Chapitre 8

Claudel a accroché le téléphone dans trois secondes.

Charlotte a touché sur l’amplification.

Annie a jeté un coup d’œil sur son écran en souriant : « Ma fille, c’est Claudel qui t’a acheté ces chaussures ? Claudel est un homme généreux ! Charlotte, tu dois le chérir. »

Annie a dit cela à voix haute en regardant Laurent. À la comparaison de Claudel, Laurent était un bon à rien. Claudel avait même dit si Charlotte se mariait avec lui, il payerait un pot de vingt millions d’euros !

Quant à Claudel, il s’est accroupi sur la route en ce moment. Il avait à peine reçu un coup de fil, les Travers ne lui donneraient aucun mécénat !

Claudel s’était tout de suite effondré. Sans le soutien des Travers, il était simplement un déchet ! Après cela, les Travers lui avait dit qu’il avait offensé quelqu’un.

Jusqu’à maintenant, Claudel ne savait pas qui il avait offensé.

« Claudel, j’ai une question. L’Amour de Cristal, pourras-tu en acheter une autre paire ? » a dit Charlotte.

Maintenant, Claudel était à bout de ses forces. Mais il cherchait à sourire : « Charlotte, tu as dit ces chaussures factices ? »

« Ces chaussures factices ? »

Charlotte et Ingrid se sont regardées. Il était impossible pour Claudel de ne pas distinguer le vrai du faux.

« Oui, je t’ai donné des chaussures factices de trente mille euros. Tu oublies ? » a dit Claudel, « Mais elles ont été jetées dans la poubelle par ce bon à rien. Elles sont encore dans ma maison, si tu veux, je t’apporterai tout de suite. »

En écoutant cela, Charlotte était confuse !

L’Amour de Cristal sous ses pieds n’était pas le cadeau de Claudel ? Alors c’était qui ? Personne ne lui a donné un tel cadeau sauf lui !

Ayant raccroché le téléphone, Charlotte s’est souvenue un jour, Laurent lui avait dit qu’il voulait l’acheter ces chaussures.

Charlotte s’est tournée vers Laurent.

Laurent tenait des baguettes dans sa main avant tout le monde. Il a déjà mangé deux bols de riz. Les autres de sa table l’ont jeté un regard plein de mépris.

Charlotte a poussé un soupir, Laurent ne pouvait pas l’acheter ces chaussures pour rien au monde.

Trente secondes plus tard, Laurent a finalement posé les baguettes. Il a essuyé son visage en regardant vers Ingrid.

Cette femme était riche. Il a aperçu qu’elle portait un bracelet blanc sur son poignet. Tout le monde savait que ce bracelet blanc coûtait très cher, mais peu de gens savaient que c’était une antiquité.

Les Travers possédaient beaucoup d’antiquités. Quand Laurent avait eu six ou sept ans, il pouvait identifier des antiquités.

Plus tard, Simon Legrand, le premier connaisseur de trésors, était également venu chez Laurent. Laurent avait appris auprès de ce monsieur pendant deux mois.

Le bracelet qu’elle a porté, doux et délicat, devrait être un artisanat de l’antiquité. Le prix est montré à presque vingt millions d’euros.

« Tout le monde. »

À ce moment-là, la grand-mère est finalement montée sur scène avec un air content.

« Vite, dis-le-nous. Comment as-tu négocié avec Saphir ? » La grand-mère a demandé à Charlotte avec hâte.

Charlotte s’est levée maladroitement et est restée silencieuse pendant un moment avant de parler : « Moi ... Je n’ai rien dit chez Saphir, même je n’ai pas rencontré leur directeur. Mais nous avons signé le contrat. »

Tout le monde était en effervescence.

« Elle a signé le contrat sans rien faire ? »

« J’ai pensé qu’elle est compétente. Elle a simplement de la chance. »

En écoutant ces bruits, Charles s’est avancé : « Grand-mère, j’ai fait sortir par lui, mais Charlotte l’a rendu encore visite. Saphir a été touché par nous, alors, ils ont signé le contrat ! Tous ont pu signer le contrat avec lui ! »

Charles voulait clairement s’emparer des lauriers.

