ATTENTION, LES SCÈNES A SUIVRE PEUVENT HEURTER LA SENSIBILITÉ DE CERTAINES PERSONNES...
JE RAPPELLE QUE CE ROMAN EST UNE FICTION... MERCI À TOUS ET BONNE LECTURE. J'ESPÈRE QUE CETTE HISTOIRE VOUS PLAIRA. Je m'appelle Amalia Smith, j'ai 16 ans, j'ai les cheveux bruns jusqu'à la taille. Mon œil gauche est vert et mon œil droit est gris. Je suis maigre et mon corps est complètement meurtri. Je vis à Brisbane en Australie avec mon beau-père Philip Kane, 50 ans et qui est un connard invétéré. Ma mère, Antonia Smith, est décédée dans un accident de voiture quand j'avais neuf ans. Depuis, ma vie est un cauchemar constant, remplie de violences en tout genre. Il est 19h et le repas pour 20h n'est pas encore prêt. Philip fait une fête avec ses quatre amis ce soir et heureusement, il n'est pas encore rentré du travail. Je stresse car je sais ce qui m'attend. Je n'ai personne d'autre autour de moi, pas d'amis ou de famille. Je suis épuisée de cette vie qui me tient à un fil. Il est 19h30 lorsque mon beau père entre du travail, d'une humeur massacrante comme à son habitude. -As-tu préparé le repas pour ce soir? (demande-t-il avec froideur) -Ou...oui...le...le repas est prêt...(je réponds en tremblant et baissant les yeux) -Regarde moi quand je te parle! (ordonne-t-il et je fixe mes yeux dans les siens) je t'ai apporté une nouvelle tenue pour mes amis et tu vas l'enfiler tout de suite! (j'aquiesce car je n'ai pas le choix et prends le sac qu'il me tend) Je monte dans ma chambre et ferme la porte. Dix minutes après ma douche, je sors les vêtements qu'il a acheté au centre commercial et reste ébahie par ces que je vois. Une larme commence à couler. Je ne dois pas pleurer car sinon, la punition sera pire que d'habitude. J'enfile le soutien gorge noir, le string et les portes jartels pour finir par les talons. Mon dieu, que puis-je faire? Je ne peux même pas m'enfuir car l'issue est inexistante. J'enfile aussi le tablier de soubrette et mon cœur commence à battre la chamade, rendant ma respiration difficile à gérer. -Amalia!!! Descends !!! Ils sont là!!! (ordonne-t-il et je descends les escaliers en frissonnant de peur) Ils m'attendent tous les cinq au bas des escaliers, me fixant tels des prédateurs chassant leur proie. -Tu es vraiment sexy petite chose! (exprime son ami Danny, un gars blond, les yeux bleus et le regard vicieux) -Ouais t'as raison Danny! Putain, t'es vraiment chaude! (repond Steve, un brun aux yeux marron et déjà à moitié saoul, le regard lubrique, me lorgnant de haut en bas en se touchant l'entrejambe) Les deux autres, James et Kane restèrent muets, ne faisant que profiter de la vue. C'est ce qui me rendait le plus nerveuse. Les personnes s'exprimant peu sont souvent les pires. -Allez les gars! Allons manger! (suggère Philip en les conduisant au salon) Amalia! tu nous serviras comme d'habitude et tu seras très bien récompensée !!! (dit-il avec malice, s'installant auprès de ses amis) Le repas dura au moins trois heures et fut chargé en alcools, partie de cartes et drogue dure. Je n'ai jamais aimé quand ils se droguaient car leur folie ainsi que leur cruauté se decuplaient pour me faire souffrir et ça, je savais que je n'y echapperais pas ce soir. J'étais dans la cuisine quand Philip vint vers moi. -Installe toi sur le canapé! (dit-il froidement et j'obéis, tremblant de peur) Assise sur le divant, les cinq hommes étaient debout devant moi, me dévisageant de haut en bas, se lechant les lèvres et se touchant leur sexe avec un regard froid et lubrique à la fois. -Philip...où est la seringue? (demande James, les cheveux poivre aisselle et les yeux marrons) Oh non. Je suis foutue s'ils me piquent. Mais pourquoi suis-je si faible? Pourquoi je n'arrive pas à me défendre ? Pourquoi tu n'es pas là maman ? Tu m'as laissé avec ce fou. Pourquoi? Qu'ai-je fait pour mériter ça ? Suis-je si indigne d'être aimée? Pourquoi n'ai-je personne pour me sauver? -Non...non...s'il vous plaît...pas la seringue...