LOGINCe livre est pour un public averti , scène de sexe explicite et très hot . Interdit aux moins de vingt-un ans . Compilation d'histoires érotiques explicites , scène de violence , âmes sensibles s'abstenir . "L'Académie des Ombres" Elara, une jeune femme intelligente mais en manque total de contrôle dans sa vie professionnelle et personnelle, est secrètement attirée par la soumission. Sur invitation mystérieuse, elle intègre "L'Académie des Ombres", une institution discrète où les désirs les plus secrets sont explorés sous la guidance de Maître Kael, un Dominateur aussi redouté que désiré.
View MoreElara
Le papier glisse entre mes doigts, épais comme du velours, imprégné d’un parfum qui me monte à la tête , un mélange de rose noire et de quelque chose de plus sombre, presque animal. Les lettres dorées luisent sous la lumière tremblotante de ma bougie, comme si elles m’hypnotisaient. L’Académie vous attend. Osez franchir le seuil. Aucune signature. Aucun sceau. Juste ces mots, tracés d’une encre si noire qu’elle semble absorber la lumière autour.
Je m’assois sur le bord de mon lit, les cuisses serrées l’une contre l’autre, sentant déjà la chaleur humide s’y accumuler. Qu’est-ce que c’est que cet endroit ? Ma main libre remonte le long de ma jambe, effleurant la soie de ma robe de chambre, trop légère, trop transparente. Je n’ai même pas conscience d’avoir ouvert les cuisses, mais mes doigts glissent déjà sous le tissu, cherchant le soulagement d’un contact , n’importe quel contact , contre cette pulsation sourde entre mes jambes.
— Tu perds la tête, Elara, marmonné-je d’une voix rauque.
Mais je ne peux pas détacher les yeux de cette lettre. Elle sent le danger. Le genre de danger qui vous fait serrer les cuisses en public, qui vous donne envie de vous faire prendre contre un mur, peu importe qui regarde. Le genre de danger qui vous promet que, si vous osez y toucher, vous ne serez plus jamais la même.
Je me lève d’un coup, la lettre cramponnée dans ma main, et je fais les cent pas dans ma chambre. Le plancher craque sous mes pieds nus, chaque pas résonnant comme un compte à rebours. Aller là-bas serait une folie. Et pourtant, l’idée de ne pas y aller me donne envie de hurler. J’imagine déjà les murs de cette Académie, sombres et luisants de cire, les murmures étouffés derrière des portes closes, les corps entrelacés dans l’ombre… Mes tétons durcissent sous le tissu fin de ma chemise de nuit, deux pointes douloureuses qui supplient qu’on les pince, qu’on les mordille jusqu’à ce que je gémisse.
— Putain.
Je tombe à genoux devant ma coiffeuse, les doigts tremblants tandis que j’ouvre le tiroir du bas. Là, sous les flacons de parfum et les boîtes à bijoux poussiéreuses, se trouve ce que je cherche : un petit vibromasseur en forme de langue, souple et froid. Je l’allume d’un clic, le bruit sourd des vibrations remplissant la pièce. Sans hésiter, je soulève ma robe et j’écarte mes lèvres avec deux doigts, déjà gonflées, déjà trempées. Le plastique lisse glisse contre mon clitoris et un gémissement brut, désespéré, m’échappe.
— Oh, fuck...
Je me cambre, une main agrippant le bord de la coiffeuse tandis que l’autre fait tourner le jouet en cercles serrés, pressant fort, trop fort, comme si je pouvais me punir pour cette faiblesse. Mais plus je me fais mal, plus mon corps réagit, se tordant, suppliant. Mes hanches se soulèvent du sol, cherchant quelque chose de plus grand, de plus épais que ce bout de plastique. J’imagine des mains sur moi , des mains à lui, peut-être. À eux. Des doigts qui m’écartent sans pitié, une langue qui me lèche jusqu’à ce que je hurle, une bite qui me défonce jusqu’à ce que je ne sache plus mon propre nom.
— Elara…
Je sursaute, les doigts figés. Ce n’est pas ma voix. Ce n’est personne. Juste le vent contre les vitres, peut-être. Ou alors…
Ou alors j’ai déjà basculé.
Je retire le vibromasseur d’un coup sec, le jetant sur le lit comme s’il me brûlait. Ma chatte palpite, vide, affamée, et je serre les cuisses en gémissant, les doigts tremblants de frustration. Non. Pas comme ça. Pas seule.
