu'il acquiesçait.Claire a eu un rire froid, presque incrédule. « Tu n'as donc pas peur que je perde patience et qu'on en vienne à un vrai bras de fer ? »« Et comment comptes-tu t'y prendre, pour ce bras de fer ? » La voix de François était glaciale. « Comme la dernière fois, en balançant des infos sous un faux compte ? Claire, tu as déjà essayé. As-tu réussi ? »Les lèvres pincées, Claire a senti sa main se crisper autour du téléphone.« Tu comptes aller faire un scandale pendant le mariage, ensuite ? »Elle est restée un instant interdite.« Pas mal, l'idée. » Un léger rire s'est échappé de François. « Mais crois-tu vraiment que je resterai sans défense ? Si j'ai osé annoncer mes fiançailles avant même de signer le divorce, c'est bien la

Elle serait la plus grande bénéficiaire ? Claire n'arrivait pas à y croire.Elle a saisi l'accord, a tourné une page, puis une autre. Son visage se fermait un peu plus à chaque ligne. Que voulait dire François ? Comment pouvait-il, sans hésiter, décider de partager la moitié de ses biens personnels avec elle ? Et, plus incroyable encore, inclure même son propre atelier…« Il y a deux ans, tu voulais créer ton studio. J'ai attendu que tu viennes m'en parler, mais tu as préféré demander un prêt à la banque plutôt que de t'adresser à moi. ». Ses yeux noirs, profonds comme un puits sans fond, ne la quittaient pas.Claire a senti un nœud lui serrer la poitrine. Elle a replongé dans le contrat, le cœur en désordre.« L'immeuble où se trouve ton studio est déjà enregistré à mon nom. Après le divorce, il passera automatiquement au tien. L'emplacement est idéal : en dehors de l'étage que tu occupes, les autres niveaux et les boutiques du rez-de-chaussée rapportent chaque année un loyer aux

Élodie a quitté la salle d'opération lorsqu'il était déjà plus de dix-sept heures. L'intervention avait été particulièrement complexe, au point que le directeur Martin avait insisté pour qu'elle reste du début à la fin afin d'en observer chaque étape. Heureusement, la mère et l'enfant étaient sortis d'affaire.À peine s'était-elle assise dans son bureau qu'on a frappé à la porte. « Entrez », a-t-elle dit simplement.La porte s'est ouverte et Christophe est apparu. En le voyant, Élodie a eu un léger sursaut et s'est levée aussitôt. « M. Lemoine, qu'est-ce qui vous amène ? »Il a avancé tranquillement et a refermé la porte derrière lui. Un peu raide, Élodie lui a désigné une chaise. « Je vous en prie, asseyez-vous. »Il l'a regardée, un sourire au fond de ses yeux couleur noisette. « Inutile d'être si formelle. Je viens simplement t'informer qu'au début du mois prochain l'hôpital organise une mission médicale dans un village isolé. Tu serais prête à y participer ? »« Une mission

« Au téléphone, c'est pareil », a répondu Claire d'un ton glacé. Elle n'avait vraiment aucune envie de revoir François.Mais François s'est montré catégorique : « Ce soir j'ai bu, je ne sors pas. Viens à la Résidence Montaigne. »En disant ça, la ligne s'est coupée aussitôt.Claire a serré son téléphone, les doigts blanchis par la tension.Élodie s'est inquiétée : « Qu'est-ce qu'il a dit ? »« Il veut que j'aille à la Résidence Montaigne pour parler en face à face. »« Ce type est incroyable ! » Élodie a froncé les sourcils. « Il le fait exprès, pas vrai ? La dernière fois tu as clairement dit que tu ne remettrais jamais les pieds là-bas, et lui, maintenant, il insiste pour que la discussion ait lieu exactement à cet endroit ! Il est pathétique ou quoi ? »Claire a fermé les yeux un instant, essayant de calmer la colère qui montait. La dernière fois qu'elle s'était rendue à la Résidence Montaigne, la dispute avait été violente. Devant François, elle avait promis à Mathieu qu

Il était exactement neuf heures du soir lorsque la voiture est entrée dans l'allée à la Résidence Montaigne. Claire et Élodie sont descendues aussitôt du véhicule et se sont dirigées sans hésiter vers la grande porte.Élodie a levé la main et a appuyé sur la sonnette.La porte s'est ouverte presque aussitôt : c'était Julien. « Mlle Dupont, Mlle Dubois, je vous en prie, entrez. »Une fois à l'intérieur, il s'est adressé à Claire : « Mlle Dupont, M. Foulin vous attend à l'étage, dans le bureau. »Tout était clair : François voulait lui parler seul à seul.« Tu veux que je monte avec toi ? » a demandé Élodie, un peu inquiète à l'idée de la laisser monter seule.« Reste ici, ça ira. » Claire lui a adressé un bref sourire, puis s'est retournée et a pris la direction de l'escalier.Élodie a suivi du regard la silhouette de son amie jusqu'à ce qu'elle disparaisse à l'étage. Ce n'est qu'alors qu'elle a détourné les yeux vers Julien. « Votre M. Foulin… il n'a pas un problème quelque pa