(suppliais-je en pleurant) -Tu n'as pas ton mot à dire et je te rappelle que tu es notre petite pute pour ce soir !!! et tu devrais avoir l'habitude pourtant alors ferme ta petite bouche sinon on te la remplit tout de suite !!! (menace Philip et je me tais) -Regarde sur la table...elle doit y être...(marmonne Kane, un brun aux cheveux arrivant jusqu'aux épaules et aux yeux verts) -Allez petite fille! (dit Danny vicieusement en souriant, s'approchant de moi pour injecter leur drogue) -Non...non...non...!!! (suppliais-je en essayant de les repousser mais leur force dépasse l'entendement, me tenant à quatre et le cinquième me piquant la peau) Je pleurais à chaudes larmes quand Kane releva mon menton, fixant ses yeux dans les miens et m'embrassa d'un coup, forçant ma bouche à s'ouvrir afin d'emmeler sa langue à la mienne. Il me maintenait en serrant mon cou, ce qui coupait ma respiration. Ils me violerent chacun leur tour ou le faisant aussi à deux, ensemble en même temps, ou à trois, allant et venant en moi, avec force et endurance. La douleur était insupportable, faisant saigner mon intimité. Je hurlais et essayer de me défendre mais ils me bayonnerent la bouche, tenant mes pieds écartés et mes bras pour m'empêcher de bouger. James et Kane s'amusaient à me poignarder l'epaule droite et à effectuer des coupures sur toutes les parties de mon corps, se défoulant et évacuant leurs frustrations sur moi. Mon sang coulait et ça ne les freinait pas pour autant, au contraire, cela les exitait au plus haut point de me voir dans cet état. Philip était sur moi et surtout en moi, faisant des allers retour dans mon intimité, sans douceur, tout en brutalité. Une brutalité bestiale qui se transformait en un monstre inarretable lorsqu'il était drogué, comme maintenant. Dans un élan de lucidité, je levais mon bras pour le frapper quand Danny le paralysa d'un coup en me le tordant, ce qui me fit hurler de douleur. Lorsque Philip vit ce que je m'apprêtais à faire, il me serra le cou de ses deux mains, m'etranglant avec férocité, tout en continuant à me marteler pendant que les autres regardaient le spectacle, et ses yeux plein de haine et de plaisir firent que ma respiration devint saccagée et instable. Ses mains autour de mon cou se resserrerent, jusqu'à couper mon souffle, laissant simplement mes yeux fixés sur les siens, jusqu'à ce que mon coeur cesse de battre. Je sentis que je partais. Ma douleur n'était plus présente et la légèreté m'enveloppait. Je me sentais comme dans un cocon, libre et protégée. Je pris alors conscience que mon corps était devenu transparent, tel un fantôme. Je levais ma tête quand je vis mon corps plein de sang, sur le sol du salon, sans vie et toujours frappé et violé par mes cinq bourreaux. Je voulais leur mort. Mon bras à traversé leurs corps et je compris alors que je ne pouvais rien faire pour soulager ma rancœur. Aucun d'eux ne remarqua que j'étais partie. Ils étaient tellement drogués qu'ils continuaient leurs affaires, se dechainant sur moi, encore et encore, comme si c'était leur dernier jour sur terre. Ce n'est qu'au bout de deux heures et demi de souffrance, que l'un d'eux fixa mon corps inerte et mes yeux qui avaient perdu le peu de lueur de vie qui restait. -Les gars...