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Beranda / Romance / MA VIRGINITÉ CONTRE MILLES EURO / Chapitre 101

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Chapitre 101

Penulis: LA PLUME D'ESPOIR
last update Terakhir Diperbarui: 2025-06-24 01:31:21

Chapitre 3 : Les Liens de l’Ombre,

_Point de vue d’Aurélia_

Le jour que je redoutais le plus était enfin là. Depuis mon réveil, une étrange sérénité s’était installée en moi, une sorte de calme avant la tempête. Peut-être avais-je accepté l’inévitable, ou peut-être n’avais-je plus assez de force pour me battre. En tout cas, ce matin-là, j’étais résolue à traverser cette journée comme une ombre, silencieuse et invisible.

Ma chambre, transformée en quartier général improvisé pour la préparation, ressemblait à un champ de bataille. Une équipe de maquilleurs et de coiffeurs s’affairait autour de moi, me parlant comme si j’étais une princesse impatiente de rencontrer son prince. Si seulement ils savaient. Chaque pinceau, chaque épingle dans mes cheveux me semblait un rappel cruel de ce que je perdais aujourd’hui : ma liberté.

Ma mère entra soudain dans la pièce, un sourire nerveux collé à son visage.

— Tu es magnifique, dit-elle doucement, ses yeux brillant d’une émotion que je n’
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  • MA VIRGINITÉ CONTRE MILLES EURO    Chapitre 110

    Chapitre 12 : Protection LE POINT DE VUE D'AURELIA .Depuis le départ de Maxence pour l’Europe, le palais semblait plus vaste, plus vide… mais aussi plus étrange. Il m’avait dit qu’il partait quelques jours pour « affaires », et qu’en attendant, Alejandro s’assurerait que tout se passe bien. Je n’avais pas su quoi répondre. Je n’étais pas certaine que ça me rassurait.Et pourtant, dès le matin suivant, j’avais vu le changement. Des gardes postés un peu partout, un homme discret avec une oreillette près de la cuisine, et Alejandro… Alejandro qui ne me quittait presque plus des yeux.À midi, il m’avait demandé si j’avais bien mangé. À 14h, il avait demandé à ce qu’on vérifie toutes les issues du palais. Et le soir… le soir, il avait pris place à mes côtés pour le dîner. Sans me demander. Juste… comme une évidence.J’étais tendue. Ses gestes étaient lents, précis. Il me servait un verre, découpait sa viande sans un bruit, et chaque fois que nos mains se frôlaient, j’avais l’impression d

  • MA VIRGINITÉ CONTRE MILLES EURO    Chapitre 109

    Chapitre 11 : L'insomnie Je n’arrivais pas à dormir.Après ma discussion avec Aitana, j’avais pris une douche pour essayer de me vider la tête. L’eau chaude avait coulé longuement sur ma peau, mais mes pensées, elles, étaient restées glacées. À peine vêtue d’un peignoir doux, les cheveux encore humides, j’étais descendue dans la cuisine pour me servir un verre d’eau.Le couloir était silencieux, éclairé par la lumière tamisée des appliques murales. Le palais dormait, ou faisait semblant. J’avançais pieds nus, le sol de marbre froid contre mes talons.Je n’avais pas entendu ses pas.Je levai les yeux en entrant dans la cuisine. Et il était là.Alejandro.Appuyé nonchalamment contre le plan de travail, une pomme à moitié entamée dans une main, un verre d’eau dans l’autre. Il ne bougea pas tout de suite. Ses yeux s’étaient déjà posés sur moi, avec cette intensité silencieuse qui me mettait toujours en déséquilibre.Je m’arrêtai net, le souffle court.— Tu ne dors pas ? demanda-t-il calm

