*Chez Bertin.
(Isabelle parla à Bertin).
Isabelle : qu’à fait votre frère pour être arrêté ?
Bertin : une erreur, j’étais gravement malade mais on n’avait pas d’argent pour me soigner et les docteurs me laissaient mourir à petit feu alors mon petit frère a fait un braquage qui a mal tourné.
*Un mois plutôt.
(Paulin entra dans une supérette un soir pour la braquer).
Paulin : hey, ne bougez pas, les mains en l’air !
(Le propriétaire, monsieur Gérard leva ses mains).
Gérard : s’il vous plait, ne me faites pas de mal.
Paulin : vous êtes seul ici ?
(Il y avait un autre homme mais Gérard ne le dit pas).
Gérard : oui je suis seul, prenez tout ce que vous voulez.
(L’homme dans la supérette se cacha et observa la scène).
Paulin : aller ! Videz-moi votre caisse, tout de suite.
Gérard : d’accord, d’accord je vais le faire.
(Il commença à vider sa caisse. Paulin lui donna un petit sac et il y mit l’argent. Une fois finit, il frappa la main de Paulin avec le sac et son arme tomba. Il sauta sur Paulin pour le faire tomber puis il prit son arme. Mais Paulin se releva très vite et il essaya de lui arracher l’arme. Ils se débattirent et un coup est partie. Une balle atteignit le ventre de Gérard qui tomba et se vida de son sang. Paulin prit le sac avec l’argent et s’enfuit. L’homme qui se cacha arriva).
Jonas : monsieur, tenez bon, tenez bon monsieur, j’appelle les secours.
(Jonas sortit et vit Paulin jeter l’arme dans la poubelle. Il appela ensuite une ambulance et le BEST. L’ambulancier et les agents du BEST arrivèrent).
Krist : écartez-vous !
Jonas : c’est moi qui vous ai appelé, la victime est morte.
John : vous le connaissiez ?
Jonas : oui, il s’appelle Gérard, cette supérette est la sienne.
Krist : que s’est-il passé ?
Jonas : monsieur Gérard voulait fermer sa supérette mais j’avais besoin de quelque chose alors il attendait que je la trouve. Pendant que je cherchais, un homme était arrivé avec une arme et il a braqué monsieur Gérard. Il a essayé de lui arracher son arme et une balle est partie. C’est monsieur Gérard qui l’a reçu et il en est mort le temps que vous arriviez.
John : avez-vous vu le visage du suspect ?
Jonas : oui je l’ai vu.
Krist : pouvez-vous nous faire une description ?
Jonas : mieux que ça, je vais vous faire un dessin également.
Krist : génial. Officier, donnez un crayon et une feuille à cet homme.
Officier : à vos ordres !
Jonas : je l’ai vu partir et jeter son arme dans la poubelle là-bas.
John : je m’en charge.
(John alla récupérer l’arme pendant qu’on donna des outils à Jonas pour faire le dessin. John prit l’arme et l’apporta).
John : voici l’arme !
Krist : envoyez ça au labo pour analyse.
(Jonas finit son dessin).
Jonas : tenez, c’est l’homme en question.
Krist : vous en êtes certain ?
Jonas : oui, sûr et certain.
Krist : très bien, on va entrer ce dessin dans la base de données pour voir s’il y aura une correspondance. John, on y va. Restez à notre disposition monsieur, vous êtes notre seul témoin.
Jonas : bien sûr.
(Krist et John retournèrent au poste de police).
Krist : Alex, occupes-toi de ce dessin, trouves qui c’est.
Alex : je m’en charge.
*Hôpital
(Paulin rejoignit son frère Bertin à l’hôpital. Il retrouva le docteur).
Paulin : docteur, j’ai l’argent qu’il faut. Maintenant soignez mon frère comme il le faut, et s’il meurt, vous en serez responsable.
Docteur : d’accord, on s’en occupe.
(Les docteurs s’occupèrent donc de Bertin en le soignant d’une blessure par poignard dans le ventre. Après cela, Paulin alla le voir).
Paulin : comment tu te sens grand frère ?
Bertin : je vais bien petit frère. Dis-moi comment tu as obtenu de l’argent pour me faire soigner ?
Paulin : ce n’est plus important, l’important c’est que tu vas t’en sortir.
Bertin : je veux savoir, où as-tu trouvé suffisamment d’argent pour me faire soigner ?
Paulin : j’ai commis une grave erreur grand frère.
Bertin : qu’as-tu fait ?
Paulin : j’ai braqué une supérette et le propriétaire en est mort.
Bertin : quoi, qu’est-ce que tu dis ?