Mais la grand-mère l’appréciait, et quand elle l’a entendu dire cela, elle a hoché la tête et a dit : « Charlotte, nous devons contribuer ce succès à Charles aussi. »

En entendant cela, Charles s’est incliné et a dit : « Grand-mère, je dois faire des contributions à notre famille ! J’ai entendu dire aussi qu’une nouvelle star était arrivée chez Saphir, son nom est Jacqueline Bonnet, c’est une très belle fille. Je pense que Saphir va en faire une vedette. Si nous pouvons remplir cette tâche, nous y tirerons des profits ! Demain, je vais négocier avec lui en guise de représentant de notre famille ! »

« Très bien ! »

La grand-mère a hoché la tête avec satisfaction : « Tu es l’honneur de notre famille. »

Charlotte et Annie se sont regardées avec amertume. Cette réunion familiale était pour célébrer les lauriers de Charlotte, mais Charles a fait tant de parade. Maintenant, les Averie avaient déjà signé le contrat avec Saphir, Charles pourrait sans aucun doute remplir cette tâche demain, et tous les compliments seraient dus à lui.

Bien que mécontente, Charlotte n’a rien dit. Elle savait bien que sa grand-mère appréciait Charles.

« Jouissez ce repas. Je vais payer. » Charles a dit avec un air heureux.

« Serveur, viens pour que nous commandions du vin ! » Il a crié.

Après un certain temps, deux serveuses sont venues avec le menu.

« Bonjour monsieur, voici le menu, vous voulez commander quel vin ? »

Charles a agité sa main avec plaisir : « Le vin le plus cher ! Toutes les tables en ont une bouteille ! Le vin le plus cher ! »

Au bout d’un moment, des serveurs sont venus avec du vin. Charles a ri en levant son verre : « À notre santé ! »

Charles avait un statut élevé dans la famille, tout le monde voulait le flatter. Chacun a levé son verre avec plaisir.

Après avoir fini ce repas, il n’était pas tôt. Charles a agité sa main avec ivresse.

« Addition ! »

À ce moment-là, Charles était assis près d’Ingrid. Il a sorti sa carte bancaire en criant. Tout en disant, il a jeté ses regards sur elle, il voulait faire la roue devant cette beauté.

En voyant Charles sortir sa carte bancaire, beaucoup de gens se sont exclamés.

Carte de platine de la Banque d’Améthyste !

Ceux qui disposaient de cette carte avaient au moins un million. Dans la carte d’or, il y avait au minimum cinq millions ! La carte ce Charles avait au minimum dix millions !

La richesse totale de Charles était trente millions d’euros. En tant que commerçant, ses capitaux n’étaient pas équivalents de l’argent mis à côté, car il utilisait toujours ses fonds pour investir.

Pour cette carte, il a mis depuis plusieurs années son argent à côté. Alors, Charles avait hâte de faire parade.

Effectivement, en voyant cette carte, Ingrid lui a jeté un coup d’œil.

Toutes les antiquités de la famille des Poiriers comptaient presque deux milliards d’euros, mais c’était l’argent de son père. Même si elle était comme une princesse de la famille, elle n’avait que dix millions d’euros. Elle devrait supplier son père pour acheter l’Amour de Cristal.

Le visage de Charles était couvert d’arrogance. Il était excité en voyant les regards d’Ingrid.

Il s’est tourné vers le serveur : « Je vais tout payer, sauf pour cette table ! »

Il a désigné Laurent. Les personnes de cette table étaient marginales dans la famille, ils n’osaient pas l’offenser.

« Laurent, sais-tu pourquoi ? » Charles s’est levé et a regardé vers Laurent : « Parce que tu n’as pas cédé ta place à Mademoiselle Poirier ! Oses-tu t’asseoir ici ? Bon à rien, je dois venger pour cette demoiselle. »

En parlant de cela, Charles a regardé Ingrid : « Assurez-vous, mademoiselle. Laurent ne peut pas payer cette somme. »

Ingrid n’a rien dit mais a souri.

À peine le serveur a-t-il pris sa carte bancaire, Charles s’est tourné vers elle : « Assurez-vous, mademoiselle. Vous aimez bien ces chaussures ? J’ai beaucoup d’amis. Je vais leur demander qui peut l’acheter ! »

À vrai dire, il connaissait beaucoup de gens, mais ces amis ne pouvaient pas acheter ces chaussures pour rien au monde.

« Merci. » Elle a souri avec politesse en hochant la tête.

À ce moment-là, les deux serveurs se sont dirigés vers lui en s’inclinant.

« Désolé, monsieur, vous n’avez pas assez d’argent dans votre carte. »

Charles a violemment hurlé : « Au diable ! Il y avait 10.1 millions ici ! »

« Désolé, monsieur, la dépense est de 38. 26 millions. »