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Parfois, tout en imaginant la vie de ma tante à partir de ses entrées dans son journal, j’ai réussi à détendre mon corps assez pour s’endormir.  Malheureusement, la tapisserie farcie aux crins de cheval n’a pas fourni le même confort que la mousse moderne aurait.  Cela, et le fait que je n’étais pas dans la position la plus confortable, a causé mon corps à souffrir inévitablement.  Quand Jasmine m’a gentiment secoué éveillé pour me présenter avec un plateau de thé et de biscuits, mes épaules étaient si raides que je pouvais à peine les fléchir, mes hanches refusaient de relâcher mes jambes à la mobilité, et il y avait un lancinant dans ma tête qui était enraciné à la nuque et autour de mes tempes.

— Vous auriez dû dormir dans votre lit à