Paulin : c’était un accident, je ne voulais pas le tuer.
Bertin : qu’est-ce qui s’est passé ?
Paulin : le monsieur a voulu m’arracher l’arme et une balle est sortie et elle l’a atteint.
Bertin : merde Paulin !
Paulin : je ne voulais pas te voir mourir grand frère.
Bertin : est-ce que quelqu’un t’a vu ?
Paulin : je ne crois pas.
Bertin : tu ne crois pas ?
Paulin : personne ne m’a vu et je me suis débarrasser de l’arme.
Bertin : je l’espère.
*QG du BEST.
(Alex rejoignit Krist et John).
Alex : lieutenants, j’ai les infos que vous vouliez.
Krist : on t’écoute.
Alex : le suspect s’appelle Paulin Djérassem, il a perdu ses parents l’an dernier et il vit avec son grand frère Bertin Djérassem dans la maison familiale. Il a été arrêté une fois pour possession illégale d’arme à feu.
John : tu as son adresse ?
Alex : oui.
Krist : allons-y !
(Ils prirent l’adresse et se rendirent chez Paulin mais le manquèrent. Ils demandèrent à un officier de rester pour surveiller les lieux. Ils s’en allèrent et reçurent plus tard un appel pour le labo et s’y rendirent).
*Labo
(Krist et John se rendirent au labo).
Krist : alors André, qu’est-ce que ça dit ?
André : j’ai les résultats des analyses.
John : alors ?
André : la balle qui a servi à tuer Gérard correspond bien à cette arme, donc c’est bien l’arme du crime.
Krist : et en ce qui concerne les empruntes ?
André : ils appartiennent à un certain Paulin Djérassem.
John : on tient notre homme.
Krist : merci André.
(Ils prirent les résultats d’analyses et retournèrent à l'agence. Ils donnèrent les résultats et l’arme qui furent classés comme preuves pouvant servir lors d’un procès).
*Chez Bertin.
(Le lendemain, Paulin rentra à la maison pour prendre des nouveaux habits pour son frère et ce fut là que la police l’interpela. L’officier appela immédiatement Krist et John qui arrivèrent et frappèrent à la porte. Paulin vint ouvrir).
Paulin : bonjour !
Krist : vous êtes Paulin Djérassem ?
Paulin : oui c’est moi, que puis-je faire pour vous ?
Krist : vous êtes en état d’arrestation pour le meurtre de Gérard.
Paulin : quoi, meurtre, de quoi est-ce que vous parlez ?
John : n’essayez pas de le nier ok, nous avons un témoin et des preuves.
Paulin : quelles preuves, quel témoin ?
Krist : nous avons vos empruntes sur l’arme que vous avez jeté dans la poubelle et le témoignage d’un homme présent dans la supérette que vous avez braqué.
Paulin : vous vous trompez de personne.
Krist : John, boucles-le !
Paulin : s’il vous plait, mon frère est seul à l’hôpital, il n’a que moi pour veiller sur lui. J’étais avec lui, je n’ai rien fait du tout.
Krist : aller, embarques-le !
(C’est ainsi que Paulin fut arrêté pour le meurtre de Gérard).
*Présentement.
Bertin : mon frère avait appelé mon ami Hassan et c’est lui qui s’est occupé de moi et m’a tout raconté. Une semaine plus tard, je suis sorti de l’hôpital et j’ai tout organisé. Maintenant, je vais tout faire pour que mon frère ne soit pas jugé, ni condamné.
Isabelle : c’est injuste ce que vous faites, votre frère a commis un crime même si c’était non intentionnel ou même si c’était pour vous sauver alors il doit le payer. Vous vous mettrez dans d’autres problèmes en voulant faire ça.
Bertin : mon frère n’est pas un criminel alors je vais le sortir de là, grâce à ton mari.
Isabelle : vous serez tous les deux arrêtés et emprisonnés, vous verrez !
Bertin : ramènes-la à l’intérieur.
(Isabelle fut ramenez dans la chambre auprès de sa fille).
*Chez Krist.
(Krist rentra à la maison et s’assit sur son canapé tellement inquiet. Il regarda les photos de sa femme et sa fille).
Krist : mon Dieu, fasses que rien de mal ne leur arrive, je t’en prie protèges ma famille ! Je ne m’en remettrai jamais s’il leur arrivait malheur, veilles sur elles mon Dieu.
(Il reçut un appel de John).
Krist : Krist, j’écoute !
John : on a besoin de toi tout de suite.
Krist : qu’est-ce qu’il y’a ?
John : on se fait attaquer à l’hôpital.
