Les rayons du soleil filtrent à travers les fenêtres, effleurant les rideaux pour annoncer une belle journée à venir. Andréa est déjà à pied d’œuvre dans la cuisine, préparant le petit-déjeuner. L’air est embaumé par le parfum du café chaud et du pain grillé au beurre, une de ses spécialités.
Pendant ce temps, Lucie et Florent sont encore dans leur chambre. C’est le week-end, et Lucie est rentrée de voyage la veille. Florent se réjouit à l’idée de passer du temps avec elle, mais il se trompe lourdement sans le savoir. Dès l’aube, Lucie s’est levée, a passé un moment devant son ordinateur, puis est allée prendre une douche en vue d’un rendez-vous professionnel.
Florent, encore engourdi par le sommeil, ouvre lentement les yeux et aperçoit sa femme devant le miroir, en train de se maquiller. Il ne comprend pas ce qui se passe. Se redressant, il lutte contre les dernières traces de fatigue pour mieux observer la scène. Oh oui, c’est bien Lucie, vêtue d’une robe élégante et perchée sur l’un de ses hauts talons qui lui donnent cet air assuré. Il s’apprête à parler quand elle, ayant fini de se préparer, remarque son regard et lui adresse un sourire.
— Bonjour mon chéri, tu es réveillé ? Je ne voulais pas te déranger, tu avais l’air épuisé.
— Tu vas quelque part ? » demande-t-il, intrigué.
— Oui, j’ai un rendez-vous avec un partenaire d’affaires. C’est mon patron seul qui devait s’y rendre, mais il m’a appelée ce matin pour me dire que ma présence était indispensable, alors je dois y aller.
Le ton de Florent change brusquement. Énervé, il se lève du lit.
— Est-ce que tes soi-disant patrons savent que tu es une femme mariée, avec des responsabilités et un rôle à jouer dans ton foyer ?
— S’il te plaît, chéri, ne recommence pas ce matin. Je t’ai déjà dit que ce n’est que temporaire, que bientôt tout rentrera dans l’ordre et que les voyages fréquents seront du passé. Je fais tout ça pour nous. Essaie de me comprendre, s’il te plaît. Parce que je t’aime et tu sais que je ne peux pas me permettre de perdre ce travail. J’ai tellement lutté pour l’obtenir… Sans oublier que j’ai des charges à assumer : ma famille, mes frères et sœurs qui comptent sur moi, les dépenses de la maison… Ton entreprise ne suffit pas pour tout couvrir.
— Toujours les mêmes excuses, et il n’y a jamais d’amélioration ! » rétorque Florent, agacé. « Dis-moi, c’est quand la dernière fois que nous avons fait l’amour comme un vrai couple marié ?
— Chéri, tu sais très bien pourquoi… Arrête de dramatiser!
— Ça fait deux mois, Lucie ! Je dis bien deux mois !
— Et alors ? Tu as passé des années à me faire l’amour, même avant notre mariage. Ce ne sont que deux mois, et tu réagis comme si c’était une éternité ? Je suis ta femme, tu le sais très bien. Cela veut dire que je serai toujours là pour toi, mais pour l’instant, ce n’est pas possible. Je suis débordée par le travail et j’ai besoin que tu me comprennes.
— J’ai envie de toi, Lucie… Même si ce n’est qu’un rapide moment, donne-moi ça avant de partir.
— Quoi ? Tu es sérieux ? Tu ne vois pas que je suis déjà prête à partir ? Écoute, on le fera à mon retour.
— Lucie, pourquoi tu me fais ça ?
— Je suis désolée, mon chéri…
Suite à ces mots, Lucie attrape son sac et quitte la chambre. Florent, abattu, se laisse tomber sur le bord du lit, ne sachant plus quoi faire.
Pendant ce temps, Lucie vient au salon et appelle Andréa pour lui donner des instructions. Cette dernière, occupée à dresser la table dans la salle à manger, accourt immédiatement.
— Oui, madame, vous m’avez appelée ?
— Le petit-déjeuner est prêt ?
— Oui, je viens de terminer de mettre la table.
— D’accord. Informe mon mari qu’il peut venir le prendre.
— C’est compris, madame.
— Faut préparer du riz au poulet pour le repas de midi.
— D’accord.
Sans ajouter un mot de plus, Lucie quitte la maison. Une fois dans la cour, elle demande au gardien d’ouvrir le portail, puis monte dans sa voiture. Lorsque le passage est dégagé, elle démarre et sort de la maison.
Dans la chambre, Florent se lève pour aller aux toilettes lorsqu’il entend quelqu’un frapper à la porte.
— Qui est-ce ? » demande-t-il.