La lettre est toujours là, posée sur la coiffeuse, me narguant.
ElaraLe jour filtre à travers les persiennes, dessinant des raies de lumière poussiéreuse sur le sol de ma chambre. Je suis chez moi. Seule. Le silence est une présence lourde, étouffante, après les bruits de la nuit dernière , les souffles, les chuchotements, les cris.Je me lève du lit, mes muscles douloureux protestant à chaque mouvement. Une douleur sourde et familière, un rappel physique de ce qui s'est passé. Je marche jusqu'à mon armoire, mes doigts effleurant les tissus simples et pratiques de mes vêtements de tous les jours. Une robe en coton, sobre. Des sous-vêtements simples. Chaque pièce que j'enfile semble être un déguisement, un écran derrière lequel je me cache. La soie déchirée est restée là-bas, dans cette chambre, comme la peau d'un autre moi.— Je veux que tu me prennes, Kael. Je veux que tu me remplisses. Je veux que tu me possèdes.Mes propres mots résonnent dans ma tête, une boucle incessante et honteuse. Je les entends, je sens à nouveau le goût de cette suppli
Kael Je me penche, mon souffle chaud sur sa joue.— Mais ce soir, Elara, ce n'est pas seulement ce que tu veux qui compte. C'est ce que je décide. Et ce qu'Isadora décide.Je me redresse, mon regard se tournant vers Isadora. Elle fait un léger signe de tête, m'encourageant. La partie la plus difficile commence maintenant. Il ne s'agit plus seulement de la chair.— Debout, Elara, dis-je d'un ton ferme.Elle hésite, puis se lève lentement, se drapant dans la soie déchirée de sa robe. Elle est à peine vêtue, et chaque mouvement révèle un peu plus sa vulnérabilité. Sa peau est encore rougie par mes baisers et mes morsures. Je peux sentir Isadora la regarder, analysant chaque parcelle de son corps, chaque réaction.— Isadora, qu'attendez-vous de moi ? Demandé-je, me plaçant entre elle et Elara, comme pour la protéger, mais aussi pour la défier.— Rien de plus que ce que tu es déjà en train de faire, Kael, répond Isadora. Tu dois lui apprendre la véritable signification de la soumission. L
KaelJe la traîne vers le lit, la jetant dessus sans ménagement. Elle atterrit sur le dos, sa robe se froissant autour d'elle. Je me jette sur elle, ignorant la gêne de ses vêtements, mon corps cherchant le contact direct de sa peau. Je déchire la soie, mes doigts griffant, arrachant, révélant. Ses seins sont tendus, ses tétons durcis par le froid et l'excitation. Je les attrape dans ma bouche, tirant, mordillant doucement. Elle gémit, ses mains s'agrippant à mes épaules.— Kael… s'il te plaît…— Pas de s'il te plaît, Elara. Juste prends. Mords. Hurle. Ce que tu veux.Je baisse mon jean, libérant mon sexe encore dur. Elle le regarde, ses yeux écarquillés, puis son regard remonte vers le mien, une lueur de folie mêlée de désir. Je la saisis par les hanches, la soulevant légèrement pour me positionner.— Ici, maintenant, murmure-t-elle, sa voix rauque.Je la pousse contre le matelas, mon corps la submergeant. Mes mains écartent ses cuisses, mes doigts effleurant encore l'humidité qui la
KaelMon souffle brûle contre sa peau, ses doigts tremblent le long de ma ceinture, cherchant une permission qu'elle n'ose pas demander. Isadora assise dans un fauteuil elle nous regarde . Son corps entier vibre d'une impatience qui me rend fou, cette chaleur humide entre ses cuisses pressées contre mon bassin, cette odeur de vanille et de sueur qui monte d'elle, enivrante. Elle n'a pas besoin de parler. Ses yeux, deux braises sombres, disent tout : j'ai besoin de toi, maintenant.Je ne bouge pas. Pas tout de suite.Je vois ses pupilles se dilater, avides. Elle lèche ses lèvres, et cette fois, c'est moi qui perds patience.D'un mouvement brusque, je la saisis par la taille, mes doigts s'enfonçant dans la soie de sa robe comme si je pouvais la déchirer rien qu'en la touchant. Elle halète quand je la plaque contre le mur, le marbre froid contre son dos, ses seins écrasés contre ma poitrine. Sa bouche s'ouvre sous la mienne avant même que je ne l'embrasse, ses lèvres douces et chaudes, s
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