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Chapitre 174

Author: Adeola
Je fais un pas en avant et Bérénice recule maladroitement, laissant tomber les papiers de ses mains. Je vois encore les mots comme si les feuilles étaient toujours entre mes doigts : la probabilité de paternité est de 0 %.

Peut-être devrais-je ressentir du soulagement, car je m’y attendais d’une certaine manière, voire l’espérais, mais ce que je ressens, c’est de la colère.

Contre moi. Contre Bérénice.

Les souvenirs des cinq derniers mois m’assaillent violemment, pourtant je me retiens de jeter la première chose qui me tombe sous la main.

« Kaïs… » Elle m’appelle, la voix tremblante.

« À qui était ce bébé ? », je répète, avançant encore d’un pas menaçant vers elle.

Elle recule jusqu’à la coiffeuse. « Ne t’approche pas ! », hurle-t-elle.

« Réponds-moi, bon sang ! »

Je me jette sur elle, mais elle m’échappe avant que je ne puisse l’atteindre, et plus vite que je ne cligne des yeux, elle brandit un petit couteau tranchant contre son poignet.

Je recule, stupéfait, tandis que ses yeux lance
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Kaugnay na kabanata

  • Ma Femme, Ma Secrétaire   Chapitre 175

    Point de vue de LucieMon téléphone me brûle littéralement sous l’intensité de mon regard.Je n’en ai pas détaché les yeux depuis une heure, simplement parce que je n’arrive pas à me remettre de ce mot juste en dessous du dernier message que j’ai envoyé à Kaïs.Il est marqué comme lu, mais il n’y a eu aucune réponse depuis une heure.C’est étrange, d’autant plus que le message a été lu presque immédiatement après son envoi, comme s’il attendait que je lui écrive. L’idée qu’il soit resté là, son téléphone en main, à attendre un message de moi me fait rougir violemment.Après cela, les bulles de texte sont apparues, pour disparaître aussitôt.Depuis, c’est un silence radio total, et je ne peux pas m’empêcher d’y penser sans arrêt. Nos échanges de messages et nos rendez-vous secrets sur le banc du parc sont devenus mon échappatoire face à une réalité oppressante.« Lucie ! »L’appel brusque de mon prénom me fait sursauter si violemment que je manque de tomber du siège placé à côté du lit

  • Ma Femme, Ma Secrétaire   Chapitre 176

    Je ne discute pas, je hoche simplement la tête.Mon téléphone m’alerte d’un message, et je le regarde aussitôt, m’attendant à être déçue, mais c’est tout le contraire qui se produit lorsque je lis le texto de Kaïs me demandant si je peux le retrouver à notre endroit habituel.« Tout va bien ? », demande Timothée, et je range rapidement mon téléphone, cachant mon excitation avant qu’elle n’éclate au grand jour.« Oui, oui. Je vais bien. C’est un message du travail. »Le mensonge glisse de mes lèvres avec aisance.Je déteste faire cela à Timothée, mais je sais aussi que ce serait le début de la Troisième Guerre mondiale s’il découvrait que Kaïs est de retour. J’ai tout fait pour qu’ils ne se croisent jamais, même si cela signifie mentir à Timothée.« Tu ne dois pas aller travailler maintenant ? Merci beaucoup d’être venu. » J’espère que cela ne ressemble pas à une invitation à partir.Si Timothée le remarque, il n’en montre rien. Il baisse simplement les yeux vers sa montre et acquiesce.

  • Ma Femme, Ma Secrétaire   Chapitre 177

    Point de vue de KaïsIl existe des endroits où des hommes comme moi ne devraient pas être vus. Des lieux qui ternissent la réputation qu’il m’a fallu des années à bâtir depuis les fondations ; un hôpital psychiatrique, par exemple.Je n’aurais jamais cru dire cela un jour, mais ma réputation est aujourd’hui le cadet de mes soucis alors que j’ai un véritable maniaque entre les mains.Ainsi, lorsque je suis entré ici il y a dix minutes, je n’ai pas pensé à l’effet désastreux que cela pourrait avoir si l’on me voyait dans un endroit pareil.Un membre du personnel m’a conduit jusqu’au bureau du médecin il y a un moment déjà, et j’attends depuis, avec une impatience grandissante, que le docteur arrive et s’occupe enfin de moi.Juste au moment où mon impatience atteint un seuil que je ne peux plus supporter, le médecin fait son entrée.« Je vous prie de m’excuser pour l’attente. Juste pour être sûr, vous êtes bien Kaïs Weber ? L’hôpital principal nous a déjà contactés à votre sujet. »Il con

