Lahat ng Kabanata ng La Luna Finale De L’Alpha: Kabanata 21 - Kabanata 30

RheaLe mur m'a frappé le dos si fort que j'avais l'impression que mes os se sont fissurés. Mes jambes tremblaient, et mon souffle est sorti dans un haletement aigu. La douleur m'a traversé des blessures sur mon dos - les marques du fouettage sont encore fraîches, brûlant toujours comme le feu. Ma tête tournait de l'impact, mes mains se recourbant en poings juste pour m'empêcher de tomber.Les yeux de Damon étaient froids, durs, comme si je n'étais rien de plus qu'un objet sur son chemin."Votre travail", a-t-il dit, sa voix basse et aiguë, "est de travailler sur moi. Arrête de courir ta bouche et fais ce que je dis."J'ai levé la tête, rencontrant son regard même si chaque muscle de mon corps criait pour que je détourne le regard. “Je suis blessé”, ai-je chuchoté, ma voix tremblante. "Je ne peux pas... Je ne peux rien faire en ce moment."Sa bouche s'est recroquevillée autour de quelque chose de proche d'un sourire, mais il n'y avait aucune gentillesse dedans.“Ta bouche n'est pas bl

J'ai essayé de me pousser du lit, mais au moment où j'ai bougé, une douleur aiguë a traversé mes côtes. J'ai haleté, ma main volant à côté de moi, mon corps se sentant comme s'il avait été piétiné par un toupeau de chevaux sauvages. Chaque muscle a crié de protestation, et des taches noires ont dansé sur les bords de ma vision.Les bandages sur mon dos se sont serrés contre les blessures, ce qui m'a fait mordre la lèvre pour éviter de crier. Tout mon corps était fragile, comme si je pourrais me briser si je bougeais trop vite.Avant que je puisse réessayer, Lucien était à mes côtés, les yeux grands ouverts d'inquiétude. "Hé, hé, détends-toi", a-t-il dit doucement, en appuyant doucement sa main sur mon épaule pour me maintenir. Son toucher était chaleureux et prudent, rien à voir avec les mains rugueuses à qui j'étais habitué. "Tu ne devrais pas bouger. Votre corps est toujours en train de guérir. Juste... allonge-toi, d'accord ?"Je voulais discuter, pour lui dire que j'allais bien, m

J'ai poussé la porte de l'étude ouverte et je suis entré à l'intérieur, les jambes lourdes. Chaque pas a envoyé une douleur aiguë à travers mon corps. C'était comme marcher dans une boue épaisse. Chaque mouvement était une bataille. L'air sentait faiblement le papier et le vernis à bois, mais en dessous, je pouvais sentir le léger parfum médicinal des herbes.Ma poitrine était tendue. Comme si quelqu'un me serrait les poumons. La douleur s'aggravait. Se répandant dans mon corps comme du poison.Le médecin était déjà là, debout près de mon bureau, les mains jointes devant lui. Son visage était sérieux. Préoccupé. Le même regard qu'il portait toujours quand il m'a examiné maintenant. Comme s'il regardait un homme mourant.Peut-être qu'il l'était.Il m'a regardé au moment où je suis entré. « Comment va ta douleur ? » Il a demandé, mais avant que je puisse répondre, ses yeux se sont rétrécis.Je me suis baissé sur la chaise, lentement et raide. Mon corps a protesté contre chaque mouvement

RheaMa paume s'est connectée à son visage parfait avec un son de tonnerre. L'impact a parcouru mon bras. Satisfaisant. Finale.Sa tête s'est cassée. Une marque rouge s'épanouit sur sa joue pâle. Sa bouche s'est ouverte sous le choc, et pour un battement de cœur, aucun de nous n'a bougé. Ses yeux étaient écarquilés. Incrédule.Personne ne l'avait jamais frappée auparavant. Parfaite petite princesse Céline.Eh bien, il y avait une première fois pour tout.Puis j'ai entendu des pas. Lourd. Rapide. Se rapprocher.Damon est apparu au coin de la rue avec Kael à côté de lui. Tous deux avaient l'air sérieux. Préoccupé. Jusqu'à ce qu'ils nous voient.Un timing parfait.Les yeux de Céline se sont illuminés comme si elle venait de recevoir un billet d'or. Comme si Noël était arrivé tôt.Elle a serré sa joue et a haleté, sa voix se brisant en sanglot. De fausses larmes ont jailli à ses yeux. « Elle... elle m'a frappé, Damon ! Je demandais juste pourquoi elle est venue te voir, et elle m'a traité

C'était le plus proche que j'aie jamais été de mendier. Le plus proche que j'aie jamais fait d'admettre que j'avais besoin de quelqu'un.Ses larmes sont tombées plus fort, mais son visage est resté dur. Sans bouger. « Je ne peux pas rester dans la même pièce que toi », a-t-elle dit.Les mots frappent plus fort que la douleur dans ma poitrine. Ils coupent plus profondément que n'importe quelle blessure physique.« Je ne t'aime pas, Damon », a-t-elle poursuivi. Chaque mot était délibéré. Précis. Destiné à faire mal. « En tant que compagnon... en tant que personne... Je ne t'aime pas. Et je ne veux rien avoir à faire avec toi. »L'honnêteté était brutale. Dévastateur. Mais je ne pouvais pas discuter avec ça. Parce que je lui avais donné toutes les raisons de me haïr. Toutes les raisons de vouloir que je sois mort.Le médecin s'est rapproché d'elle. Sa voix était urgente maintenant. Désespéré. « Si vous vous en éloignez maintenant, vous ne le tuerez pas simplement. Vous allez jeter cet en