  • MA VIRGINITÉ CONTRE MILLES EURO    Chapitre 108

    Chapitre 10 : Shopping Après le petit-déjeuner, Aitana était montée dans sa chambre comme une tornade joyeuse, me disant de me préparer vite. J’étais retournée dans ma chambre avec un sourire discret, encore étonnée de cette ambiance presque normale. Il y avait dans l’air comme un souffle de légèreté, quelque chose que je n’avais pas ressenti depuis longtemps.Je m’habillai simplement : un jean taille haute, un chemisier blanc fluide, et je relevai mes cheveux en un chignon négligé. Un peu de mascara, un soupçon de parfum… J’avais envie de me sentir jolie, juste pour moi.Aitana m’attendait déjà dans l’entrée, lunettes de soleil sur le nez et sac à main de luxe à l’épaule, téléphone à la main.— T’es prête ? Tu sens bon, dit-elle en me détaillant avec un sourire complice.— Merci, toi aussi t’es superbe.Elle haussa les épaules, faussement modeste.— Toujours.C’est alors que Maxence descendit les escaliers, vêtu d’un costume sombre, l’air sérieux comme toujours. Il s’arrêta net en n

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    Chapitre 9 : Des œufs, du silence… et AitanaPoint de vue d’AuréliaLe parfum du café chaud embaumait la cuisine. La lumière du matin filtrait à travers les grandes vitres, caressant le marbre froid des plans de travail. J'avais relevé mes cheveux en un chignon flou et enfilé une chemise trop large — celle de Maxence, je crois. Aitana était déjà là, debout face à la poêle, remuant des œufs brouillés d’un geste lent, presque mécanique.J’hésitai un instant à briser le calme qui régnait. Puis je m’avançai vers elle, pieds nus sur le sol glacé.— Tu veux que je coupe les fruits ? demandai-je doucement.Elle tourna légèrement la tête vers moi, sans sourire, mais ses yeux étaient éveillés.— Fais-toi plaisir. Y’a des fraises et de la mangue dans le frigo. Les garçons adorent ça.J’hochai la tête et ouvris le frigo. La fraîcheur me frappa le visage. Je sortis les fruits, un couteau, une planche. Je m’installai près d’elle, à une certaine distance. Suffisamment loin pour ne pas l’envahir. Ma

  • MA VIRGINITÉ CONTRE MILLES EURO    Chapitre 106

    Chapitre 8 : Un même litPoint de vue d’AuréliaLa journée m’avait lessivée. Le poids de la tension dans ce palais, le regard d’Alejandro, la froideur dissimulée derrière la beauté des lieux… tout m’écrasait. J’avais besoin de silence. D’une porte fermée entre moi et le reste du monde.Je refermai doucement la porte de ma chambre. Une des rares que je pouvais encore appeler "à moi" dans cette immense cage dorée.J’ôtai lentement ma robe, laissant le tissu glisser le long de mes jambes. Elle tomba mollement au sol, comme un poids de trop. Je pris un pyjama en soie crème, simple, presque pudique. Le tissu frais sur ma peau me fit frissonner. Mes gestes étaient lents, presque mécaniques. J’étais lasse.Je tirai les draps, m’y glissai avec précaution, comme si le lit appartenait à quelqu’un d’autre. En vérité, je ne savais plus très bien ce qui m’appartenait encore.Je fermai les yeux un instant… jusqu’à entendre la poignée tourner.La porte s’ouvrit. Maxence.Il entra sans bruit, presque

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    Chapitre 7 : Vérités entre hommesPoint de vue de MaxenceLe silence était lourd dans le salon. La nuit tombait doucement derrière les grandes baies vitrées du palais, teintant les murs de reflets ambrés. Le corps avait été nettoyé, les traces effacées, comme si rien ne s’était passé. Mais le sang, lui, restait présent dans l’air. Froid. Discret. Persistant.Alejandro était adossé au dossier du canapé en cuir noir, une cigarette non allumée entre les doigts, le regard fixé sur un point invisible au sol. Moi, je tournais un verre de whisky dans ma main, debout face à lui. Ce fils-là, c’était le plus imprévisible. Le plus dangereux. Et celui en qui j’avais le plus confiance.Je brisai le silence d’un ton calme :— Et ta mère ? Elle va bien dans son nouveau mariage ?Il releva les yeux vers moi. Un rictus étira légèrement ses lèvres.— Elle vit sa belle vie. Profite à fond. Champagne, bijoux, villas… Elle s’en fout de tout.Je haussai les épaules.— Tant mieux. Elle m’a jamais manqué. El

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