(dit Danny avec inquiétude) -Quoi? (répond Kane surpris de le voir comme ça) -Elle...elle est morte...(murmure-t-il aux autres) C'est alors qu'ils se rendirent enfin compte de l'aspect de mon corps, ce qui les fit retrouver leur lucidité. Il y eut un blanc durant quelques minutes jusqu'à ce que Philip s'exprime. -Il faut se débarrasser du cadavre...(dit-il et ses amis aquiescent) -Je sais où nous pourrions aller...(annonce James) -Où ça ?(Demande Danny) -La forêt qui se trouve derrière chez moi... (repond James) Je les suivis jusqu'à celle-ci et les vis enterrer mon cadavre, sans regrets ni remords pour leurs actes criminels. Meritais-je vraiment de finir comme ça ? enterrée comme une malpropre. Ma vie ne se résumant qu'à être battue, abusée et maltraitée. Je jure que je prendrais ma revanche et qu'ils le paieront tous de leurs vie!PDV Bobby-Eh bien eh bien...c'était un moment magnifique mes enfants...(dit papa, ses yeux brillants de bonheur, nous réveillant de notre étreinte)-Effectivement...une rencontre magique...(ajoute Rex, touché)-C'etait incroyable...(dit Dino, encore sous le coup de l'émotion)-Oui...on est d'accord avec vous les gars ! (s'exclame Mattew)-Quand est-ce que tu arrêteras de parler pour nous deux, espèce d'abruti ? (râle encore Andrew et nous rimes tous)-Le langage !!! (prévient papa en le mettant en garde)-C'etait vraiment un moment magique mon frère !!! (dit Darian nous serrant dans ses bras, Amalia et moi)Damian et Logan étaient en retrait sur le côté, laissant parler tout le monde. Les deux frères avaient un caractère assez discret, ce qui confondait souvent avec de la froideur, faisant fuir les gens. Mais ils n'aimaient pas moins leur famille. Au contraire, leur façon de montrer leur amour était juste différent des autres.Au fond d'eux, ils aimaient leur petite sœur. Combien d
Une fois arrivés devant ma porte, papa ouvrit celle-ci et mes yeux s'ouvrirent d'étonnement lorsque je vis la taille de ma chambre. Les murs étaient peints d'un vert pomme magnifique et les meubles étaient en bois massif, ce que j'adorais. La pièce était accueillante, espacée et un lit King size tronnait au milieu. Les draps étaient en soie et de couleur vert clair. C'etait tout simplement magnifique. Les fenêtres donnaient une vue sur l'immense jardin, montrant celui-ci orné de magnifiques rosiers, tulipes et autres. Les garçons me montrerent la salle de bain et je n'y croyais toujours pas. Elle était ornée d'un jacuzzi pour au moins quatre personnes et la douche pouvait y accueillir le même nombre. Le lavabo était assez large et le tout dans les mêmes tons de vert. Le miroir était immense et d'une netteté sans faille.Jamais je n'aurai pensé vivre ce genre de chose dans ma vie. Moi qui avais l'habitude de posséder une petite chambre sans grand chose à l'intérieur, et là, j'ai cett
