Pendant 5 jours, Anaïs et moi nous ne nous étions plus adressé la parole. Ces cinq jours avaient été les plus longs de toute ma vie, je n'arrivais plus à faire un seul geste sans penser à elle, depuis le jour où elle était sortie de chez moi en trombes, je ne lui avais pas fait signe de vie. Certes, je me sentais mal de l'avoir blessé mais, mon égo était plus fort que tout je me disais que j'étais l'homme et en tant que tel je ne pouvais pas me mettre à supplier ma copine juste parce qu'elle fait des petites crises de circonstances. J'étais ferme dans ma décision c'est elle qui devait venir vers moi et pas le contraire.
Je savais que Anaïs était folle de moi et donc, elle ne pouvait pas faire plus de deux jours sans m'écrire ou mieux sans me voir. J'étais donc confiant je savais qu'au bout de deux jours, elle allait se pointer chez moi et tout allait redevenir comme avant. Cependant, au bout du 3ème jours j'ai compris que Anaïs était vraiment en colère et qu'elle ne me ferait pas signe de vie. Dans mon grand orgueil j'ai encore patienté pendant une journée et ce n'est que le lendemain que je me suis décidé à lui envoyer un message via W******p, message au quel elle n'avait pas répondu. Je me suis donc décidé à l'appeler. Elle avait décroché à la deuxième sonnerie :
—Allô ?
—Bonjour mon amour.
—Oui merci bonjour.
—Comment tu vas ?
—Bien merci.
—Tu ne veux pas aussi savoir comment je vais ?
—Humm...
—were mon amour tu me bourde toujours ?
—À ton avis ?
—Pour une petite dispute tu me mets au placard ?
—Toi-même tu m'as mise au placard à ce que je sache !
—Oh ! Mon amour. J'aimerais qu'on se voient. Il faut qu'on parle et aussi tu me manque beaucoup.
—Hum...
—S'il te plaît mon cœur... Je ne supporte pas que tu sois fâché contre moi.
---Bon ...bon d'accord.
—Viens à la maison ?
—Non je n’ai pas envie de sortir de la maison aujourd'hui tu ne pourrais pas venir ?
—Pourquoi ? Qu'est ce qui te coûte de sortir ?
—Et toi qu'est ce qui te coûte de venir chez moi aussi ? Je suis constamment chez toi et je ne m'en plein pas... Tu ne peux donc pas faire des efforts pour moi ?
—Bon d'accord chérie excuse moi j'arrive.
—Tout de suite ?
—Oui pourquoi attendre ? Tu as cours durant la journée ?
—Euh… non.
—Je te dis que j'ai hâte de te voir tu m'as trop manqué !
—Bon d'accord je t'attend.
—Bisou. Je t'aime.
— Je t'aime aussi.
J‘avais raccroché avec le cœur apaisé, ce n'était que maintenant que je me rendais compte a qu'elle point sa voie m'avait manqué. Ah j'étais vraiment fou de cette fille.
Je m'étais préparé en vitesse et j'étais allé chez Anaïs, sur le chemin, je m'étais arrêté pour acheter un pot de yaourt et des sablés.
Lorsque je suis arrivé chez elle, elle était en train de faire la cuisine, elle m'a accueillie avec le sourire, je l'ai immédiatement prise dans mes bras, je l'ai serré contre moi pendant des minutes avant de lui tendre le petit paquet que j'avais prévus pour elle.
Elle avait ensuite terminé sa cuisine et m'avait servi un bon plat, après avoir mangé que j'ai décidé d'aborder ceux pourquoi j'étais venus.
Le blog d’une jeune inconnue—Anaïs dit moi tu es toujours fâchée contre moi ?
—Oui !
—Je n'arrive pas à comprendre explique moi clairement ce que tu me reproche.
—Tu veux arriver au sommet de l'échelle sans passer les premières marches.
—Qu’est-ce que tu veux dire ?