  • Ma Femme, Ma Secrétaire   Chapitre 178

    Il semble réfléchir à mes paroles pendant quelques secondes avant de retourner à son ordinateur et de taper furieusement dessus. J’ai l’impression d’être ignoré pendant un instant, jusqu’à ce qu’il me prête enfin de nouveau attention.« En tant que tuteur, vous avez le droit de l’admettre pour un traitement de longue durée sans son consentement. D’après ce que vous avez dit, le consentement n’a pas d’importance si sa vie est en danger. Dans combien de temps pouvez-vous l’amener ? »Bérénice ne viendra jamais ici de son plein gré, c’est certain.Ce qui signifie que je dois encore élaborer un plan pour l’y amener. Un plan infaillible qui la tiendra dans l’ignorance jusqu’à ce qu’elle soit enfermée entre les quatre murs de l’asile où est sa place. Je ne peux pas me précipiter sur un tel plan.« Je ne peux pas le dire avec certitude. »Le médecin se contente d’acquiescer à ma réponse.« Très bien. Vous pouvez l’amener à tout moment. Avant de partir, passez voir les infirmières à l’extérieu

  • Ma Femme, Ma Secrétaire   Chapitre 179

    Point de vue de LucieIl attend dehors, près de sa voiture, un bouquet de fleurs à la main.Des violettes, mes préférées. Son costume est, comme toujours, parfaitement ajusté, mais aujourd’hui, il semble y avoir mis encore plus d’effort, comme s’il voulait absolument m’impressionner.Ses cheveux sont coiffés en arrière, dans un style totalement différent de son habitude, et pourtant, il le porte à merveille.Lorsqu’il me voit, il sourit, et son visage tout entier brille encore plus fort que les lumières extérieures du manoir. Puis il avance, et mon cerveau ralentit son mouvement, comme dans cette scène de chaque conte de fées parfait.Le genre de moment qui bouleverse l’esprit et fait naître une nuée de papillons dans le ventre.Sa voix est rauque lorsqu’il se tient enfin devant moi et dit : « Salut. » Son sourire atteint les profondeurs de ses yeux bleus, mais il est aussi teinté d’incertitude, une nervosité qui, autrefois, m’aurait fait éclater de rire.Il commande des milliards, et

  • Ma Femme, Ma Secrétaire   Chapitre 180

    Furieuse, je plonge la main dans mon sac et lui lance les photos ainsi que la carte d’invitation. Le reste tombe au sol, mais il parvient à attraper une photo et l’invitation avant qu’elles ne glissent le long de son torse.Je ferme les yeux, mais les images brûlent encore dans ma mémoire : eux sortant ensemble de l’hôpital, et elle souriant comme si elle était au sommet du monde.J’ai dû perdre la raison un instant pour croire que Kaïs pourrait un jour vraiment être à moi. Pour penser que je pourrais oublier toute la douleur qu’il m’a causée. Pour imaginer que je pourrais lui donner une dernière chance de réparer ses erreurs.Pour lui, ce sera toujours Bérénice, et j’ai été trop stupide d’oublier cela ne serait-ce qu’une seconde.« Lucie… Je peux expliquer. »« Comment expliques-tu une invitation de mariage avec ton nom dessus, Kaïs ? »Il a fait semblant de me poursuivre alors qu’il préparait son mariage depuis le début.« Comment… comment peux-tu être aussi cruel ? »Je ne peux plus