PDV AmaliaJe faisais encore un cauchemar dont je n'arrivais pas à me réveiller. Et puis je sentis une chaleur me berçant autour de moi. Comme si quelqu'un me tenait dans ses bras, une étreinte chaude et chaleureuse, qui apaisa mon coeur.J'entendais des voix m'appeler. Celle de mon père, sa voix grave mais apaisante me fit ouvrir lentement mes yeux. Son regard était empli de tendresse, me donnant encore plus envie de me blottir dans ses bras, ce qui le fit rire.-Ma petite fille...nous sommes arrivés à la maison...(déclare-t-il en souriant et en me donnant un petit baiser sur le front)-Déjà? Mais combien de temps ai-je dormi ? (m'exclamais-je, étonnée de ne m'être rendue compte de rien)-Tu as dormi tout le long du trajet...tu devais être épuisée...(répond Dino)-Oui...c'est vrai...j'étais vraiment très fatiguée...(aquiescais-je d'un hochement de tête)-Allez ma puce...il est l'heure de rencontrer tes autres frères...(prévient papa)Je me redressais de ses bras et vis mes frères me
Je ne savais pas par où commencer. Ils n'avaient vraiment pas besoin de tout savoir de cette vie de merde que j'ai vécu jusqu'à présent. Je dirais le strict minimum car je ne peux pas leur dire la vérité. Cette vérité qui m'a brisée. Mon corps, mon esprit avaient été détruits parce ces hommes tant de fois et pourtant, je suis ici, aux côtés de la seule famille qu'il me reste. La famille dont ma mère m'avait parlé et dont je ne souhaitais rien savoir. Une erreur de ma part a entraîné ma fin. Le souvenir d'elle me hante chaque nuit depuis son décès, lui demandant de veiller sur moi mais petit à petit, j'ai fini par laisser les choses se passer et oublier ce funeste rêve d'une vie meilleure.Comment expliquer les choses sans éveiller les soupçons sur la maltraitance dont j'ai fait l'objet au quotidien? Je n'en sais rien. Je suis heureuse d'avoir retrouvé mes proches, mais s'ils découvrent tout à mon propos, m'aimeront-ils encore? Je ne veux pas qu'ils aient honte de moi et malgré le fai
PDV RexLorsque je vois un jeune femme se diriger lentement vers nous, mon corps vibre de bonheur. Est-ce bien elle? Pourquoi a-t-elle les cheveux de cette couleur et des lunettes noires? Je commence à me méfier et remarque que même mon père et mon frère sont étonnés de son apparence. Elle s'approche de mon père, tout en gardant une certaine distance. Je sens que quelque chose cloche. Son corps n'est pas totalement droit et je me demande si elle est blessée quelque part.Sa façon de bouger et de vérifier partout autour d'elle est alarmant. Je peux sentire son malaise et son anxiété.-Excusez-moi...seriez-vous par hasard Mr Alessandro Giordano (demande-t-elle avec espoir)-Oui, c'est moi...(répond lentement mon père, la fixant des yeux, se demandant si c'est bien sa fille)-Ouf...(dit-elle soulagée) je suis Amalia...(se présente-t-elle timidement en enlevant ses lunettes)-Oui...c'est bien toi, ma petite fille!!! je reconnaîtrais ces yeux partout...(s'exclama-t-il en la serrant dans se
PDV Alessandro Giordano J'ai une fille. Mon dieu. Je suis si heureux et tellement en colère que Antonia me l'ai caché.Je regarde les photos de ma fille. Elle est magnifique. Elle est vraiment un mélange de nous deux et elle a des yeux spéciaux et très beaux. Je la trouve juste un peu maigre. J'espère qu'elle a bien vécu parceque sinon, ses frères et moi traqueront ceux ou celles qui lui ont fait du mal.J'appelle mon secrétaire et celui-ci entre dans le bureau. -C'est ma fille ! (dis-je fièrement)-Oui...Mr...j'ai cru comprendre...et je suis heureux pour vous...(repond-t-il sincèrement)-Écoute...je vais chercher les garçons et je pars la récupérer en Australie...(lui expliquais-je)-Mr...je ne veux pas vous alarmer mais il vaut mieux partir en urgence de suite...(dit-il inquiet et cela m'alerte)-Que veux-tu dire ? (lui demandais-je, commençant sérieusement à m'inquiéter)-Eh bien lorsque j'ai eu votre fille au téléphone, elle pleurait...vraiment beaucoup...mais ce qui m'a frappé,