—Pourquoi ne peux-tu pas accepter un petit poste au moins pour ne plus dépendre des autres ? Et pendant ce temps tu pourras postuler en même temps dans d'autres structures.
—Par petit poste tu entends quoi ? Courtier ou Virgile ? Tu veux être la femme d'un Virgile ?
—Je préfère de loin être la femme d'un Virgile aux lieux d'être celle d'un chômeur qui dépend des autres.
—C’est comme ça que tu me vois alors ?
—Là n'est pas la question. La question n'est pas de savoir comment je te voie ou de comment les autres te voient...la question que tu dois te poser c'est " est ce que je suis vraiment un chômeur qui dépend en grande partie des autres ? " et la réponse est "oui".
—Tu sais très bien que je ne suis pas un paresseux.
—Oui je le sais. D'ailleurs tu payes tes études toi-même depuis des années je sais… mais arrête souvent de penser seulement de façon superficielle. Apprends à approfondir ta pensé. Et surtout arrête de te comparer à Henry.
—Hum…
—Au fait j'y pense tu pourrais aller le voir pour demander de l’aide ! Peut-être que grâce à son influence, il pourra t'aider a trouvé un emploi.
—Qui ça ? Moi ? Aller voir Henry pour quémander un emploi tel un mendiant ? Jamais !
—Merde ! Ça devient même quoi ? Florent Tombel pourquoi tu es orgueilleux et égocentrique comme ça ?
—Je ne le suis pas …
—Oh si tu l’es !
Elle avait voulu crier mais je l’ai vue se ressaisir avant de me parler d’une voie douce
—Mon cœur tu sais … je t’aime vraiment beaucoup et je ne voudrais pas que tu fasses certaines erreurs qui pourront te pénaliser plus tard. Il n’y a pas de honte à demander de l’aide à un ami tu le sais n’est-ce pas ?
—Oui…mais Henry a déjà tellement fait pour moi, je ne voudrais pas abuser de sa gentillesse.
—Il t’a dit que c’était le cas ?
—Non mais…
J’ai pris ses mains dans les miennes et j’ai dit :
—Ma chérie je te promets de faire un effort, je vais régler mon problème d’ego.
—Je l’espère vraiment !
Nous avons résolu nos problèmes et tout était revenus dans l’ordre. Une autre année s’était écoulée et ma situation financière n’avançait toujours pas. Un jour, alors que j’étais chez moi, Henry était venus me rendre visite, il m’avait dit :
—Bonjour mon frère.
—Bonjour comment tu vas ?
—Moi ça va et toi ?
—Ah ! je suis là sauf la galère ( la pauvreté) !
—Oui je sais. C’est pour ça que je suis ici. Florent je t’ai déjà proposé plusieurs fois de venir avec ton dossier pour que je vois si on peut t’aider mais toi tu refuses je ne comprends pas pourquoi !
—Tu as déjà tant fait pour moi je ne veux pas exagérer.