  • Ma Femme, Ma Secrétaire   Chapitre 181

    POINT DE VUE DE KAÏSLe dos de Lucie est la seule partie d’elle que je déteste. C’est parce que la seule fois où je le vois, c’est quand elle s’éloigne de moi — de ma vie. Et je l’ai vue me tourner le dos trop de fois pour ne pas savoir que la douleur que je ressens actuellement dans mon cœur pourrait me tuer si je la laissais partir encore une fois. Le temps que je réalise ce que son départ pourrait me coûter, il est déjà trop tard. Elle est déjà en train de franchir le portail de la maison de son père.« Lucie ! » Je crie son nom en courant après elle, tandis que les grilles automatiques commencent à se refermer derrière elle. Je n’arrive pas assez vite et elles se ferment juste sous mon nez. Mes mains agrippent fermement les barreaux en fer et je les secoue désespérément.« Lucie, attends ! S’il te plaît, parlons-en. » Je l’appelle. Plus je la perds de vue entre les espaces des barreaux, plus mon cœur bat à tout rompre. Je ne peux pas la laisser partir. Je ne survivrai pas. Je sec

  • Ma Femme, Ma Secrétaire   Chapitre 182

    POINT DE VUE DE BÉRÉNICEUn monde sombre accueille mes yeux dès qu’ils s’ouvrent, suivi d’un assaut de douleur dans chaque partie de mon corps. Un gémissement m’échappe lorsque je réalise que je ne peux bouger aucun de mes membres, comme s’ils avaient été ligotés avec une corde si serrée qu’elle pourrait percer la peau pour atteindre l’os.Je suis légèrement engourdie, le monde autour de moi oscillant entre clarté et flou. Je vois tant de choses et pourtant, j’ai l’impression de ne rien voir du tout. J’entends des voix, des rires étouffés, mais ils sont si lointains et confus qu’ils pourraient tout aussi bien n’exister que dans ma tête.Mon cerveau est tellement embrouillé qu’il ne comprend plus rien, mais la douleur que je ressens est bien trop intense pour que tout cela ne soit qu’un rêve.Au milieu de mon étourdissement, mes oreilles perçoivent faiblement ce qui ressemble à des bruits de pas. À mesure qu’ils se rapprochent, je comprends que quelqu’un vient vers moi. Une seconde p

Pinakabagong kabanata

  • Ma Femme, Ma Secrétaire   Chapitre 351

    CHAPITRE 39 [Fausse Innocence]TimothéeJe n'ai pas été choqué d'apprendre que j'avais été drogué. Après tout, le test de drogue était juste devant mes yeux. Ce qui m'a perturbé, c'est la personne qui a fait la confession. La femme timide et fragile qui n'avait à peine pu croiser mon regard lors du dîner était entrée dans mon bureau et avait avoué son mensonge.« Je… je t'ai drogué. » Elaine l'a répété comme si je ne l'avais pas entendue la première fois. Pas d'introduction. Pas d'excuses. Juste la vérité mise à nu. Je l'ai fixée à travers la pièce, ses mains se tordant nerveusement, sa lèvre inférieure tremblant. Elle ressemblait exactement à la femme vulnérable qu'elle prétendait être. Cette vulnérabilité et cette fausse innocence étaient ce qu'elle avait utilisé pour son mensonge et cela donnait presque l'impression qu'elle essayait de me faire tomber dans le piège à nouveau.Le silence assourdissant qui s'étendait entre nous devait la rendre encore plus nerveuse qu'avant, car el

  • Ma Femme, Ma Secrétaire   Chapitre 350

    CHAPITRE 38 [Affaires illicites]TIMOTHÉESi j'avais encore des doutes, les lèvres de Sophie les ont tous effacés en un seul baiser. Chaque seconde de la nuit dernière m'est revenue en tête – la sensation de sa peau contre la mienne, la façon dont elle gémissait mon nom, la manière dont je me suis totalement perdu en elle.Son baiser n'était ni doux ni hésitant. Il était audacieux et sans remords, tout comme elle. Elle m'a volé l'air de mes poumons, me laissant complètement désemparé.Je l'avais vu venir et pourtant, je l'ai laissé arriver. La nuit précédente avait peut-être été sous l'influence de mes médicaments, mais qu'en était-il maintenant ? Quelle excuse avais-je pour laisser cette femme prendre le contrôle sous mon nez ? Quel médicament pouvais-je accuser pour ce sentiment enivrant ?Le baiser aurait dû se terminer aussi vite qu'il avait commencé, mais il a duré bien plus longtemps que nécessaire avant que le moment ne se brise, quand la réalité est revenue brusquement.Je