Krist : quoi, que fais-tu à l’hôpital ?
John : tu délires où quoi, on protégeait Thomas avant que tu ne partes pour chercher ta fille.
Krist : merde, j’ai complètement oublié, j’arrive tout de suite.
John : fais vite !
PRÉSENTEMENT
(Krist prit sa voiture et se rendit à l’hôpital. Il gara sa voiture sur le parking de l’hôpital et vit un van noir devant lui. Il sortit de sa voiture et marcha vers le van. Immédiatement, des tirs vinrent directement sur lui. Il se cacha derrière une voiture et quand le chauffeur du van épuisa ses munitions, Krist arriva en courant pendant qu’il cherchait encore à recharger et il le désarma. Ils se mirent à se battre, ils s’échangèrent des coups, barrèrent et esquivèrent puis le type lança Krist loin sur une voiture. Il s’approcha et envoya une savate que Krist esquiva. Il se releva et ils se battirent puis il frappa le type d’un coup de savate et le projeta contre le Van. Il vint près de lui et le releva. Il le frappa quand quatre autres arrivèrent avec Thomas. Deux tirèrent directement et Krist utilisa le type comme bouclier puis il sauta pour se cacher derrière un poteau. Il tira ensuite et tua deux des hommes. Les deux autres laissèrent Thomas et s’approchèrent. Krist épuisa ses minutions alors il se tint prêt pour un combat corps à corps. Les deux hommes se séparèrent. L’un d’eux se dirigea tout droit sur Krist et l’autre essaie de passer devant lui afin qu’ils puissent l’encercler. Quand le type derrière lui arriva tout près, Krist fonça sur lui et l’attrapa pour tomber. Son arme tomba et Krist le ramassa puis il le prit en otage. Il attrapa son cou et mit l’arme sur sa tête. Il obligea l’autre à jeter loin son arme. Il relâcha ensuite son otage et lui donna un violent coup de savate à la tête pour l’assommer. L’autre couru de toutes ses forces vers Krist et ils se battirent à mains nues un bon moment avant que Krist ne le vainquit. Il fut épuisé et s’assit. C’est en ce moment que d’autres agents arrivèrent et arrêtèrent les deux hommes et s’occupèrent aussi de Thomas. Samuel s’approcha de Krist).
Samuel : est-ce que ça va ?
Krist : à votre avis ?
Samuel : tu as fait ça tout seul ?
Krist : vous voyez quelqu’un d’autre ici ?
(Samuel tapa son épaule pour lui signifier à quel point il était fier. Krist se leva et alla dans la chambre où se trouvait Thomas. Il trouva John à terre et s’approcha de lui).
Krist : John, hey John, hey réveilles-toi, s’il te plait !
(Il reprit connaissance et Krist poussa un grand soupir).
Krist : est-ce que ça va ?
John : ça peut aller, j’ai juste mal à mon épaule.
Krist : tu as reçu une balle. Aller ! Lèves-toi, il faut te faire soigner.
John : ils ont amené Thomas.
Krist : non, ils n’ont amené personne. Je les ai trouvés au parking et je les ai arrêtés.
John : ils étaient quatre.
Krist : non, ils étaient cinq. Un autre les attendait avec un Van. Trois sont morts, deux sont arrêtés et Thomas a été récupéré.
John : c’est une bonne nouvelle.
Krist : aller ! Viens !
John : tu devrais te faire soigner aussi.
Krist : non cava.
John : que s’est-il passé ?
Krist : comment ça ?
John : comment t’as pu oublier qu’on gardait Thomas ?
Krist : désolé, c’est ma fille qui m’a fait oublier ça.
John : heureusement que tu les avais arrêtés.
Krist : c’est vrai, sinon je devais m’expliquer.
John : exactement !
(Krist l’amena à l’ambulance et les ambulanciers soignèrent son épaule).
