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Chapitre 234 : Mes deux morveux 20
Last Updated:
2025-06-11 04:17:54
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Baise-moi Chapitre 238 : Mes deux morveux 24
Louise Je sors de la salle de bain, les cheveux encore humides, la fatigue accrochée à mes épaules comme un poids invisible. La nuit a laissé des traces sur mon corps, sur mon esprit. Chaque pas me rappelle ce qu’il s’est passé, chaque souffle me ramène à leurs mains, leurs lèvres, leurs regards. Mais ce matin, tout est différent. L’appartement est baigné d’une lumière douce, réchauffé par une présence que je ressens avant même de voir quoi que ce soit.L’odeur du café flotte dans l’air, accompagnée d’un parfum sucré et réconfortant. Mon cœur rate un battement. J’avance lentement, comme si j’avais peur de découvrir la scène qui m’attend. Et quand je tourne dans la cuisine, je me fige.Noah est appuyé contre le comptoir, un sourire en coin, un torchon jeté sur l’épaule. Il me regarde, amusé, comme s’il attendait ma réaction. Adrien, lui, est à table, une tasse entre les mains, les yeux posés sur moi avec cette intensité qui me trouble toujours autant.— "Enfin réveillée," lance Noah,
Baise-moi Chapitre 237 : Mes deux morveux 23
Louise Je me réveille lentement, les paupières lourdes, le corps encore engourdi par les souvenirs de la nuit. La lumière du matin filtre à travers les rideaux, douce et pâle, comme si elle hésitait à envahir l’espace. Je tends la main, cherchant instinctivement leur présence, mais le lit est vide. Les draps froissés, encore imprégnés de leur parfum, sont les seuls témoins de ce qui s’est passé. Je me redresse, le cœur serré, et je regarde autour de moi. La chambre est silencieuse, trop silencieuse, et une vague de solitude m’envahit , toute la journée et même la nuit , nous n'avons fait que ba(i)ser comme des bêtes sauvages sans manger , je meurs de faim . Ils sont si sauvages et si.... merde mais qu'est-ce que j'ai fait ? Je repense à chaque instant, chaque toucher, chaque murmure. La nuit a été intense, presque irréelle, comme si nous avions traversé un rêve ensemble. Mais maintenant, dans la froide lumière du jour, tout semble différent. Les promesses chuchotées dans l’obscurité
Baise-moi Chapitre 236 : Mes deux morveux 22
Louise Pendant toute cette journée de passion , je plonge dans l’abîme de nos désirs, une chute libre sans fin, où l’intimité entre nous devient une symphonie silencieuse, un langage que seuls nos corps et nos âmes peuvent comprendre. Chaque regard échangé est une promesse, chaque frôlement une étincelle qui embrase mes sens. Nous sommes liés par une compréhension tacite, profonde, presque primitive : l’amour, l’amitié et le désir ne sont pas des forces opposées, mais des facettes d’une même gemme, brillante et indestructible. Ensemble, ils tissent une toile d’émotions si intenses qu’elles semblent défier le temps lui-même.Nos souffles se mêlent, nos cœurs battent à l’unisson, et dans ce moment, le monde extérieur s’efface. Il n’y a plus que nous, enveloppés dans une bulle où le temps n’a plus de prise. Chaque baiser est une exploration, chaque étreinte une révélation. Leurs mains se cherchent, se perdent, se retrouvent, comme si elles traçaient une carte secrète vers l’essence même
Baise-moi Chapitre 235 : Mes deux morveux 21
LOUISEJe sens le frisson grandissant alors que je révèle ma vulnérabilité, laissant de côté la peur pour embrasser cet inconnu. La lumière du soleil entre dans la pièce caresse notre peau, créant une atmosphère presque surnaturelle. Noah et Adrien s’avancent à chaque pas, éblouissants, séduisants, et je ne veux rien d’autre que de me perdre en eux. Je me sens vivante, un tourbillon d’émotions et de sensations qui résonne en moi comme un chant délicat.Éclairée par l’intensité de leurs regards, je sens mon corps se gonfler de désir. Chaque baiser, chaque caresse me transporte dans une danse synchronisée de plaisir et d’intimité. Je devine les intentions cachées derrière leurs gestes, la tendresse mêlée à l'urgence. Mon corps devient un champ de bataille entre ce que je pense vouloir et ce que je désire ardemment. Quand je sens la chaleur de leurs mains m’envelopper, ce désir se transforme en nécessité. J'aspire à cette connexion, à cette communion des âmes.Alors que les doigts d'Adri
Baise-moi Chapitre 234 : Mes deux morveux 20
LOUISEJe me sens tiraillée entre deux mondes, comme un navire à la dérive, pris dans les flots tumultueux de mes émotions. Noah est là, devant moi, attirant tous mes sens. Sa main se pose sur ma hanche avec une telle intimité possessive qu'un frisson me parcourt. Je lutte pour repousser cette sensation, mais une chaleur sourde, mêlée de peur et d’une autre émotion, sombre et délicieuse, commence à s’immiscer en moi. — Avoue-le, Louise. Tu aimes ça, murmure Noah, capturant mon menton entre ses doigts, plongeant son regard dans le mien comme s’il cherchait à déceler mes pensées les plus profondes. Je veux protester. Je veux crier que ce n'est pas vrai. Mais mes lèvres, pourtant, demeurent closes. Je sens la respiration s’accélérer, une chaleur montante en moi. Chaque seconde qui passe, chaque battement de mon cœur m’entraîne davantage dans un tourbillon imprévu de sensations. ADRIENElle tremble, et pas seulement de peur. J’observe son hésitation, l’expression de son visage, et je
Baise-moi Chapitre 233 : Mes deux morveux 19
LOUISEMon souffle est court. Mon cœur cogne contre ma poitrine. L’eau dégouline encore sur ma peau alors que je serre la serviette contre moi, mes doigts tremblants. Ils sont là. Dans ma chambre. Immobiles. Leurs regards brûlants figés sur moi. L’air semble s’épaissir, devenir irrespirable.— Comment… Comment êtes-vous entrés ?Silence. Aucun d’eux ne répond. Juste cette tension qui s’étire, qui m’enlace et m’étouffe. Noah s’avance le premier. Lentement. Il n’a pas besoin de se presser. Je suis déjà acculée. Mon dos rencontre le mur avant que je ne réalise que je recule.— Tu fuis encore ?Sa voix est basse, vibrante. Mon ventre se tord. Orion ferme la porte derrière moi d’un claquement sec. Je sursaute. Mon regard oscille entre eux, cherchant un échappatoire.— Laissez-moi…Je veux que ma voix soit ferme, mais elle tremble. Noah se rapproche encore. Son doigt glisse le long de ma clavicule, traçant une ligne brûlante sur ma peau humide.— Si tu voulais qu’on parte, tu ne nous regard