  • Ma Femme, Ma Secrétaire   Chapitre 349

    CHAPITRE 37 [Un Deuxième Round]SOPHIEL’expression vide sur le visage de Timothée pourrait facilement induire n’importe qui en erreur en pensant qu’il ne savait pas de quoi je parlais. Il avait sûrement perfectionné ce regard au fil du temps.Pour un homme qui a toujours été franc, il choisissait bien la voie de la lâcheté cette fois-ci. Il se moque de moi s’il pense que je vais le laisser s’en sortir aussi facilement.« De quoi tu parles ? » Sa voix exprimait une confusion sincère.« C’est ta stratégie ? Faire semblant que ça n’a pas eu lieu, me virer et passer à autre chose ? C’est bas et froid, même pour toi. »Je ne pensais pas être celle qui allait évoquer la nuit dernière, surtout que j’étais la première à quitter le lit avant même que l’aube ne se lève. Mais il ne m’a pas laissé le choix !J’ai paniqué en me réveillant dans ce lit avec Timothée.Il avait entouré mon petit corps de son immense taille si fermement que j’ai eu beaucoup de mal à me dégager.Son sperme coula

  • Ma Femme, Ma Secrétaire   Chapitre 348

    CHAPITRE 36 [Arnaquée, Dupée et Baisée]SOPHIELa dernière chose que j’ai voulue faire après la nuit de folie que j’avais eue, c’était d’aller travailler. Mais quand un e-mail de licenciement s’est retrouvé dans ma boîte de réception aux premières heures du matin, je n’ai pas eu d’autre choix que d’enterrer les souvenirs de la meilleure nuit de toute ma vie.Oh, Justin Wellington s’est attaqué à la mauvaise « salope ».Il a ignoré mes appels, mes messages, et même mes e-mails quand je suis devenue vraiment désespérée. J’étais encore très endolorie après la nuit dernière, mais j’ai eu juste assez de force pour foncer au service RH et demander à le voir.Sa secrétaire m’a clairement dit qu’il n’était pas disponible à ce moment-là. Elle m’a proposé de partir et de revenir plus tard, mais j’ai préféré attendre. Après tout, j’étais désormais sans emploi et j’avais beaucoup de temps devant moi.Mais pas pour longtemps. J’ai décidé de forcer Justin à m’expliquer pourquoi il était revenu

  • Ma Femme, Ma Secrétaire   Chapitre 347

    Il a haussé un sourcil face à mon langage, mais je me foutais bien des bonnes manières à ce moment-là. J’étais déjà étiqueté comme un prédateur sexuel, ajouter un langage grossier n’allait plus changer grand-chose.Le docteur a pris la bouteille, l’a ouverte et l’a reniflée.« Vous dites avoir ressenti une excitation sexuelle accrue à cause de ce médicament ? » Il a reposé la question, comme pour être sûr. « Cela ne devrait pas se produire. »« Eh bien, c’est arrivé ! Et ça me rend fou. Je veux des réponses, maintenant. »La réaction calme du médecin donnait l’impression que ce n’était qu’un jour de travail comme un autre pour lui, alors que pour moi, c’était bien plus que ça. Finalement, il a reposé le flacon et s’est tourné vers moi.« Je comprends votre frustration, monsieur Sinclair, et je suis tout aussi perplexe que vous. J’ai d’autres patients qui ont essayé ce médicament bien avant vous et un tel effet n’a jamais été signalé. Pouvez-vous me raconter ce qui s’est passé ? »

