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Chapitre 18 Un parfum familier

Véronique a serré les poings en secret, à contrecœur, elle s’est excusée auprès d’Inès : « Je suis désolée. »

Inès s’est massé les oreilles : « Qu’avez-vous dit ? Je n’ai pas bien entendu. »

Véronique a dû élever la voix : « Je suis désolée ! »

« Je ne souhaite plus voir ce genre de choses se reproduire ! » La voix froide de Marion transperçait de son autorité infinie, faisant involontairement trembler Véronique.

En sortant du bureau du président, Véronique a lancé un regard furieux à Inès.

Elle n’aurait jamais cru que cette campagnarde soit plus astucieuse qu’elle ne le pensait. Cette fois, elle avait été piégée et s’était ridiculisée devant Marion.

Elle se vengerait, elle récupérerait tout ce qu’elle avait subi aujourd’hui, avec intérêts !

Lorsqu’il était temps de quitter le travail, Inès est restée un peu plus longtemps pour vérifier les données que Véronique lui avait confiées, avant de rentrer.

En sortant du bâtiment de la société Hubert, Inès allait appeler un taxi, quand une Rol
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