#AVEUGLER_PAR_MA_CONVOITISE#Episode_16J’ai vus un homme en blouse blanche se rapprocher de nous, avec une mine décomposer. Je me suis dit « c’est bon ! le bébé est décédé… c’est fini j’ai gagné » il a dit :-la famille d’Anaïs ?-oui c’est moi…je suis sa sœurSa sœur s’était précipiter vers le docteur avant que je ne puisse placer un mot, je l’ai dévisagé avant de répondre-moi je suis son époux !-humm ok…l’accouchement de votre femme se révèle plus difficile que prévus nous allons devoir la transporter au bloc d’opération si non nous risquons de la perdre ainsi que le bébé.-ok docteur faites ce qu’il faudra-eh ! maman a bien dis l’affaire si je n’ai pas
#AVEUGLER_PAR_MA_CONVOITISE#Episode_15Je sais ! vous pensez que c’est cruel de parler de la mort de mon bébé comme s’il ne s’agissait de rien de grave mais que vouliez-vous que je fasse ? l’idée de perdre mon bébé me troublait également mais je ne pouvais pas risquer de perdre ma vie au profit de celle de ma fille ! surtout que Anaïs et moi avons la possibilité dans avoir plusieurs autres.Ce seras difficile oui mais elle s’en remettra c’est une femme très forte elle sauras surmonter la perte d’un enfant. Surtout que je serais à ses côtés pour la soutenir.Ce que je ne savais pas c’était que certaines personnes sont beaucoup plus intelligées que je ne le pensais et ça, j’allais l’apprendre à mes dépends.A la réunion, tous les membres avaient déjà
#AVEUGLER_PAR_MA_CONVOITISE#Episode_14J’ai mis la bague dans ma poche et je suis rentré chez moi décider à la mettre au doigt de ma femme ce soir même.Une fois chez moi, j’ai trouvé Anaïs en train de faire ses valises-Anaïs qu’est-ce que tu fais ?-je prépare la valise pour les vêtements tu bébé… celle avec la quelque j’irais à l’hôpital dans une semaine…-ah ! oui c’est vrai … euh… j’ai… j’ai un cadeau pour toi.-ah oui ?-oui regarde…J’avais sorti la bague de ma poche et je la lui avais montrée, elle avait paru très surprise-mais Florent qu’est-ce que c’est ?-ne vois-tu pas mon amour ? c’est une bague…-mais …oh mon chéri elle est trop belle…
#AVEUGLER_PAR_MA_CONVOITISE#Episode_13Avec beaucoup d’appréhension, j’ai pris l’enveloppe et lorsque je l’ai ouvert, ce que j’ai vue m’as complètement laissé sans voie mon cœur venais de faire un bon dans ma poitrine.-non c’est impossible ! il doit y avoir une autre solution !Je ne pouvais pas le croire car « Johanna » était bien le nom qui figurais sur le bout de papier, comment pouvait-ils vouloir m’enlever l’être que j’aimais le plus au monde ? celle même pour qui je j’étais prêts à tous les sacrifices ! mon premier enfant … je ne l’avais même Pas encore vue mais déjà je l’aimais plus que tout !A partir de ce moment, je n’écoutais plus ce qui était dit au cours de la réunion, j’étais complètent ailleurs, je comptai
#AVEUGLER_PAR_MA_CONVOITISE#Episode_12Lorsqu’il a fini, il s’est éloigner de moi et tous les autres membres se sont mis à applaudir. C’est à ce moment que j’ai compris que c’était fini ! oui mon baptême était terminé j’étais désormais un membre à part entière de l’association. Et j’étais conscient qu’à partir d’aujourd’hui, rien ne seras plus comme avant dans ma vie.3 semaines plus tard, mes revenus avaient pratiquement doublé. Je m’étais offerte une nouvelle voiture. J’avais complétement couverte ma femme de cadeau ! je lui avais acheter un nouveau téléphone de 500 milles francs à Anaïs ainsi que plusieurs autres cadeaux, je l’avais emmené faire du shopping. Elle et moi nous avons déjà décider le prénom de
#AVEUGLER_PAR_MA_CONVOITISE #Episode_11 -oui… mais rien de bien grave il y a certain rituel et incantation et après on décideras de ton premier sacrifice -comment ça mon premier sacrifice ? -oh là là pourquoi tu panique ? ce n’est rien de bien grave le maitre t’expliquera tout lors de la réunion je voulais juste en tant que ton parrain te mettre la puce à l’oreille. -oh ! merci Franck ! -oh mais de rien ! Dès que nous avons fini notre conversation, le grand maitre à convoquer la réunion et nous avons pris place autour d’une immense table ronde. Le grand maitre a ensuite pris la parole : -très chers membres bonsoir je suis heureux de vous avoir tous autour de cette table. Comme vous le savez certainement, la séance d’aujourd’hui est assez particulière Tous les membres avaient hocher la tête en signe d’approbation et le grands maitre a poursuivi son discours : -nous avons vous le savez accueill