— Monsieur, c’est moi, Andréa. Je viens vous informer que le petit-déjeuner est servi.
— D’accord, je viendrai le prendre tout à l’heure.
— Bien, monsieur.
Andréa retourne en cuisine et commence à préparer le déjeuner. C’est alors que Chakirou, le gardien de la maison, entre discrètement par la porte de derrière, comme il en a l’habitude. Lui aussi aime profiter du petit-déjeuner et ne manque jamais une occasion de courtiser Andréa, même si celle-ci l’ignore systématiquement.
— Ma jolie Andréa, ma belle au bois dormant… » dit-il en s’approchant. « Tu sais que j’aime te voir cuisiner. Tu es magnifique et je prie toujours Dieu pour qu’il t’ouvre les yeux sur la flamme de mon amour. Si seulement tu comprenais la langue de l’amour dans laquelle je te parle… Je t’aime, je t’aime tellement.
— S’il te plaît, arrête avec ça ! » soupire Andréa, exaspérée. « Ton repas est sur la table, prends-le et dégage. Je sais que c’est la seule raison de ta venue, alors inutile de me chanter toutes tes chansons.
— C’est vrai que j’ai très faim, mais je suis sincère quand je te dis que je suis fou amoureux de toi, ma…
— Tu vas prendre ton repas et partir ou bien…?
Andréa n’a pas le temps de terminer sa phrase que Chakirou attrape son assiette et s’éclipse, lançant avec un sourire taquin « N’oublie pas que je t’aime ! C’est même pour ça que j’adore manger tes plats. »
Andréa le regarde partir avant de murmurer, exaspérée « Ce mec m’étonne vraiment… Il pense sérieusement que je suis son genre de femme ? Pfff… Je n’ai pas de temps à perdre avec lui.
Elle s’apprête à se concentrer sur son travail lorsque son téléphone se met à sonner. En voyant le nom affiché, elle sort de la cuisine et se dirige vers le jardin pour répondre. C’est Jacques, son petit ami.
— Allô, mon chéri.
— Oui, mon bébé, comment vas-tu ce matin ? Je t’appelle pour savoir si tu peux me trouver ce que je t’ai demandé la dernière fois. Je suis vraiment à sec et j’ai besoin de ton aide.
— De quoi tu parles, Jacques ? Il y a à peine deux jours, je t’ai donné dix mille francs, et maintenant tu me redemandes encore de l’argent ?
— C’est quoi cette question ? Tu crois que je te demanderais si j’avais une autre solution ? Je te demande une aide et tu me parles mal. Maintenant, je vois à quel point tu m’aimes…
— Mais comment peux-tu dire ça ? Tu sais très bien que je t’aime. Mais je n’ai plus d’argent, j’ai déjà dépensé tout mon salaire. S’il te plaît, comprends-moi.
— D’accord… Dans tous les cas, fais de ton mieux pour me trouver quelque chose avant demain. Sinon, tu risques de me perdre.
— Mais…
Michael laisse tomber la lettre. Il n’arrive tout simplement pas à y croire… Lucie est enfin arrivée à la maison. Elle descend du taxi, règle le chauffeur, puis regarde la voiture s’éloigner. Le gardien, qui l’a déjà remarquée, sort aussitôt pour lui ouvrir le portail. Elle le salue poliment avant de se diriger vers l’intérieur. En apercevant la voiture de son mari garée dans l’allée, elle s’étonne. « Pourquoi n’est-il pas au bureau ?» se demande-t-elle. Une fois dans le grand salon, elle constate que la maison est étrangement vide. Elle hésite à appeler Andréa, mais s’en abstient. Alors qu’elle s’apprête à emprunter le couloir menant à sa chambre, un bruit inhabituel attire son attention. Des gémissements. D’abord faibles, ils deviennent de plus en plus intenses à mesure qu’elle avance. Son cœur s’emballe. Un mauvais pressentiment la gagne, mais elle continue. Les sons la guident jusqu’à la seconde chambre, dont la porte est entrouverte. Lucie sent une boule se former dan
Il fait glisser ses mains le long des courbes d’Émilie, appréciant chaque contour, chaque texture. Ils s’embrassent à nouveau, cette fois avec une intensité qui révèle toute la passion et l’amour qu’ils ressentent l’un pour l’autre. Émilie se laisse doucement tomber sur Marcus, leurs corps se pressant l’un contre l’autre. Leurs mains continuent d’explorer chaque centimètre de peau offerte, redécouvrant chaque sensation. Leurs baisers deviennent plus profonds, plus urgents, chaque souffle se mêlant dans une danse sensuelle. — Je t’aime » souffle Marcus entre deux baisers, ses mains posées sur les hanches d’Émilie pour la rapprocher encore plus de lui. — Je t’aime aussi, et je veux maintenant passer le reste de ma vie à tes côtés, c’est pour ça que je suis prête à divorcer de Michael.» répond Émilie, sa voix tremblante d’émotion et de désir. — J’ai hâte que tu deviennes ma femme. — Et moi hâte que tu deviens mon homme. Elle se redresse légèrement, plongeant son regard dans cel
