Esmerelda Sleuth «LA BOÎTE MAGIQUE» [Livre deux]

Comme je facilité mon modèle tardif Chevy Malibu à travers la porte en fer orné surdimensionné et il a conduit jusqu’à l’allée bordée d’arbres, j’ai pris un long coup d’oeil à la maison.   Il était dans un état tout aussi beau qu’il l’était dans les dix-huit cents; si ce n’est plus le cas.  La façon dont le soleil s’est mélangé avec son extérieur doux et jaune pâle et l’état immaculé de sa garniture blanche et tableau de colonnes tenant l’imposant portique m’a fait réaliser que Nora avait raison de l’étiqueter majestueux.  Il devait être la maison la plus spectaculaire que j’avais jamais eu l’occasion de voir et de marcher à travers - sans parler de posséder et de vivre dans- mais il a émis une ambiance t

« Êtes-vous sûr que vous voulez vivre dans cette grande maison? » J’ai demandé que j’ai aidé Nora ruban jusqu’à la dernière de ses boîtes pour le déplacement.« C’est un peu grand, dit-elle, mais cela fait partie du frisson.  Je vais vivre dans un manoir.  Combien peuvent dire cela?« C’est une maison vieille de plusieurs siècles.  Qu’en est-il des bruits?  J’ai demandé.  « Ne voulez-vous pas vous faire flipper? »Elle leva la boîte et la plaça sur une autre qui attendait les hommes en mouvement.  « De quoi s’agit-il?  Pourquoi tu me demandes ça ?  N’aurait-il pas été mieux questions avant que je donne avis au propriétaire?— Vous avez raison, accepta-t-il.  « 

La chambre était si sombre que je ne pouvais pas voir ma main que je l’ai tenu à seulement quelques centimètres de mon visage.  Je me sentais confiné et étouffé au point que j’avais du mal à respirer.  J’ai jeté mes couvertures pour libérer mon corps nu de leurs limites.  Il m’a non seulement libéré des couvertures de constriction, mais il a caché la claustrophobie qui menaçait de prendre en charge. J’aimais dormir nue.  La sensation des draps contre ma peau nue n’a été surpassée que par l’air rafraîchissant de la nuit caressant ma chair.Le moment a été parfait quand ses mains fortes ont commencé à avoir besoin de mes seins fermes et généreux tout en taquinant mes mamelons.   J’ai sucé dans l’a

Nous avons passé les jours suivants à nous reposer et à nous remettre de la série d’événements dramatiques qui ont mené à la décision de changer notre vie de quitter notre emploi.  Heureusement, il n’y avait plus d’incidents tels que des hommes transparents errant ou des partenaires sexuels inconnus au milieu de la nuit.Certes, nous étions nerveux et nous attendions que l’un ou l’autre se produise la première et la deuxième nuit.  Par conséquent, nous avons passé le troisième jour et la nuit à dormir pour compenser trois nuits de repos insuffisant.Il a été décidé que nous prendrons au moins un mois de congé pour nous regrouper avant de former la nouvelle entreprise et de nous installer quelque part.  C’était notre quatrième jour de chômage quand Nora a

« Combien de troncs y at-il? » J’ai demandé avec consternation que j’ai fermé le couvercle à celui surdimensionné contenant des vêtements appartenant à un homme que je viens de terminer de passer.Nous avions déjà fouillé à travers cinq troncs généreusement dimensionnés et il y avait encore beaucoup plus à faire.« Il y en a au moins une douzaine ou plus.  Chaque génération a-t-elle entreposé ses vêtements comme s’il s’agissait d’une sorte de produit prisé? Vous pourriez mettre des corps entiers dans ces choses avec de la place à revendre.  Peut-être plus d’un à la fois.  Qu’est-il arrivé à donner aux pauvres? Nora souffla en plaçant ses mains contre la petite de son dos et se pencha vers l’arrière pour