Marital Relations Manga

“I am sorry, Mr. Thomas, but I am married—" "To an asshole," Thomas interrupted, his voice dripping with disdain. My eyes flashed with anger. "To my husband," I corrected. Thomas raised an eyebrow. "Your husband doesn't know or care that you're crying because he's in there flirting with another woman." My face burned with shame. "He's just socializing," I defended, frustration betraying my words Thomas snorted. "By trying to get into her pants." He smirked, moving closer while I retreated, the space between us shrinking with every step. "I am sorry, Mr. Thomas, but my marital life is none of your business." "Only I can decide that." He said, his smirk twisting into a snarl I opened my mouth to protest, but he cut me off. “Say one more word and I'll have you right here and now" he said, his voice a low, husky growl. His finger traced the curve of my face, my heart racing and I felt my defenses crumbling. In a lightning-fast move, his lips slammed into mine, crushing me with a kiss that was both savage and intoxicating. ****** Two people, different worlds, with just one thing in common - Secrets. What happens when formidable sparks begin to brew and secrets threatens to unravel?

De dix à dix-huit ans, mes parents m'ont fait signer deux cent quatre-vingt-dix-neuf reconnaissances de dette. Chaque somme que je leur ai demandée, j'ai dû l'emprunter et je devais les rembourser une fois que je serais adulte. Puis j'ai eu un accident de voiture. Quand il a fallu payer les frais de chirurgie, il manquait encore trois mille euros sur mon compte. À bout de ressources, je n'ai eu d'autre choix que de supplier mes parents. Mais ils ont juste eu un rire froid : « Manon Besson, tu as déjà dix-huit ans, nous n'avons plus l'obligation de te donner de l'argent ! Tu dois signer une autre reconnaissance de dette ! » Les larmes aux yeux, j'ai signé la trois-centième reconnaissance de dette. Après l'opération, cependant, j'ai vu les photos que ma sœur adoptive avait publiées sur Instagram. Sur les photos, elle fêtait ses dix-huit ans sur un paquebot à l'étranger, entourée de personnes, comme une petite princesse. Mes parents lui ont offert un luxueux appartement dans le centre de Paris et les clés d'une Maserati. Même mon ami d'enfance la regardait avec des yeux pleins d'amour. Elle a écrit : « Merci à ceux que j'aime le plus pour ce bonheur parfait. » Et moi, j'ai baissé les yeux vers la reconnaissance de dette froissée dans ma main et j'ai soudain souri. Après avoir remboursé les dettes, je n'aurais plus besoin d'une telle famille.