Tout en suçant, titillant et tétant ses merveilleux seins, il la soulève doucement pour la déposer sur la table, non loin d’eux et capture à nouveau ses lèvres avec passion. Avec fougue, il l’embrasse, puis abandonne ses lèvres pour la fixer droit dans les yeux avant de lui murmurer « Bébé, j’ai faim de toi. » Suite à ces mots, il ne lui laisse pas le temps de répondre et la penche doucement, déposant des baisers sur ses cuisses jusqu’à arriver à sa belle intimité, où il décide d’ôter délicatement le string qu’elle porte.Une fois fait, il écarte doucement ses jambes avant de se diriger vers le frigo pour prendre le pot de miel. Elle sait déjà ce qu’il s’apprête à faire et elle tremble comme une feuille laissée au vent. Il s’approche d’elle et, avec douceur, tout en la fixant droit dans les yeux, il ouvre la bouteille et commence à faire couler le miel sur sa partie intime ( sa chatte ).Elle sent la fraîcheur du miel, encore glacé par le frigo, se déposer sur sa peau. Il capture à no
Lucie est toujours en voyage avec son patron. D’après ce qu’elle a dit à Florent lors de leur récent appel, le voyage va durer plus d’un mois, car elle doit suivre une formation de trois semaines. Mais Florent ne se soucie plus vraiment d’elle. Il a désormais Andréa, qui le satisfait pleinement, même si cette dernière commence à être dépassée par son appétit sexuel insatiable. Il aime la savourer chaque jour et partout dans la maison. Même Chakirou, le gardien, les a déjà surpris dans la cuisine. Florent l’a aussitôt menacé : s’il osait raconter quoi que ce soit à qui que ce soit, il le virerait et lui rendrait la vie impossible. Pour être sûr de son silence, il lui a interdit de quitter son poste pour venir fouiner dans la maison. Difficilement, Florent tente de se consacrer à ses affaires, mais son obsession pour Andréa ne cesse de grandir. Il veut toujours être auprès d’elle, toujours l’avoir. Et ce n’est pas tout. Il a déjà commencé à lui installer un atelier, et en seulement qu
Marcus s’est déjà préparé pour partir au travail quand il entend quelqu’un sonner. Il regarde l’écran de la caméra qu’il a installée et réalise qu’il s’agit de Raïssa. Cette dernière n’ayant plus de nouvelles de lui et sachant qu’il n’aime pas qu’on le dérange au travail, a décidé de venir le voir tôt le matin, avant qu’il ne quitte la maison. Marcus sort de la maison avec son sac, le dépose dans la voiture, se dirige vers le portail et l’ouvre tout en demandant à Raïssa de l’entendre, afin qu’il puisse faire sortir sa voiture.— Mais je suis venue te voir. — Je n’ai pas dit le contraire. Et comme tu peux le voir, je suis sur le point d’aller au travail. Nous allons donc discuter de la raison de ta présence sur la route et dans la voiture. J’espère que tu me comprends. — Ok, comme tu veux. Sans ajouter un mot de plus, Marcus commence à dégager l’espace pour faire sortir sa voiture, ce qu’il fait avant de refermer le portail. Ils montent dans la voiture et prennent la route. Raïs
Andréa s’est déjà levée pour vaquer à ses tâches de femme de ménage. Pendant ce temps, Florent est encore allongé dans le lit, s’éveillant doucement. Il se redresse et s’assoit, ses pensées immédiatement happées par la nuit torride qu’il vient de passer avec Andréa. Il peine à décrire le plaisir intense qu’elle lui a procuré. Cette sensation est si forte qu’il sent une envie irrésistible monter en lui. Son désir est palpable, sa virilité tendue, et sans trop réfléchir, il se lève pour se rendre sous la douche, tentant de se préparer pour le travail. Mais une fois dans la salle de bain, après s’être brossé les dents et juste avant d’ouvrir l’eau, l’envie devient insoutenable. Il n’a qu’un seul besoin, retrouver Andréa pour apaiser cette ardeur matinale. De retour dans la chambre, il remarque que son téléphone s’est allumé. Intrigué, il le prend et voit plusieurs appels en absence de Lucie, accompagnés de messages. Il les parcourt rapidement et constate qu’elle voulait simplement pr