*Domicile de Krist. (Krist rentra à la maison et trouva sa femme toujours debout). Krist: tu es toujours debout chérie? Isabelle: oui, j'avais besoin de te voir rentrer sain et sauf. Regarde à quelle heure tu rentres chéri, il est 02h du matin. Krist: c'est finit bébé, on a mit fin à cette affaire de drogue donc dès demain, je quitte définitivement le BEST. Isabelle: je l'espère de tout mon cœur. Krist: ne t'inquiètes pas. Emmanuel n'a pas sommeil? Isabelle: non, il voulait voir son papa avant de dormir. Krist: allons nous reposer. Je vais embrasser ma princesse. (Krist alla embrasser sa fille avant de rejoindre sa femme dans leur chambre pour passer la nuit). *Domicile de Clarisse. (John et Éric ramenèrent leur mère à la maison et passèrent la nuit avec elle. Clarisse se leva très tôt pour préparer le petit déjeuner pour ses enfants qui mangè
*Supérette de Marcelin.(À 19h de la nuit, Marcelin et ses hommes se rendirent dans sa supérette avec un fourgon pour faire sortir l'argent. L’agent Carlos de la brigade anti-drogue resta assez loin pour les espionner. Les hommes de Marcelin firent sortirent l'argent et mirent tout dans le fourgon puis ils partirent à son domicile. Carlos les suivit jusque-là avant de retourner à la brigade).*Domicile de Marcelin.(Marcelin rejoignit son frère).Marcelin: ça y est, l'argent est là!Thomas: génial, il faut juste attendre l'heure pour aller récupérer la cargaison de drogue.Marcelin: qu’est-ce qu’on fait d’Éric et sa mère?Thomas: que veux-tu que je te dise? Ils ne me servent à rien tous les deux.Marcelin: compris! On s'en débarrasse.
*Domicile de Marcelin. (Levi et Osée amenèrent Éric dans une salle et attachèrent ses mains dans le dos, ensuite ils attachèrent ses pieds en haut et tournèrent sa tête vers le bas. Ils versèrent de l'eau sur lui et prirent des bâtons pour le frapper). *Brigade anti-drogue. Ally: patron, Éric est démasqué, il est en train d’être torturé. Il faut intervenir maintenant. Léon: non, si on intervient, on n'aura pas la chance de saisir la drogue, l'argent et d’arrêter Thomas et son frère ainsi qu'Eltchoko. Ally: nous savons que la drogue viendra par le port, nous savons aussi où se trouve la supérette et grâce à Éric on connaît le domicile de Thomas et son frère, il faut intervenir. Léon: le plus grand morceau dans tout ça c'est Eltchoko et nous ne savons pas où il est. Si on arrête Thomas et Marcelin, on ne pourra jamais le retrouver. Ally: donc, on laisse Éric mourir? Léon: espérons
*Quincaillerie service+. (Krist et John arrivèrent à la quincaillerie et trouvèrent une personne sur place). Krist: bonjour monsieur, comment allez-vous? Lui: je vais très bien. Krist: comment vous appelez-vous? Lui: Sosthène! Krist: ok, je suis le lieutenant Krist et voici le lieutenant John du BEST. Sosthène: ok, que puis-je pour vous? John: nous recherchons un certain Ferdinand, le connaissez-vous? Sosthène: ça se pourrait. Vous le cherchez pourquoi? Krist: où peut-on le trouver? Sosthène: il vient ici parfois mais pas chaque fois. John: mais vous savez où on peut le trouver n'est-ce-pas? Sosthène: le voilà d'ailleurs qui arrive. (Ferdinand arriva jusqu’à eux). Ferdinand: bonjour Sosthène. Sosthène: salut mon frère, comment
*Hôpital pédiatrique. (Krist arriva à l’hôpital. Il gara sa voiture au parking et courut jusqu’à l’intérieur. Il rejoignit la maîtresse et le directeur). Krist: Michelle, où est ma fille? Michelle: les docteurs s’occupent encore d'elle. Krist: que s'est-il passé, que lui est-il arrivé? Directeur: on n'en sait rien monsieur Krist mais j'ai trouvé ça. Krist: qu’est-ce c'est? Directeur: je n'en sais rien. (Krist prit la poudre et la sentit). Krist: de la drogue, ne me dites pas que ma fille a consommé de la drogue? Directeur: je n'en sais rien monsieur. Krist: comment de la drogue s'est retrouvé dans votre établissement? Directeur: je ne saurais vous répondre monsieur. (La mère de Fabien arriva). Cindy: où est mon fils, je veux voir mon fils? Maîtresse: calmez-v
*Salomon entreprise.(Ce matin, après le petit déjeuner en famille, Isabelle devança Krist au travail pendant qu’il amena leur fille à l’école. De l’école, il se rendit dans leur entreprise, habillé en homme d’affaires. Il salua au passage les employés qui le regardèrent avec stupéfaction. Il se rendit dans le bureau de sa sœur et sa secrétaire l’introduit).Krist: bonjour sœurette!Stella: waouh, dans la peau d’un gentleman! Tu es super Krist.Krist: merci, c’est l’œuvre d’Isabelle.Stella: hum, la beauté, l’élégance, le charisme, tout y est.Krist: merci.Stella: assieds-toi!Krist: merci.Stella: alors, tu te sens vraiment prêt pour cette nouvelle vie?Krist&nbs