  • Ma Femme, Ma Secrétaire   Chapitre 346

    CHAPITRE 35 [Laissé à pleurer]TIMOTHÉEAprès avoir quitté la maison des Wellington ce matin-là, ma première destination a été l’hôpital. Quelqu’un devait me donner des explications. Quelqu’un devait payer pour avoir déréglé mon système.J’ai refusé de croire que j’étais capable de commettre un acte aussi honteux sans être sous l’influence de quelque chose. La seule chose qui aurait pu influencer un tel comportement, ce sont mes pilules.Elles m’ont été prescrites personnellement par mon médecin, et elles étaient nouvelles et totalement différentes de celles que j’ai utilisées depuis l’accident. Les médicaments n’en étaient qu’à la deuxième phase des essais cliniques, mais il m’a convaincu de les essayer.Il a dit qu’ils pouvaient être la solution permanente à mes tremblements et à mes crises, avec des effets secondaires précoces tels qu’une légère somnolence après usage. Ce qui a rendu la proposition irrésistible pour moi, c’était l’idée que ma maladie puisse disparaître pour de b

  • Ma Femme, Ma Secrétaire   Chapitre 345

    CHAPITRE 34 [Le méchant et la victime]TIMOTHÉE« Papa... » George semblait lutter contre ses émotions, incapable de décider s'il devait réconforter sa fille en sanglots ou s'en prendre à l'homme qui l'avait poussée à pleurer. « Chérie, je t'ai dit qu'il n'y avait aucune chance qu'elle soit là-dedans... » Sa femme l’a rejoint innocemment à la porte, haletant avant même d'avoir pu terminer sa phrase. « Bon Dieu ! » La situation était loin d'être gênante ou embarrassante. Elle était honteuse. C'était le genre de situation qui pourrait mettre à mal un nom que j'ai travaillé si dur à construire. Comment ai-je pu, moi, Timothée Sinclair, être surpris au lit avec une femme dans la maison de son père ? Il est surprenant que, malgré son regard menaçant, Geroge ait d'abord choisi de consoler sa fille. Il l’a serré dans ses bras, lui permettant d'enfouir son visage dans sa poitrine où elle pleurait à chaudes larmes. Quelle que soit la vérité, ces larmes à elles seules m'incriminaient.

  • Ma Femme, Ma Secrétaire   Chapitre 344

    CHAPITRE 33 [Un Rêve Fiévreux]TIMOTHÉE Le bruit qui m’a réveillé ressemblait à un mélange de sanglots humains et de plaintes animales. Mes matinées étaient habituellement calmes, alors ce son n’a pas seulement été étrange, il m’a aussi donné mal à la tête.Au fur et à mesure que ma conscience est revenue, le bruit est devenu plus clair. Même si j’ai voulu l’ignorer, c’est vite devenu impossible. J’ai entrouvert les yeux pour voir ce qui faisait ce bruit.Ce n’était pas un quoi. C’était un qui.Parmi les trois choses que j’ai remarquées immédiatement, je n’ai pas su laquelle m’a le plus choqué : qu’il y ait quelqu’un dans mon lit, que ce quelqu’un soit une femme ou que cette femme soit manifestement nue, même si elle a tenté de dissimuler son corps avec la couette.Mais peu importait laquelle de ces choses était la plus choquante, car ma réaction à toutes les trois a été la même : j’ai sursauté en arrière. Je n’ai pas eu le temps d’atteindre le bord du lit qu’une quatrième vérité

  • Ma Femme, Ma Secrétaire   Chapitre 343

    CHAPITRE 32 [Jusqu’au bout]SOPHIEJe n’étais pas vierge, et Timothée ne m’a certainement pas traitée comme telle.Il ne cherchait pas à m’embrasser jusqu’à ce que mes lèvres soient gonflées, ni à caresser mes seins sensibles jusqu’à ce que je sois trempée et prête à accueillir sa queue. Rien de ces préliminaires de doux amants.Tout ce qu’il voulait, c’était du soulagement. Tout ce dont il avait eu besoin, c’était d’un corps capable d’absorber la chaleur de son propre corps avant qu’elle ne le dévore de l’intérieur.Et ça m’allait qu’il n’ait eu besoin que de ça, à ce moment-là. Après tout, les mots qu’il m’avait dits avec cette voix terriblement sexy m’avaient électrisée, moi aussi. J’étais en feu pour lui, moi aussi, et je n’avais qu’une envie : que nos flammes s’entrechoquent.La fermeture éclair de ma robe lui a donné un mal fou. C’était comme s’il ne pouvait plus voir clair ni penser, haletant bruyamment, couvrant ma peau de son souffle brûlant.« Putain de merde ! »Il a f

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