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Chapitre 0004

Joan est resté figé pendant quelques secondes avant de dire : « Oui, appelle-la. »

Quelques jours après qu’ils sont arrivés à Seattle, Zoé les a suivis à Seattle en prétendant de faire du tourisme, pourtant, le personnel du de la filiale du Groupe Cassel savait qu’elle y était venue à cause de Joan.

« C’est compris. »

Léo a acheté trois billets pour rentrer en France, après avoir accueilli Zoé, les trois personnes sont allées à l’aéroport.

Après des heures de vol, ils sont arrivés à l’aéroport de la ville R.

Durant les heures de vol, Léo a remarqué que Joan prenait soin de Zoé.

Après être descendus de l’avion, ils marchaient vers la sortie de l’aéroport.

Quand il y avait du monde, Joan protégeait instinctivement Zoé de ses bras.

Quand Lana voyageait avec Joan, c’était toujours elle qui prenait soin de lui tandis qu’il était plutôt froid envers elle.

On dirait que Zoé était sa femme plutôt que Lana.

En même temps, Lana marchait également vers la sortie de l’aéroport.

Elle portait une robe longue à bretelles et des lunettes de soleil, elle avait un sourire au visage, elle semblait en bonne humeur.

Amélie l’attendait à la sortie, dès qu’elle l’a vue, elle a secoué sa main vers elle.

En voyant Amélie à la sortie, Lana a accéléré les pas.

Pourtant, alors que Lana s’approchait d’elle, elle a remarqué la gêne qui se lisait sur le visage d’Amélie. Cette dernière regardait derrière Lana, son visage était sombre.

Lana était surpris de voir son expression, elle s’est retournée et a vu Joan et Zoé marcher côte à côte vers la sortie de l’aéroport.

Elle a serré sa valise sans dire un mot, son visage était impassible.

Avant qu’Amélie ne dise quoi que ce soit, Lana s’est tournée vers elle et a dit : « On y va. »

En voyant le visage impassible de Lana, Amélie n’était pas sûr si Joan ne comptait vraiment plus pour elle. Elle a précipitamment pris la valise dans la main de Lana.

« Il semble que tu as acheté beaucoup de chose, ta valise est très lourde. »

« J’ai acheté des cadeaux pour vous. »

Elles marchaient en parlant, aucune d’entre elles n’a remarqué un regard perçant rivé sur Lana.

Zoé a senti que quelque chose n’allait pas, elle a tiré légèrement la manche de Joan : « Joan, qu’est-ce qu’il y a ? »

« Rien », a répondu Joan en détournant son regard.

S’est-il trompé ?

La femme devant lui l’a fait penser à Lana, mais Lana n’avait jamais porté de robe à bretelles, elle portait toujours des vêtements qui donnait l’impression douce et docile.

Il a froncé les sourcils et demandé à Léo d’un air mécontent : « N’as-tu toujours pas eu la localisation de Lana ? »

Léo n’osait pas regarder Joan dans les yeux, il a dit en baissant la tête : « Oui… Mais je vous assure que je l’aurai aujourd’hui ! »

Le visage de Joan s’est refroidi, il a dit d’un ton glacial : « Accompagne Zoé chez elle, je vais à la villa. »

Il était dix-neuf heures quand il est arrivé à la villa.

Aucune lumière n’était allumée, il n’y avait personne dans la villa.

En ouvrant la porte, Joan a senti la poussière et inconsciemment froncé les sourcils.

Auparavant, chaque fois qu’il rentrait, Lana l’accueillait à l’entrée avec un sourire, pourtant, le voilà seul dans cette villa sombre et vide.

Il a allumé la lumière dans le salon, il y avait de la poussière partout, il était clair qu’elle n’y était plus revenue.

Ce n’était pas la première fois qu’il se disputait avec Lana, mais elle n’était jamais partie aussi longtemps.

Joan avait un mauvais pressentiment, il a compris que ses pressentiments ne l’avaient pas trompé quand il a vu l’accord de divorce et l’alliance de Lana posés sur la table.

Ça faisait déjà un mois que cette villa n’a pas été nettoyée, il y avait de la poussière sur l’accord de divorce.

Joan a tourné la dernière page et vu la signature de Lana.

Il n’avait jamais été aussi en colère, son visage était extrêmement sombre.

Il serrait l’accord de divorce, il ne lui était jamais venu à l’esprit qu’elle ose vraiment divorcer de lui.

À ce moment-là, son téléphone a sonné.

« Monsieur Cassel, j’ai obtenu la localisation de mademoiselle Boyer… Elle est dans le quartier Saint-Jean… » a bégayé Léo.

En sentent son hésitation, Joan a demandé d’un ton froid : « Sois plus précieux, où est-elle ? »

« Elle est dans une ville dont le propriétaire est le dernier lauréat de César, Julien Ramette. »

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